En tant qu’entreprise, la gestion de vos équipes est importante pour faire avancer les choses et avoir les résultats escomptés. Pour y arriver, il est important de réussir l’optimisation de votre stratégie RH. Vous devez donc connaitre les stratégies qui peuvent être utiles dans ce sens. Dans la suite, nous vous parlons de quelques astuces pouvant vous aider à mieux optimiser votre stratégie RH. Faire un état des lieux de la situation de votre entreprise Avant toute chose, il est important de connaitre la situation de votre entreprise sur le plan des ressources humaines. Il s’agit ici de connaitre les atouts de votre organisation RH ainsi que les points à améliorer. En faisant cet état des lieux, il vous sera plus facile de réussir l’optimisation de votre stratégie. Afin de réussir cet état des lieux, vous pouvez utiliser des indicateurs RH. On distingue 3 grands types d’indicateurs RH que sont : Les indicateurs de recrutement ; Les indicateurs de performance ; Les indicateurs de formation et de gestion des carrières. Utiliser les avancées technologiques Il est évident qu’aujourd’hui, les entreprises doivent se mettre au pas sur le plan des avancées technologiques. En fait, il existe assez d’outils qui peuvent vous permettre de mieux gérer vos équipes. Afin d’avoir une meilleure connaissance de vos travailleurs, vous devez miser sur un logiciel RH. Dans un tel logiciel, vous trouverez plusieurs fonctionnalités. Vous aurez la possibilité d’effectuer des assignations de tâches à vos employés, gérer leurs présences et leurs absences, gérer la paie, etc. Un logiciel RH est donc utile pour faire gagner du temps à votre responsable des ressources humaines. Ce dernier pourra avoir de nouvelles tâches utiles pour le bien de l’entreprise. Vous pouvez même trouver des logiciels qui intègrent des fonctionnalités d’optimisation de stratégie RH. Avec une telle plateforme, vous pourrez plus facilement comprendre ce qui ne va pas dans votre entreprise sur le plan des ressources humaines et avoir des axes de solution. Effectuer un suivi régulier chez vos équipes Recruter une bonne équipe, c’est bien. Mais vous ne devez pas les abandonner à leur sort une fois qu’ils sont dans votre entreprise. Il est nécessaire de continuer régulièrement à les suivre et de penser à leur développement. En travaillant chez vous, ils doivent se sentir importants et vous devez aussi leur apporter un plus sur le plan professionnel. Vous pouvez donc penser à organiser des séances de formation et de mise à niveau. Il est aussi important que le travail ne soit pas le seul mot d’ordre dans votre entreprise. Cette façon de procéder augmente le stress et peut avoir un impact sur la productivité de vos collaborateurs. Vous pouvez donc penser à organiser de temps à autre, des séminaires et des team building.

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Dans un contexte concurrentiel soutenu dans la plupart des secteurs d’activité, le monde professionnel est aujourd’hui de plus en plus oppressant. La course aux résultats et à la performance est une source de stress permanente qui affecte le bien-être au travail. Cette situation peut mener à l’épuisement professionnel, une tension excessive entre l’idéal qui habite le travailleur et les contraintes de la réalité qui en restreignent la concrétisation. Il existe toutefois des moyens de s’en prémunir. Qu’est-ce que le bien-être au travail ? L’une des principales préoccupations de nombreux actifs est de pouvoir s’épanouir dans leur métier. En effet, le rapport au travail n’est plus strictement pécunier, mais est vécu comme un vecteur d’épanouissement et de réalisation de soi. Ainsi, les entreprises et les administrations sont de plus en plus en plus soucieuses de la qualité de vie au travail de leurs salariés, l’enjeu étant crucial. Selon l’OMS, le bien-être au travail consiste en : « un état d’esprit dynamique, caractérisé par une harmonie satisfaisante entre les aptitudes, les besoins et les aspirations du travailleur, d’une part, et les contraintes et les possibilités du milieu de travail, d’autre part ». Plusieurs facteurs y participent, à savoir : L’environnement de travail et son ergonomie ; Les relations entre les collègues et avec la hiérarchie, L’intérêt du travail et les valeurs de l’entreprise ; Le niveau d’implication du salarié et la rémunération. Lorsque qu’aucune démarche n’est menée pour créer des conditions de travail favorables au bien-être, il en résulte un mal-être, autant préjudiciable au salarié qu’à l’entreprise : absentéisme, maladies, mauvais résultats, turn-over, etc. En quoi consiste le mal-être au travail ? Le syndrome d’épuisement professionnel ou burn-out est très caractéristique de l’absence de bien-être au travail. Il se traduit par un épuisement émotionnel, physique et psychique, le développement d’une attitude cynique dans le cadre du travail, et une dévalorisation de soi. A l’inverse, le bore-out est lié non pas à une charge de travail énorme, mais plutôt à un manque de stimulation, une moindre sollicitation créant ainsi un ennui chronique et stressant. Par ailleurs, le brown-out est une autre forme d’épuisement professionnel se caractérisant par une perte de sens au travail. Le sentiment de réaliser des tâches chronophages et absurdes entraine une démotivation progressive et un sentiment de lassitude chez le travailleur. Il s’ensuit une remise en question professionnelle et personnelle, voire une perte de l’estime de soi. Pallier ce mal-être au travail grâce au cabinet d’outplacement job&mobilité Face à l’épuisement professionnel, quelle que soit la forme qu’il peut prendre, l’outplacement est une solution préventive et palliative qui fait ses preuves. Être accompagné par un professionnel du marché de l’emploi et de la transition professionnelle permet de se poser les bonnes questions et de trouver les bonnes informations pour se créer de véritables opportunités professionnelles. L’outplacement recouvre plusieurs aspects : un bilan de compétences ou de carrière pour se positionner adéquatement sur le marché du travail, ou créer une entreprise, des conseils avisés, un soutien logistique et une expertise technique. C’est une prestation de repositionnement professionnelle qu’il sied de solliciter pour mieux rebondir sur le plan personnel et professionnel. Chez job&mobilité, toute

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Comme en début d’année, les commerces confinés en avril pourraient être autorisés à compenser leur manque-à-gagner par des ouvertures dominicales. A Bercy, l’idée fait son chemin et pourrait aboutir à des décisions concrètes juste après le 19 mai, date annoncée pour la réouverture des commerces confinés en avril, combinées à celles des terrasses des bars et restaurants, fermés depuis fin octobre 2020 : un assouplissement des règles relatives au travail dominical pour les enseignes volontaires est envisagé par le gouvernement. Le dispositif pourrait reprendre les modalités mises en place en début d’année pour soutenir l’activité des secteurs après le confinement du mois de novembre. La ministre Élisabeth Borne a envoyé une instruction dans les territoires enjoignant les Préfets à engager des concertations locales en vue d’accorder des dérogations exceptionnelles : ces mesures permettraient de simplifier – sans s’y substituer, précise l’exécutif – le droit commun qui encadre depuis la Loi Macron l’ouverture des magasins le dimanche. Avec un double-objectif économique et sanitaire : l’élargissement des plages horaires sur sept jours hebdomadaires pourraient permettre aux commerces de rattraper une partie des pertes accumulées pendant les périodes de restrictions (confinements et couvre-feux), mais aussi d’étaler les flux de clientèle sur l’ensemble de la semaine. Afin de s’épargner une fronde syndicale, le gouvernement a fait savoir que les Préfets ont reçu la consigne de rappeler aux enseignes potentiellement intéressées par ces autorisations qu’elles doivent strictement observer les « garanties accordées à leurs personnels dans le cadre du travail dominical », de respecter le principe du volontariat et d’appliquer les contreparties salariales prévues par les textes pour les actifs amenés à exercer sur ce jour traditionnellement chômé. « Les dispositions nécessaires prises par l’Etat pour faciliter la reprise économique du pays « doivent s’appuyer sur « un dialogue direct avec les acteurs concernés, territoire par territoire, et en tenant compte des demandes locales et spécificités propres à chaque département.» ajoute Elisabeth Borne dans un communiqué. Dans un première temps, cette première salve de dérogations exceptionnelles porterait sur le mois de juin. Avant la crise, sanitaire, la législation sur les ouvertures du dimanche avait été assouplie : l’autorisation préalable des maires n’avait plus cours dans les départements à très forte densité touristique (Paris notamment), ou encore les zones frontalières. Les ouvertures sont « de droit » également dans des grandes gares françaises (dont Lyon, Bordeaux, Nice ou Marseille). Partout ailleurs, les élus locaux ont la possibilité d’accorder des dérogations municipales, jusqu’à 12 par an (contre 5 auparavant).

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Ça y est, vous avez acquis votre statut d’auto-entrepreneur pour lancer votre petit business ! C’est un bon début. Maintenant, il va falloir agir pour pouvoir atteindre votre objectif. C’est plutôt simple, mais cela peut s’avérer plus compliqué si l’on n’est pas bien aiguillé. Voici quelques conseils pour vous aider à bien démarrer votre activité et à déjouer les obstacles liés au développement de votre petite entreprise. Se faire accompagner par des acteurs professionnels Contrairement à ce que l’on pourrait croire, le parcours d’entrepreneur est assez compliqué. L’une des raisons pour laquelle beaucoup de jeunes entrepreneurs abandonnent leurs projets après une période d’efforts intense. Pour réussir, il est important de vous créer un réseau. N’hésitez pas à vous faire entourer des acteurs professionnels dans votre secteur. Ces derniers pourront vous apporter des conseils précieux sur le développement de votre activité, mais surtout sur les décisions stratégiques à prendre. Il existe plusieurs moyens pour vous faire créer un réseau. Vous pouvez, par exemple, intégrer des associations ou des structures d’accompagnement pour les entrepreneurs : la CCI pour les secteurs commerciaux ou/et libéraux non réglementés et la CMA pour les artisans et les prestataires de services. L’assistance de ces dernières se révèle toujours d’une aide précieuse. Aussi, il est recommandé de participer à des événements professionnels. Se renseigner sur les obligations légales Certes, la gestion administrative a été simplifiée pour les auto-entrepreneurs. En revanche, il y a des règles et des obligations à connaître et à respecter pour éviter les erreurs et les pénalités. En tant qu’auto-entrepreneur, vous devez obligatoirement tenir un livre des recettes, ainsi qu’un journal des achats pour les activités commerciales. Ces documents doivent détailler les informations sur le montant et l’origine de la recette et le mode de règlement (paiement en espèce ou virement). À noter que le paiement en espèces est interdit au-dessus de 1000 euros. Aussi, vous devez avoir des pièces justificatives telles que les factures. En tant qu’auto-entrepreneur, vous devez également remettre des factures à vos clients. Certaines mentions légales sont à faire figurer sur vos factures et vos devis. Il est également bon de noter qu’un entrepreneur n’est pas obligé d’avoir un compte bancaire séparé de son compte personnel. En revanche, au-delà de 10 000 euros de CA annuel, un compte bancaire séparé est obligatoire. Vendre au juste prix L’objectif de toute entreprise est de vendre pour pouvoir développer son chiffre d’affaires. Pour y parvenir, il est parfois tentant, notamment pour les jeunes entrepreneurs, de pratiquer des tarifs peu élevés pour attirer les clients. C’est une erreur, car les consommateurs associent les petits prix à une mauvaise qualité du produit ou du service. Ne tombez pas dans ce piège. Même si vous débutez dans votre secteur, il est conseillé de vendre vos produits ou vos services au prix juste. N’hésitez pas de bien vous renseigner sur les tarifs appliqués par vos concurrents. Un dernier point important, fixez-vous des objectifs réalistes de chiffre d’affaires. Cela va vous permettre d’évaluer votre activité.

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Les tests rapide antigéniques vont être déployés en entreprise, sans doute en janvier. Les règles à suivre seront très prochainement précisées dans une circulaire du gouvernement. Le dépistage en milieu professionnel va venir compléter le dispositif de prévention déployé au niveau national pour ralentir la propagation de la Covid-19 : dans quelques jours ou semaines, les employeurs auront la possibilité de réaliser des tests rapides au sein de leurs locaux. En théorie, ce type de campagnes est autorisé, depuis que le gouvernement a accepté de l’inscrire dans le protocole sanitaire applicable dans les entreprises (c’est le cas depuis le 30 octobre dernier et l’entrée en vigueur du deuxième confinement) : en pratique, il manquait un cadre réglementaire apte à définir les modalités de la pratique. Celui-ci va être très prochainement établi par une circulaire gouvernementale qui permettra aux acteurs concernés d’agir en toute connaissance de cause : quelles seront les consignes d’hygiène à respecter et les formalités à observer pour que la procédure soit homologuée ? Comment les locaux devront-ils être organisés pour réaliser ces opérations dans les meilleures conditions ? Une précision : le coût de ces tests antigéniques sera à la charge des employeurs. Le ministère de la Santé compte faire reposer le dispositif sur deux autres principes : contrôle et ciblage. En vertu du premier, il faudra remplir une déclaration préalable en ligne avant de procéder au dépistage. Le second stipule que seuls les salariés symptomatiques et reconnus « cas contacts » seront amenés à s’y soumettre (mais sans obligation, le volontariat restant la règle). Les employeurs ne seront donc pas autorisés à procéder à un dépistage massif de leurs personnels. Il leur faudra également se plier au secret médical et, à ce titre, ne pas accéder de leur propre chef aux résultats ni se les faire communiquer. Les médecins, infirmiers ou pharmaciens qui réaliseront ces tests devront, s’ils sont positifs, renseigner la base de données nationale du dépistage, Si-Dep. Enfin, seuls les tests nasaux –qui nécessitent l’intervention de professionnels qualifiés- seront autorisés, ce qui exclut de fait les prélèvements salivaires – moins fiables – et que les autorités sanitaires souhaitent réserver aux publics intolérants aux premiers

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Les téléphones portables sont devenus une partie importante de nos vies et nous les utilisons régulièrement, dans la vie de tous les jours. C’est pourquoi si vous perdez ou endommagez votre téléphone, vous serez privé d’un outil indispensable. Cependant, vous pouvez vous protéger en souscrivant une assurance pour téléphone portable. Les recherches de Mintel ont montré que près d’un quart (24%) des propriétaires de smartphones ont cassé leur écran au moins une fois. C’est pourquoi avoir une assurance mobile peut vous donner la tranquillité d’esprit. Quelle assurance téléphonie mobile choisir ? Les compagnies d’assurance comme sfam proposent de nombreux types de police d’assurance téléphonique. La meilleure assurance téléphonique couvrira ce dont vous avez besoin, à un prix abordable. Si vous êtes quelqu’un qui laisse souvent votre téléphone sur le bureau, vous aurez peut-être besoin d’une assurance téléphonique contre les dommages accidentels. Si vous voyagez régulièrement, vous voudrez peut-être que votre assurance smartphone inclue une couverture à l’étranger. Avant de commencer à chercher la meilleure assurance pour téléphone mobile, pensez à ce dont vous avez besoin dans votre couverture d’assurance téléphonique. Comparez ensuite les offres des fournisseurs d’assurance téléphonique en utilisant les outils en ligne. Un comparateur d’assurance en ligne vous permet de déterminer la police d’assurance la plus adaptée, mais aussi la compagnie d’assurance. Que vérifier pour trouver la meilleure police d’assurance de téléphonie mobile ? Lorsque vous commencez des recherches sur les compagnies d’assurance, vous verrez que les assureurs proposent tous des polices différentes. Pour faire une comparaison équitable, vous devez garder à l’esprit le type de couverture, la valeur de votre téléphone et les frais supplémentaires. Couverture : recherchez les polices qui offrent la protection d’assurance téléphonique qui vous convient. Vous voudrez peut-être simplement une couverture d’assurance téléphonique pour les dommages accidentels. Ou bien une couverture contre la perte et le vol. Valeur : combien vaut votre téléphone portable ? Assurez-vous de choisir une police qui offre une couverture suffisante pour remplacer votre téléphone si le pire se produit. Excédent : c’est le montant que vous payez chaque fois que vous faites une réclamation. Combien êtes-vous prêt à payer par réclamation ? Le supplément peut varier de 50 € à 100 €, voire plus en fonction de vos besoins. Vous pouvez opter également pour une police d’assurance de téléphonie mobile plus chère et sans franchise à payer. Que couvre l’assurance téléphonique ? L’assurance mobile peut vous couvrir pour plusieurs situations différentes : La perte de téléphone : si vous perdez votre téléphone ou qu’il est volé, la couverture de perte et de vol pourrait le remplacer par un modèle similaire. L’écran fissuré : l’assurance contre les dommages accidentels vous évite de payer pour réparer ou remplacer un écran de téléphone fissuré. Les dommages à l’étranger : si vous voyagez beaucoup à l’étranger, la couverture à l’étranger vous couvre si vous perdez ou endommagez votre téléphone lorsque vous êtes en dehors de votre pays. Il est probable qu’une assurance téléphone bon marché vous couvrira pour moins bien dans ces

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Aujourd’hui, et bien auparavant d’ailleurs, le prix reste le critère-clé lorsqu’il s’agit de réaliser l’aménagement d’un espace de coworking. Avec la conjoncture, cette chasse aux bonnes affaires n’est pas près de s’arrêter. Seulement, l’ergonomie et les fantaisies ont un coût. Ce sont également des éléments essentiels pour assurer le bien-être et le confort des salariés. Pour faire les choses dans les normes, il est conseillé de confier le projet à un spécialiste. Aménager un espace coworking : les critères à connaître Peu importe la taille de la structure, le bien-être constitue un facteur essentiel au bureau. Il en est de même dans un espace coworking. Il est gage d’un environnement de travail agréable. Les performances, les capacités de production ainsi que la motivation des salariés en dépendent. Le sentiment de confort est acquis grâce aux mobiliers. La conception de ces derniers doit considérer de quelques critères, dont l’ergonomie en est le premier. Les meubles ergonomiques, en plus d’être confortables et pratiques, permettent de prévenir les troubles musculaires. Quand on sait que les douleurs du dos sont l’une des principales causes d’absentéisme, on comprend immédiatement l’intérêt de mettre en œuvre des mesures pour atténuer ce phénomène. Ainsi, il faut privilégier les chaises et les tables respectant certaines normes, tant au niveau du design que de la hauteur. La qualité sonore dans la salle est aussi un point essentiel. Aujourd’hui, il n’est pas rare qu’un cadre de travail soit constitué d’un vaste open space, dont les bureaux sont uniquement séparés par de petites cloisons. Les salariés risquent donc d’être déconcentrés par des bruits. Il est alors important d’installer un réel confort acoustique. Dans ce cas, le mobilier coworking phonique va apporter une solution acoustique pour rendre l’environnement professionnel plus agréable. Lors du choix des ameublements, il ne faut pas négliger le design et la couleur qui véhiculeront l’image de marque de l’entreprise. Les mobiliers essentiels pour un espace coworking Comme dans chaque projet d’aménagement d’espace professionnel, certains équipements sont fondamentaux afin d’assurer le bon déroulement des activités et le bien-être des salariés. Parmi les mobiliers indispensables, on note les sièges. Il faut prioriser les modèles avec assise et dossier confortables. De même, la norme requiert que les chaises soient dotées d’accoudoirs inclinables avec un système de réglage de la hauteur. De cette manière, les usagers pourront choisir la position qui leur apportera un meilleur confort. Quant à la table, les normes exigent une hauteur arrivant au niveau des coudes. Le mobilier devrait également disposer d’un espace libre afin que les utilisateurs puissent détendre leurs jambes et adopter différentes postures. Cette particularité permettra de prévenir les crampes ainsi que les doubleurs articulaires. Pour les espaces fermés, on pensera à investir dans un box de réunion ergonomique. Les meubles de rangement sont particulièrement importants. Caissons, armoires à rideaux, étagères, placards, les possibilités ne manquent pas. Le choix sera notamment dicté par la nature des éléments à classer et des espaces disponibles. Dans tous les cas, pour mettre en avant l’image de l’enseigne, il est

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Si pendant de longues décennies, les hommes et les femmes n’étaient que de simples rouages d’une machine complexe vouée à la génération de chiffres d’affaires et de valeurs, l’entreprise a progressivement su évoluer. Ainsi, les collaborateurs ne sont plus perçus comme des moyens, mais comme la valeur de l’entreprise. De ce fait, il est nécessaire de préserver et d’accompagner cette valeur pour la santé et la performance de l’entreprise. Voici quelques éléments permettant de comprendre la relation entre bien-être et qualité de vie au travail d’une part, et les performances des entreprises d’autre part. Manager la performance par le bien-être au travail Management, performance, santé et bien-être au travail sont des thématiques très explorées ces derniers temps, que ce soit par la presse spécialisée ou par les entreprises elles-mêmes. Il y a ainsi une relation entre le succès de l’entreprise et la politique managériale centrée sur les individus et leur épanouissement professionnel, mais également personnel. Plusieurs constats ressortent lorsqu’il s’agit d’évaluer l’impact de l’amélioration du bien-être au travail. Avant même de parler de performance de l’entreprise, ces constats se posent sur les individus eux-mêmes. On note tout d’abord une baisse réelle de l’absentéisme et une plus grande fidélité dans le temps à l’entreprise. Grâce à cette fidélité, le coût de remplacement ou de formation des nouveaux collaborateurs se voit à la baisse de même que les coûts engendrés par les dysfonctionnements liés aux retards ou aux absences. On note également un plus grand investissement au service de l’entreprise avec une diminution des erreurs ou des malfaçons, et donc, à terme, une amélioration de l’image de l’entreprise et de la qualité perçue de ses produits ou services. Le bien-être au travail se traduit également par le développement de la créativité et de l’innovation, ce qui permet à l’entreprise de se projeter avec plus de sérénité vers l’avenir et de trouver des réponses plus adaptées aux problématiques des clients. Développer le bien-être au travail est un véritable défi pour les entreprises. Il ne s’agit pas de mettre en place une salle de repos avec un baby-foot pour atteindre cet objectif. Ainsi, les professionnels spécialisés dans ces problématiques mettent plutôt en avant l’écoute et la considération comme des piliers essentiels du bonheur au travail. Mais bien d’autres éléments entrent en compte dont l’environnement de travail, l’évolution, l’accompagnement social ou encore l’équilibre entre vie privée et vie professionnelle. Le bien-être au travail passe par l’équilibre entre vie privée et vie professionnelle Il arrive assez souvent que les problèmes du quotidien viennent à perturber à court, moyen ou long terme, l’implication, l’investissement, la performance et la fidélité d’un salarié, même si le cadre professionnel est propice à son épanouissement. Ainsi, le bien-être au travail joue un rôle essentiel dans la résolution des problèmes. L’équilibre entre vie privée et vie professionnelle est donc un enjeu majeur pour les services sociaux en entreprise. C’est ainsi que les assistants ou assistantes sociales du travail, en plus des questions internes à l’entreprise, sont régulièrement amenés à accompagner les salariés

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Le reporting analytics est un véritable outil d’aide à la prise de décision. Il permet d’analyser les performances et les retombées de ses actions marketing en mettant en évidence des données essentielles. Mais quels sont les critères à respecter pour réussir son reporting analytics ? 1. Se fixer des objectifs Sans objectif précis, vous ne saurez pas dans quelle direction aller. Se fixer des objectifs permet de définir des actions nécessaires à leur réalisation et de suivre l’évolution de vos performances. Ces objectifs doivent être précis et chiffrés afin de définir les bons indicateurs de performances (KPIs). En les analysant régulièrement, vous pourrez vous rendre compte de la pertinence et de l’efficacité de vos actions marketing. 2. Définir une périodicité En fonction de vos objectifs et du contexte de votre entreprise, définissez une périodicité pour la réalisation de vos reportings. Posez-vous les bonnes questions : est-ce utile pour votre entreprise d’effectuer une analyse de vos performances chaque semaine ? Ou bien est-ce suffisant sur une période mensuelle ou trimestrielle ? 3. Se concentrer sur les bons KPIs (en lien avec ses objectifs) Les KPIs permettent de mesurer l’impact de vos campagnes et de vos actions marketing. Il s’agit d’informations aidant au pilotage et à la prise de décision qui sont bénéfiques pour la pérennité de votre entreprise. Il est donc primordial de se concentrer sur les bons indicateurs en lien avec vos objectifs (exemple : CA, nombre de création de compte, nombre de visiteurs par mois…). En suivant régulièrement ces KPIs, vous saurez ainsi si vous êtes en bonne (ou en mauvaise) voie pour atteindre vos objectifs. 4. Soigner la présentation visuelle de vos reportings Au-delà de 20 métriques, un tableau de bord perd son pouvoir de synthèse. Il est donc primordial de soigner la présentation visuelle de ses reportings afin de mieux mettre en évidence la donnée. Pour cela, vous pouvez notamment utiliser des outils de dashboarding comme Klipfolio Business Dashboard ou Nexboard, une application de tableau de bord SEO & Analytics qui automatise la collecte de vos données marketing. Ce type d’outil propose des tableaux de bord web au sein d’une interface fluide et ergonomique afin de simplifier la réalisation de vos reportings. 5. Partager vos données (collaborateurs et salariés etc) Pensez également à partager vos reportings aux personnes concernées (salariés, collaborateurs etc). En plus de leur donner une vision globale de la santé de votre entreprise, cela permettra également de les impliquer davantage dans son développement. Et-vous, quelles sont vos astuces pour réussir vos reportings ?

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Selon une estimation réalisée par le think tank libéral Fondation Concorde, la proportion de travailleurs à distance au sein de la population active oscillerait entre 2 et 6%, un niveau très inférieur à la moyenne européenne. La France est-elle un pays de télétravailleurs ? Pas vraiment si l’on s’en tient aux chiffres avancés par la fondation Concorde qui avance une estimation comprise entre 2 et 6% de la population active. Mais la marge de progression est forte : la même étude évalue à 7 millions le nombre d’employés éligibles au statut, soit 26% des actifs en emploi. Un autre état des lieux réalisé par le ministère du Travail situe autour des 8% la proportion de travailleurs concernés régulièrement par cette formule à distance un effectif qui grimpe à 16,7% en comptabilisant les télétravailleurs occasionnels. Dans tous les cas, ces chiffres restent inférieurs à la moyenne européenne (17,7%). D’après une étude datant de 2009, 32,4% des salariés finlandais exerçaient, à l’époque, plus de 8 heures par mois en télétravail. Ils étaient 18,8% en Allemagne. En France, le sujet fait encore débat dans la sphère syndicale. En février dernier, des discussions entre partenaires sociaux ont débouché sur la rédaction d’un rapport remis à la nouvelle ministre du Travail Muriel Pénicaud. Le document juge ainsi « nécessaire de clarifier les règles applicables au télétravail » : les syndicats évoquent notamment l’élargissement de la législation sur les accidents professionnels aux salariés en poste à domicile. L’autre proposition porte sur les modalités contractuelles du télétravail, avec une possibilité de le fixer un durée déterminée. A en croire une étude réalisée par le Commissariat général à l’Egalité des Territoires, un développement du télétravail serait bénéfique pour la compétitivité des entreprises : en travaillant depuis son domicile, le salarié serait plus productif (+22%), moins souvent en arrêt maladie (5,5 jours par an en moins en moyenne et permettrait à son employeur de faire des économies de locaux.

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