Sous la pression des organisations patronales et de certains acteurs économiques qui subissent de plein fouet les effets du télétravail sur leur niveau d’activité, l’Etat assouplit les conditions d’accueil des salariés. Masque, gel, distanciation : c’est, depuis le déconfinement très « progressif » du 11 mai, le triangle équilatéral qui prévaut dans les entreprises et y impose un cadre rigide peu compatible avec les acquis du « monde d’avant » cher aux employeurs. Beaucoup d’entre eux (mais pas tous) ont vécu ce protocole comme une contrainte – financière d’abord – et un étau trop serré pour leur permettre d’accueillir la totalité de leurs effectifs (et donc d’en maintenir une partie en télétravail, une formule conseillée par le gouvernement afin d’éviter une sur-fréquentation des transports en commun). Au plus fort de la crise sanitaire, une enquête dite « Acemo » (Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre) avait permis de sonder les ressentis dans les entreprises qui accueillaient alors dans leurs murs la moitié de leurs salariés : les dirigeants interrogés voyaient dans les mesures à mettre en place pour garantir la sécurité de leurs collaborateurs un « obstacle » à une véritable reprise, en ce qu’elles « limitent la productivité et/ou augmentent les coûts de fonctionnement ». Les structures déploraient notamment «« la disponibilité limitée de certains salariés et les frein occasionnés par la distanciation physique dans l’organisation globale de l’activité ». Ces doléances, relayées au niveau national par les principales organisations patronales (Medef, CPME), ont fini par résonner aux oreilles des pouvoir publics, plus enclins et réceptifs qu’il y a un mois à des assouplissements alors que la situation épidémique paraît « sous contrôle ». Un amendement va très prochainement adoucir le dispositif réglementaire fixé par le décret du 1er juin qui formalisait les conduites à tenir dans les bureaux, les commerces, les structures industrielles au stade n°2 du déconfinement : Le télétravail, jusqu’ici préconisé par l’Etat auprès des entreprises qui en avaient la possibilité, ne deviendra plus l’alternative prioritaire (le retour des salariés sur site est aussi réclamé par les restaurants urbains qui cherchent à récupérer leur clientèle professionnelle). La fin des 4 m² entre collègues Mais pour faire sauter cette consigne, il fallait déverrouiller le cadre qui, de fait, limite encore aujourd’hui la capacité d’accueil des salariés en milieu « fermé » : la fameuse règle des 4m² nécessaires entre chaque personne, devrait disparaitre au profit d’une mesure de distanciation plus raisonnable, réduite à « un mètre ». Soit un quasi retour à la normale, du moins dans les structures de service qui fonctionnent avec des bureaux. Le port du masque restera toutefois de rigueur, si les nouvelles normes en matière de distanciation physiques ne sont pas tenables en raison de la nature de l’activité ou de l’exiguité des locaux. Idem pour le gel hyro-alcoolique dont la mise à disposition devra être poursuivie afin d’offrir à l’ensemble des personnels de se laver les mains de façon régulière. Les plans de circulation devront aussi être maintenus afin de

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Pour les entreprises, il est devenu indispensable d’avoir un site internet où sont proposés ses produits ou ses services. Concernant la création d’un site web, nombreuses sont les sociétés qui préfèrent confier ce projet à une agence web offshore à Madagascar ou ailleurs. Pour comprendre cette décision, voici 4 atouts que peuvent offrir une agence offshore pour la création et la maintenance d’un site internet. Pour profiter d’une très bonne qualité de travail Il faut savoir que la conception et la maintenance d’un site web nécessitent des compétences spécifiques. De ce fait, elles ne peuvent pas être prises en charge par un débutant peu expérimenté puisqu’il ne maîtrise pas les techniques et les stratégies web comme un professionnel. En faisant appel à une agence web offshore, vous bénéficierez de prestations de qualité. Votre prestataire prendra effectivement en compte votre domaine d’activité ainsi que vos contraintes pour répondre à vos attentes. De plus, il peut remplir plusieurs missions spécifiques et améliorer la visibilité de votre site internet. Par exemple, une agence web offshore à Madagascar dispose généralement d’une équipe compétente et hautement qualifiée en matière de développement web. Pour s’assurer de la réception de ses projets dans les délais En plus des prestations de qualité, un autre avantage non négligeable d’une agence offshore est la création du site internet de votre entreprise dans le temps prévu. Cela permet d’atteindre vos objectifs et vous pourrez lui confier d’autres projets en les notifiant dans un cahier des charges. Comme votre prestataire s’engage à fournir des services de qualité dans les délais impartis, vous pourrez pleinement vous concentrer sur votre structure et assurer un emploi plus efficace de votre personnel. Il ne faut pas oublier qu’une agence web offshore à Madagascar ou ailleurs se distingue par sa maîtrise des rouages de communication. De plus, elle veille à ce que vos activités et vos produits soient mis en avant. Après tout, son objectif principal reste votre entière satisfaction. Pour assurer la maintenance du site internet de son entreprise Mis à part la création d’un site web, une agence web offshore s’occupe également de sa maintenance et se charge de la supervision de la plateforme. Il s’agit d’ailleurs d’une étape nécessaire pour que le site internet de votre entreprise reste viable et attractif. Pour ce faire, une actualisation régulière du site et la refonte de son design sont nécessaires. Il ne faut pas oublier que la toile reste un domaine très actif avec des innovations permanentes. En ayant recours à une agence web offshore à Madagascar ou dans un autre pays, votre site internet sera mis à jour en temps réel et votre plateforme gardera un aspect moderne au fil des années. Pour faire des économies en réduisant les coûts Si vous décidez de votre propre équipe pour la création et la maintenance de votre site web avec les mêmes exigences de compétences et de qualité, vous devrez investir dans une formation pouvant durer des années et dans des ressources très coûteuses. Pourtant, si vous faites

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Dans un contexte concurrentiel soutenu dans la plupart des secteurs d’activité, le monde professionnel est aujourd’hui de plus en plus oppressant. La course aux résultats et à la performance est une source de stress permanente qui affecte le bien-être au travail. Cette situation peut mener à l’épuisement professionnel, une tension excessive entre l’idéal qui habite le travailleur et les contraintes de la réalité qui en restreignent la concrétisation. Il existe toutefois des moyens de s’en prémunir. Qu’est-ce que le bien-être au travail ? L’une des principales préoccupations de nombreux actifs est de pouvoir s’épanouir dans leur métier. En effet, le rapport au travail n’est plus strictement pécunier, mais est vécu comme un vecteur d’épanouissement et de réalisation de soi. Ainsi, les entreprises et les administrations sont de plus en plus en plus soucieuses de la qualité de vie au travail de leurs salariés, l’enjeu étant crucial. Selon l’OMS, le bien-être au travail consiste en : « un état d’esprit dynamique, caractérisé par une harmonie satisfaisante entre les aptitudes, les besoins et les aspirations du travailleur, d’une part, et les contraintes et les possibilités du milieu de travail, d’autre part ». Plusieurs facteurs y participent, à savoir : L’environnement de travail et son ergonomie ; Les relations entre les collègues et avec la hiérarchie, L’intérêt du travail et les valeurs de l’entreprise ; Le niveau d’implication du salarié et la rémunération. Lorsque qu’aucune démarche n’est menée pour créer des conditions de travail favorables au bien-être, il en résulte un mal-être, autant préjudiciable au salarié qu’à l’entreprise : absentéisme, maladies, mauvais résultats, turn-over, etc. En quoi consiste le mal-être au travail ? Le syndrome d’épuisement professionnel ou burn-out est très caractéristique de l’absence de bien-être au travail. Il se traduit par un épuisement émotionnel, physique et psychique, le développement d’une attitude cynique dans le cadre du travail, et une dévalorisation de soi. A l’inverse, le bore-out est lié non pas à une charge de travail énorme, mais plutôt à un manque de stimulation, une moindre sollicitation créant ainsi un ennui chronique et stressant. Par ailleurs, le brown-out est une autre forme d’épuisement professionnel se caractérisant par une perte de sens au travail. Le sentiment de réaliser des tâches chronophages et absurdes entraine une démotivation progressive et un sentiment de lassitude chez le travailleur. Il s’ensuit une remise en question professionnelle et personnelle, voire une perte de l’estime de soi. Pallier ce mal-être au travail grâce au cabinet d’outplacement job&mobilité Face à l’épuisement professionnel, quelle que soit la forme qu’il peut prendre, l’outplacement est une solution préventive et palliative qui fait ses preuves. Être accompagné par un professionnel du marché de l’emploi et de la transition professionnelle permet de se poser les bonnes questions et de trouver les bonnes informations pour se créer de véritables opportunités professionnelles. L’outplacement recouvre plusieurs aspects : un bilan de compétences ou de carrière pour se positionner adéquatement sur le marché du travail, ou créer une entreprise, des conseils avisés, un soutien logistique et une expertise technique. C’est une prestation de repositionnement professionnelle qu’il sied de solliciter pour mieux rebondir sur le plan personnel et professionnel. Chez job&mobilité, toute

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À l’occasion d’un événement particulier, comme Noël, beaucoup d’entreprises envoient des cartes de vœux à leurs clients et à leurs différents partenaires afin de se rapprocher d’eux. En plus de faire plaisir à leur clientèle et à leurs collaborateurs, cela leur permet de les fidéliser. Certaines sociétés ont toutefois du mal à faire le bon choix entre la carte de vœux papier et virtuelle. Afin de les éclairer à ce sujet, voici justement les critères à prendre en compte pour prendre la meilleure décision. Les prix Pour bien choisir entre la carte de vœux virtuelle et le format papier, il est tout d’abord important de prendre en considération les prix. L’essentiel à savoir est que les cartes virtuelles, étant donné qu’elles sont dématérialisées, sont souvent plus avantageuses en matière de coûts. Même si on en envoie une vingtaine d’exemplaires, voire plus, leurs prix sont toujours réduits. Il ne faut en aucun cas oublier que les cartes papier nécessitent, en plus des frais techniques d’impression, toutes sortes de frais d’envois postaux. Et pourtant, l’envoi de cartes par email est entièrement gratuit. Il suffit bien sûr de disposer d’une connexion Internet. L’envoi et la réception Comme il a été dit précédemment, l’envoi de carte de vœux papier génère des coûts d’expédition. De plus, pour l’envoyer, il est indispensable de mobiliser du personnel pour sa mise sous enveloppe et l’apposition d’un timbre, par exemple. Néanmoins, on peut être sûr que ses destinataires, et donc ses clients et ses partenaires, recevront bel et bien ses vœux. Malheureusement, ce n’est pas toujours le cas avec la carte de vœux virtuelle. Effectivement, il se peut que les emails envoyés soient considérés comme des spams par certains antivirus, et soient ainsi placés dans les courriers indésirables, surtout s’il s’agit d’une pièce jointe. La personnalisation Les deux types de cartes de vœux sont en général personnalisables à souhait. Ils peuvent contenir le logo de toute société et un message de vœux. Les possibilités varient dans la majorité des cas en fonction des offres. Toutefois, étant donné qu’on peut se passer des différentes contraintes techniques d’impression avec les cartes virtuelles, celles-ci proposent des options de personnalisation beaucoup plus avancées selon les outils disponibles. Pour faire simple, elles offrent de ce fait une plus grande liberté de création. On peut alors bénéficier de cartes de vœux très personnalisées, originales et uniques. La relation client Bien qu’elle soit déjà bien démocratisée depuis quelques années, la carte de vœux virtuelle est toujours considérée comme une nouvelle technologie. Son usage est ainsi en mesure de valoriser l’image de toute société, car elle peut prouver sa maîtrise et sa connaissance des différentes solutions les plus récentes. Cependant, les cartes virtuelles peuvent apparaître comme une solution de facilité aux yeux des divers destinataires. Et pourtant, si l’outil de personnalisation le permet, la création d’une telle carte peut être très évoluée. Les deux types de cartes ont chacun leurs avantages et inconvénients. Le choix dépend énormément des besoins, des préférences et des moyens de chacun.

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La transformation digitale a vu le monde de travail s’améliorer ces dernières années. Cette révolution a permis d’optimiser le métier d’expert-comptable. Qui dit expert-comptable dit entreprise. Ces deux institutions se rattachent, le succès de l’une dépend de l’autre. Désormais, de nombreuses sociétés se lancent dans cette profession d’expert-comptable pour apporter leurs aides aux entreprises clientes, et SBA Compta en fait partie. Comment contacter SBA compta ? Désirez-vous travailler avec SBA compta afin de recevoir de l’aide concernant les réglementations de votre agence immobilière, ou si vous voulez plus d’information, n’hésitez pas à visiter le site de SBA compta, expert-comptable immobilier. Les experts-comptables : c’est quoi ? Les experts-comptables sont des professionnels diplômés d’expertise comptable après un cursus de 8 ans. Ils conseillent des milliers d’entreprises chaque jour, tout en leur apportant des solutions en fonctions de leurs besoins spécifiques. Ils s’occupent à la fois du domaine fiscal, de la comptabilité, di domaine social et juridique. Ils accompagnent également l’entreprise tout au long de son existence et à chaque étape franchie par cette dernière, ils cherchent des nouveaux moyens permettant de développer encore plus l’entreprise concernée. Les experts-comptables sont indépendants et jouent également le rôle de contrôleurs. Ils vérifient si les comptes de leurs entreprises clientes sont conformes à la loi et mettent en garde les dirigeants au sujet des indicateurs de performance. Les experts-comptables fiables : quels critères ? Afin que vous puissiez travailler avec votre expert-comptable, vérifier s’il est fiable. Tout d’abord, confirmez bien s’il a suivi des études concernant ce travail qu’il entreprend. Ensuite, vérifiez s’il est inscrit dans l’ordre des experts-comptables. La communication avec un expert-client doit se faire instantanément et de manière fluide pour qu’il puisse apporter l’aide dont vous avez besoin à tout moment. Ainsi, n’oubliez pas de vérifier sa disponibilité. Enfin, assurez-vous que le service dispose des meilleurs outils permettant de sécuriser, de récupérer ainsi que de catégoriser les transactions effectuées par votre entreprise. Comment définir SBA compta ? Le SBA compta est un cabinet d’expertise comptable qui a pour objectif d’aider les entrepreneurs et de simplifier leur travail. Un cabinet de comptabilité digitale fiable et sécurisé, en charge de toutes vos obligations comptables. Il allie à la fois savoir-faire et technologie. Et bien évidemment, il respecte tous les critères cités ci-dessus. Avec ce service, les entreprises ne se soucient plus des contraintes de gestion inévitables dans le domaine de l’entrepreneuriat. Il est d’une grande aide pour les chefs d’entreprise. Pour optimiser le succès de ses entreprises clientes, il s’investit pleinement dans ses missions. Il est même reconnu dans toute l’Europe par son travail de précision. Le cabinet s’adresse à tout type d’entreprises. Il intervient dans différents secteurs à l’instar du bâtiment, des travaux publics, des startups, de la coiffure, des nouvelles technologies, de l’audiovisuel et de l’agricole. SBA compta : quels atouts ? Opter pour un cabinet d’expert-comptable vous garantit le succès en matière d’entrepreneuriat. Vous gagnez du temps en laissant ce service s’occuper de tout le travail à votre place. De plus,

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Les projets sont indissociables dans la vie d’une entreprise. Ils ont pour objectif d’améliorer le rendement et l’efficacité. Pour réussir un projet, il faut réunir un membre d’équipe apte à concrétiser l’idée. Pourtant, les collaborateurs possèdent souvent des compétences différentes. À cela s’ajoutent les contraintes liées aux facteurs temps ou conflits. Pour gérer tous ces aspects, il est nécessaire de désigner trois acteurs majeurs. Le comité de pilotage Avant de commencer un projet, il est essentiel de nommer un comité de pilotage. L’équipe sera le garant du succès du projet grâce à son rôle de contrôleur. Elle intervient principalement pour valider les stratégies apportées par le chef de projet. En pratique, le chef de projet est amené à présenter une feuille de route qui constituera la ligne directrice du dessein. Il attendra ensuite l’aval du comité. Le comité de supervision est composé de plusieurs cadres de l’entreprise. Des tiers externes à la société peuvent aussi être conviés en tant que membres. Cependant, le projet doit être destiné pour un organisme étranger à la société, par exemple les clients. L’assemblée sélectionnée doit seulement avoir une influence sur l’équipe chargée de réaliser l’idée. À la fin du projet, ce comité sera dissous. Les membres reprendront à nouveau leurs anciennes attributions au sein de l’entreprise. Cela dit, ils ne sont pas tout de suite déchargés de leurs fonctions. De plus, il faut attendre quelque temps pour voir la portée du projet. Autrement, il est essentiel de vérifier son succès et son impact réel. Le comité de suivi Après le lancement du projet, la mise en place d’un comité de suivi est incontournable. Il est chargé de résoudre les conflits observés entre les parties prenantes lors de chaque étape. Il veille aussi au respect des temps impartis à l’atteinte de chaque point. Quand les stratégies du chef de projet parlent de 30 jours pour le succès d’une étape, ce comité devra garantir le respect du délai. Le facteur temps est intimement lié au budget. Les vérifications régulières s’imposent systématiquement pour éviter un éventuel dépassement des coûts. Si tel est le cas, les stratégies du chef de projet pourraient être remises en question. Lors de l’évaluation, il est essentiel d’estimer les écarts entre les objectifs prédéfinis et le réel. Pour ce faire, il existe les outils de reporting. Au cas où les écarts démontrés dans les tableaux de bord sont importants, l’équipe devra apporter des solutions en opérant des actions correctrices. Dans ce cas, il est conseillé d’organiser des réunions avec le comité de supervision et le chef de projet. Grâce à ces réunions, il est essentiel d’appliquer des stratégies différentes à celles convenues au départ. Choisir le bon chef de projet Le chef de projet a pour mission de mener à bien le projet. Il peut être un collaborateur de l’entreprise ou un consultant externe. Son profil dépendra de la nature du projet. Si l’entreprise compte améliorer la qualité de travail des employés, elle confiera la tâche à un responsable des ressources humaines. Le

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La digitalisation a atteint tous les secteurs de la société, y compris celui de la formation. Il est chose courante aujourd’hui de suivre une formation entièrement à distance sans devoir arrêter un emploi ou une autre activité. Une formation en ressources humaines pour les futurs leaders en entreprise peut se faire à distance grâce aux nouvelles technologies. Quels sont les avantages d’une telle modalité de formation ? Un gain de temps et d’argent Opter pour une formation ressources humaines à distance vous fait gagner du temps, et vous pouvez réaliser d’intéressantes économies. Vous n’aurez pas besoin de vous déplacer pour rejoindre les salles de cours et le budget transport est donc inexistant. Vous aurez de la possibilité de gérer votre emploi du temps selon vos objectifs à atteindre. Le tarif est généralement aussi réduit, et suivre une formation rh à distance est une bonne opportunité pour devenir un expert en ressources humaines. Contourner les contraintes professionnelles Si les activités professionnelles pouvaient jadis représenter un obstacle à la formation, une formation en ressources humaines à distance permet de contourner les contraintes liées à un emploi ou à toute autre activité. Vous pouvez poursuivre une formation en e-learning tout en continuant de travailler. Il vous faudra juste une bonne organisation et motivation. Toutefois, cela ne signifie pas qu’une formation à distance en ressources humaines ne s’adresse qu’aux professionnels. Les étudiants également peuvent postuler et se former. Se former à domicile Avec les contraintes sanitaires actuelles, une formation à distance est véritablement la meilleure option pour se former sans stress. Vous bénéficiez également du confort de travailler chez soi grâce à une connexion internet. Même si vous ne trouvez pas à proximité de votre domicile un centre de formation qui offre un parcours en ressources humaines qui vous convienne, vous pouvez toujours vous former en sélectionnant la formation qui vous intéresse et en la suivant à distance depuis votre domicile. Une formation à la pointe Un parcours de formation à distance comprend l’utilisation de plusieurs outils technologiques. Vous êtes donc formé aux nouvelles technologies pour devenir un expert digital RH. De plus, les programmes de formation sont bien pensés et conçus pour donner aux apprenants les connaissances dont ils ont besoin pour s’affirmer pleinement dans leurs futurs postes de travail. Le choix de l’école doit toutefois être fait en toute connaissance de cause, en vérifiant les accréditations.

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C’est le constat tiré par une étude de Sapio Resarch sur la juste utilisation du temps de travail. Est-ce un problème de mentalité, de méthodologie, de culture ou un mauvais usage du management ? A en croire les résultats de l’étude menée par le cabinet Sapio Research pour une société éditrice d’un outil de gestion en équipe (Asana), les salariés français perdraient beaucoup plus de temps au travail que leurs homologues australiens, allemands, japonais, néo-zélandais, américains ou britanniques. Dans cette enquête, qui s’emploie à décrypter les mauvaises habitudes nuisibles à la productivité en entreprise, les auteurs mettent en avant une notion qu’ils baptisent le « work about work », ces longues heures passées à des tâches formalistes, organisationnelles et des process à n’en plus finir dont le cumul quotidien, hebdomadaire, mensuel et annuel finit par mordre sur les missions réelles vendues au client et créatrices de valeur. D’après Sapio research, les français gâchent 66% de leur temps de travail dans « des tâches de coordination ». A quoi s’ajoutent 13 % dédiés à de la « planification stratégique et de l’analyse prospective ». Faites le calcul, il ne resterait que 21 % d’ « espaces » pour le travail dit qualifié, c’est-à-dire celui pour lequel l’employé a été initialement embauché. En ligne de mire, la multiplicité et la longueur de réunions inutiles qui se sont parfois inopportunément substituées aux échanges informels en physique, notamment lors des phases de télétravail imposées par la crise sanitaire de 2020, : ces points d’équipes, jugés « superflus » auraient fait perdre quelques 160 heures de productivité aux salariés français l’an dernier. L’étude pointe aussi une autre tare, les « doublons », ces mêmes tâches effectuées deux, trois, quatre fois par autant de collaborateurs différents, conséquences d’un « manque de clarté sur les rôles et les responsabilités de chacun ». Le chiffre fait peur : les français passeraient, chaque semaine, 4 h et 58 minutes à remplir des missions…déjà effectuées par des collègues. Ces vides ou ces « trop-plein de vides » pèseraient lourdement sur le confort au travail et expliquent en partie la réalisation d’heures supplémentaires plus ou moins contraintes. Avec une conséquence : « 82 % des salariés disent avoir des difficultés à se déconnecter du travail et 70 % ont déclarent avoir subi au moins un épisode de burn-out en 2020 » souligne encore l’étude.

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De nombreux professionnels à la recherche d’une opportunité de reconversion choisissent le lancement en franchise. Cependant, ce projet nécessite une bonne préparation et la réalisation de démarches similaires à la création d’une entreprise. C’est pour cette raison que les futurs franchisés devront se poser 5 questions avant de prendre la décision. 1 – Quels sont les enjeux de l’ouverture de franchise ? Le lancement en franchise est un projet d’entrepreneuriat qui se distingue par l’obligation de signer un contrat de collaboration avec le franchiseur. Ce contrat permettra de bénéficier de la notoriété de l’enseigne, des formations fournies dans le réseau et de nombreuses opportunités en fonction du secteur retenu. Cependant, c’est également l’engagement à respecter la politique marketing commune et à accepter certaines contraintes. C’est pour cette raison que chaque candidat doit se renseigner en amont sur les enjeux de la franchise, afin de savoir s’il est prêt pour ce type de projet. 2 – Quel secteur choisir ? Lorsqu’il s’agit du secteur, les franchisés font leur choix en fonction de plusieurs critères, notamment de leurs compétences personnelles, de leur intérêt pour un secteur en particulier ou encore du potentiel de croissance sur le marché local. Ainsi, les personnes intéressées par la restauration rapide qui souhaitent aborder un concept différent peuvent opter pour Subway. C’est une franchise spécialisée dans la préparation de sandwichs personnalisés. 3 – L’étude de marché L’étude de marché représentent une étape essentielle dans tout projet de création d’entreprise. A ce stade, l’entrepreneur évalue son potentiel de marché, les opportunités de croissance ainsi que les freins et ses points faibles. Dans un secteur très concurrentiel tel que la restauration rapide, de nombreux franchisé préfèrent se démarquer à travers un concept original comme Subway. 4 – Quel enseigne choisir ? Lorsque le franchisé a choisi son secteur, il convient également sélectionner plusieurs enseignes et comparer les opportunités qu’elles offrent. Le choix de l’enseigne se fera en tenant compte de plusieurs critères, dont le potentiel de marché, l’originalité du concept et le savoir-faire du réseau. A ce stade, les experts conseillent de recueillir un maximum d’informations et de visiter chaque société. 5 – Le plan de financement L’ouverture d’une franchise exige un budget important, qui comprend les droits d’entrée, les loyers des locaux, l’approvisionnement des stocks et d’autres frais. Le franchiseur doit tout d’abord connaître avec précision le budget dont il a besoin. Ensuite, il doit préparer sa demande de financement et sa stratégie de négociation avec les banques. En parallèle, il est recommandé de se renseigner sur les dispositifs d’aide pour la création d’entreprise. Ces aides sont accessibles dans plusieurs secteurs, si le franchisé respecte les conditions d’éligibilité.

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L’Asset Management, qu’on désigne aussi par gestion d’actifs est un terme qui fait référence aux professionnels gérant des fonds d’investissement des entreprises, des caisses de retraites ou encore des investisseurs institutionnels. L’objectif de l’activité et donc des gestionnaires, est d’obtenir le meilleur rendement, en fonction du niveau de risque choisi. Pour cela, elle doit tenir compte des contraintes réglementaires et contractuelles. Les caractéristiques de la gestion d’actifs L’activité de l’Asset Management est prise en charge par des professionnels qu’on appelle asset managers. Grâce à une étude des marchés financiers, des études économiques, mais aussi de la connaissance de différents secteurs et des entreprises, ils établissent une allocation d’actifs et une stratégie d’investissement selon les besoins et les objectifs du client. Pour cela, ils sont amenés à choisir des titres financiers négociés sur les marchés internationaux et boursiers et investissent aussi dans des actifs non côtés. Pour trouver le meilleur rendement, la société de gestion de portefeuille doit choisir le meilleur niveau de risque, en ce sens que la maîtrise de ce dernier fait aussi partie de ses compétences. Les spécialistes en Asset Management Il existe de nombreuses sociétés de gestion en France, mais certaines se démarquent par leur capacité à dénicher les meilleures opportunités pour l’investisseur. Ainsi, on peut citer : Natixis Asset Management : elle propose une approche proactive des marchés, des portefeuilles et des investisseurs pour aider à une meilleure prise de décision. Quelles que soient les conditions de marchés, elle garantit l’atteinte des objectifs. Le groupe possède plus de 20 sociétés de gestion dans le monde. Ofi Asset Management : avec 70 milliards d’actifs sous gestion, Ofi fait aussi partie des sociétés de gestion les plus influentes. Elle se distingue par son action écoresponsable depuis plus de 20 ans et les valeurs mutualistes qu’elle partage avec ses actionnaires. Groupama Asset Management : fondée en 1 993, Groupama Asset Management mise sur une organisation par expertises métiers, avec une approche collaborative. Elle met en place un dispositif de contrôle structuré pour sécuriser les clients au maximum face aux risques. Les produits pour investir des fonds Les actions : ce sont des titres représentant une partie du capital d’une société. Les actions permettent d’obtenir de meilleurs rendements mais sont très volatiles. Elles peuvent évoluer rapidement à la hausse ou à la baisse. Les fonds monétaires : sur des placements à court terme, ils offrent un rendement peu élevé, mais aussi moins risqué. Les obligations : il s’agit de titres de dettes. L’émetteur s’engage à rembourser un emprunt sur une période donnée et avec les intérêts qui s’y accompagnent. Comparées aux actions, les obligations offrent un rendement plus faible, mais plus régulier. La gestion alternative : elle réunit deux types de gestion qui sont le private equity (capital-investissement) et le hedge funds. La gestion diversifiée : en vue de réduire le risque global, le gestionnaire cherche à diversifier les placements en investissant dans différents secteurs et dans différents produits financiers. Le rôle du gestionnaire Le gestionnaire de portefeuilles a pour

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