Le terme Social media API peut vous être étrange, et pourtant, tous les jours vous vous en servez. Pour dire simplement, ce sont les applications qui jouent les intermédiaires entre vous et les serveurs. Ils sont entre autres en action quand vous achetez en ligne ou que vous regardez des films en streaming. Pour les entreprises, l’utilisation de ces logiciels a un tout autre enjeu : la visibilité. Le Social media API pour la récolte des données Les grandes comme les petites entreprises ne peuvent plus désormais se passer des réseaux des sociaux afin de garantir leur visibilité sur le marché. Cependant, il ne suffit pas d’ouvrir un compte professionnel. Il faut aussi pouvoir exploiter les données. Heureusement, il existe des logiciels qui peuvent aider en ce sens, dont notamment le Social media API. C’est un programme qui permet simplement de récolter des données sur internet afin de les utiliser pour la mise en place d’un plan marketing efficace et sur mesure. Les API de média social permettent également d’assurer la qualité des prestations et ainsi de soigner l’image que vous avez en ligne. Choisir le bon type de Social media API Le Social media API se décline en plusieurs sortes. Vous avez notamment les API ouverts qui sont accessibles à tout le monde. Ce sont les plus usités sur les sites de vente en ligne, les sites de visionnage de vidéo en ligne et sur les réseaux sociaux. Pour les entreprises, on utilise aussi fréquemment les API internet. Ce sont des logiciels qui permettent une communication simple et sécurisée au sein de la société. Les API partenaires peuvent également être utiles. Ce sont des programmes à mi-chemin entre les API ouverts et internes. Des personnes extérieures peuvent les utiliser, mais sous certaines conditions. Pour les développeurs, il existe également les API composites. Ils permettent d’accéder et de modifier les données des applications qu’il crée. Un API pour votre projet marketing En d’autres termes, le Social media API idéal à utiliser dépend de vos besoins et du public à qui vous adressez. Il faut savoir que les plus usités, tant par les particuliers que par les marques, sont les API Twitter, Instagram, Facebook, Linkedin, et YouTube. Sur les différentes plateformes, vous pouvez accéder à différents sites d’API. Ces derniers peuvent vous permettre de récolter les données sur les réseaux sociaux et de les utiliser. En d’autres termes, ces plateformes vous aident dans l’audit et l’amélioration de votre projet marketing. Les sites rationalisent les données pour une meilleure contextualisation et exploitation. Vous allez ainsi pouvoir évaluer le comportement et les besoins de vos publics cibles pour pouvoir adapter votre approche durant la prospection. Les API aident également à analyser votre performance sur Internet, et ce, en temps réel. Les données peuvent toucher aussi bien aux nombres de visites sur votre profil, mais aussi aux comportements des internautes face à vos publications et évènements. Les API peuvent vous aider à évaluer la concurrence. Ils vous aident à récolter tout un ensemble de

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Dans un mois, les employeurs auront la possibilité d’établir en accord s avec les partenaires sociaux, un planning de télétravail pour leurs personnels. Cinq jours sur cinq d’activité en distanciel chaque semaine. C’est la règle qui prévaut depuis plusieurs mois dans les entreprises soumises à un strict protocole sanitaire imposé par la situation épidémiologique. A partir du 9 juin, et après quatre semaines de confinement (le troisième en un an), les employeurs vont retrouver une latitude certaine dans la mise en place de leur planning de télétravail. Le 30 avril dernier, la calendrier de déconfinement dévoilé par l’exécutif prévoit une levée progressive de restrictions qui frappaient jusqu’ici les restaurants : or l’activité de ce secteur, notamment le midi, est étroitement lié à la présence de salariés sur leurs lieux traditionnels d’exercice, au bureau, à l’atelier ou à l’usine. C’est cette nécessaire concomitance entre l’offre et la demande qui a conduit l’Etat à introduire une forme de dosage dans son plan de sortie de crise : le 18 mai prochain, bars et restaurants seront seulement autorisés à rouvrir leurs terrasses. Trois semaines plus tard, le 9 juin, leurs salles pourront accueillir du public, date à laquelle le télétravail commencera justement à être allégé.Comment cet assouplissement va-t-il s’appliquer ? Sans doute les entreprises renoueront-elles avec la situation de l’été dernier : à l’époque, le télétravail était seulement recommandé et les contrôles destinés à en vérifier la fréquence quasi inexistants. La tendance était alors à l’établissement de plannings personnalisés, voire au cas par cas, avec une alternance plus ou moins équilibrée entre travail à domicile et jours de présence au bureau. Une carte blanche qui devrait être redonnée aux entreprises en juin, comme l’a avait indiqué la ministre du Travail Elisabeth Borne fin avril : « je souhaite que les employeurs puissent le plus vite possible définir eux-mêmes les bonnes règles ». Les conditions et les modalités du retour progressif des salariés sur site fait actuellement l’objet de négociations entre le gouvernement et les partenaires. La piste envisagée conduirait à une modification du protocole sanitaire en entreprise à partir du 9 juin. Le texte indiquerait alors que « le nombre minimal de jours de télétravail est à définir au sein de chaque entreprise, via le dialogue social ». Selon une étude Harris Interactive commandée par l’Hôtel du Châtelet, un peu moins de la moitié des actifs (43 %) a télétravaillé en avril : sur ce total, 78% occupaient un poste adaptable à ce mode d’organisation.

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Le gouvernement réinstaure dans tous les secteurs d’activité l’enveloppe exceptionnelle de 1 000 euros, net d’impôt et exonérés de cotisations. Après un an de crise sanitaire et d’incertitudes liées aux effets économiques de l’épidémie, le coup de pouce promis par l’Etat aux salariés passera par le retour d’une formule déjà expérimentée au plus fort du mouvement des gilets jaunes en 2018 et 2019 : possibilité va de nouveau être offerte aux entreprises de verser, comme à l’époque, une prime jusqu’à 1000 euros à leurs personnels, a annoncé lundi soir le premier ministre Jean Castex à l’issue d’une conférence de dialogue social organisée avec les partenaires sociaux. Le dispositif n’a rien de contraignant puisque le choix d’y recourir ou non est laissé à la discrétion des employeurs. Il est en revanche incitatif : les sommes débloquées sont nettes, au sens où elles sont exonérées de cotisations sociales et patronales, et qu’elles ne sont pas comptabilisées dans le calcul de l’impôt sur le revenu. Fin de la prime à l’embauche Comme il y a deux ans, tous les salariés sont potentiellement concernés par cette prime, quel que soit le secteur d’activité où ils exercent, alors que le projet de relance initial proposé par l’Etat visait à limiter le périmètre de la récompense aux travailleurs modestes dits de « deuxième ligne » qui sont restés au front durant la première phase de l’épidémie et ont fait tourner la machine économique, à savoir les personnels de caisse dans les supermarchés, les routiers et les livreurs, les prestataires du nettoyage, les ouvriers du bâtiment. Les 1 000 euros pourront même être portés à 2 000 euros dans les entreprises et pour les branches qui auront soit conclu un accord d’intéressement avant la fin 2021, soit ouvert une négociation sur la valorisation des métiers de la deuxième ligne, lesquels devront être les bénéficiaires privilégiés » a précisé le premier ministreC’est l’une des différences de cette nouvelle mouture par rapport à la précédente : l’Etat souhaite négocier avec les partenaires sociaux pour concentrer l’effort sur les bas salaires. Pour appel, la première version de la prime Macron avait été ouverte aux rémunérations jusqu’à trois fois le smic et 5,5 millions de français l’avait touchée en 2019. Le Mouvement des entreprises de France (Medef) soutient la mesure à demi-mots mais pointe un risque de « désillusions » chez les salariés, en raison des difficulté que leurs employeurs « pourraient avoir à verser cette prime, après une année qui fut, pour beaucoup d’entre eux, l’une des pires qu’ils n’aient jamais vécu ». La conférence sociale a aussi été l’occasion pour Jean Castex de programmer la fin de la prime à l’embauche (1000 euros par trimestre sur l’emploi des jeunes de moins de 26 ans). Cette aide, qui aurait permis recruter 1,3 million de jeunes entre aout 2020 et janvier 2021, sera recentré après le 31 mai sur les salaires inférieurs à 1,6 smic.

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Le 8 mars, le ministère du Travail a dévoilé les résultats de l’index qui permet de mesurer l’équité de rémunération entre les hommes et les femmes. Mis en place il y a deux ans dans les grands groupes, l’index d’égalité professionnelle a été étendu l’an dernier aux entreprises de plus de 50 salariés : les employeurs concernés sont tenus chaque année de remplir une grille qui compile les différentes données relatives à la rémunération de leurs personnels : l’objectif de ce baromètre consiste clairement à « traquer » les différences indues de salaires au sein des mêmes équipes et d’y pointer plus spécifiquement les éventuelles distorsions de traitement entre hommes et femmes. L’index note différents paramètres dont l’appréciation donne lieu au calcul d’un score (sur 100) censé refléter le respect de l’équité professionnelle : les écarts de rémunération y sont pris en compte, comme la répartition des augmentations individuelle et des avancements (dans les entreprises de plus de 250 salariés). L’outil présente aussi la proportion de femmes dont la paye été revalorisée après leur congé maternité et vérifie le niveau de parité parmi les dix plus importantes rémunérations versées dans l’établissement. Le bilan ? Au niveau national, le note moyenne issue de ces index atteint 85 points/100 , un de plus par rapport à 2020 (84 points).Les progrès sont donc très lents. Surtout : Le score maximal n’est atteint que par 2 % des entreprises examinées. Pour la ministre du travail Elisabeth Borne, le verre est à moitié plein car, dit-elle, ce résultat indique aussi que 98 % des entreprises ont amélioré leur situation et réduit les inégalités professionnelles entre femmes et hommes. Comme l’exécutif s’y était engagé, le nom des enseignes évaluées est officiellement dévoilé afin que leurs efforts, ou leur négligence, voire leur indifférence, soient révélés au grand public, quitte à ce que l’opération leur cause une « contre-publicité » ou, au contraire, serve leur image « . Brioche Dorée, Nicolas et La Française des Jeux figurent parmi les « bons élèves ». A l’autre bout du classement, la ministre cite « Monsieur Bricolage, Havas Voyages et Foncia ». Une cinquantaine d’entreprises (de 250 à 1 000 salariés) enregistrent une note inférieure à 75 depuis trois ans : or la règlement les expose à des pénalités financières équivalentes à 1% de leurs masses salariales si leur score ne s’améliore pas d’ici 2022. Autant dire que la note peut être salée. Comme en 2020, les points défectueux portent sur l’augmentation au retour de congé maternité (une obligation depuis 2006) et la part des femmes dans les dix plus grosses rémunérations des entreprises.

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La comptabilité est une discipline qui demande de la rigueur et du savoir-faire. Son application est encadrée par la loi, et elle demande l’utilisation de divers outils et méthodes visant à analyser les flux dans une entreprise. La comptabilité permet au chef d’entreprise ou à l’entrepreneur d’avoir une vue d’ensemble sur son activité, de prendre les bonnes décisions et de faire de meilleures projections financières. Comment bien gérer sa comptabilité en entreprise ? Pour une meilleure gestion de la comptabilité en entreprise, il est nécessaire de commencer par l’établissement d’un plan comptable personnalisé. Tout comptable ayant obtenu le brevet fédéral de comptabilité suisse peut le réaliser facilement. Ensuite, le comptable doit s’assurer d’obtenir toutes les informations nécessaires sur les différentes taxes, plus précisément les taxes de ventes qui permettront de réaliser des factures adéquates. Le comptable est garant de toutes les procédures légales au sein de l’entreprise. Ainsi, il s’assure de communiquer avec le gérant afin de l’informer sur les démarches à réaliser, telles que les déclarations fiscales et sociales. Une bonne gestion de la comptabilité passe par une maîtrise de la trésorerie. Lorsque l’entreprise a de la liquidité dans ses comptes, et que toutes les entrées et sorties sont bien contrôlées, ses activités sont viables et pérennes. En plus, il est impossible de parler de comptabilité sans mentionner la tenue des livres comptables. De nombreux logiciels comptables existent sur le marché et permettent de mieux gérer ses comptes et ses finances. Quels sont les documents indispensables pour la comptabilité en entreprise ? La comptabilité d’une entreprise est tenue en respectant les normes en vigueur. C’est ainsi que chaque année, les dirigeants sont dans l’obligation de fournir des documents liés à leur comptabilité. Le journal comptable est le premier document qui renseigne sur toutes les opérations concernant le fonctionnement de l’entreprise. Ces informations sont ensuite indiquées dans le Grand livre tout en respectant le plan comptable. Le livre d’inventaire offre les renseignements nécessaires sur les actifs et les passifs de l’entreprise. À la fin de chaque année fiscale, le comptable devra fournir aux autorités compétentes des documents sur les comptes de résultat et le bilan. Il existe bien des dispositions légales qui régissent la comptabilité des entreprises en fonction de leur régime fiscal. Le comptable d’entreprise est dans l’obligation d’avoir connaissance de toutes ces informations afin d’être en conformité avec la loi et de bien conseiller le dirigeant. En savoir plus sur le brevet fédéral de comptabilité Pour exercer efficacement le métier de la comptabilité en Suisse, l’obtention du brevet fédéral de comptabilité est un atout majeur. Le brevet fédéral est une formation qui garantit que son détenteur dispose de toutes les connaissances et capacités nécessaires en comptabilité, répondant aux besoins actuels sur le marché. Avec l’obtention de ce brevet, le détenteur peut occuper les postes d’agent fiduciaire, être le directeur de la comptabilité ou occuper le poste de responsable administratif. La formation est ouverte aux personnes qui pratiquent la comptabilité, la fiscalité et qui travaillent dans le domaine de

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La fin de l’année approche déjà à grands pas, y compris pour les entreprises qui doivent dès à présent se projeter dans un nouveau plan de communication. Comme la société tout entière, le monde de l’entreprise se transforme sous l’impulsion d’un désir croissant d’écoresponsabilité. Et si en 2021 vous optiez pour une stratégie de communication et de marketing plus écolo ? Découvrez quelques pistes pour une communication plus verte qui, en plus d’impliquer toute votre équipe, pourrait bien séduire vos clients ! Adressez des vœux écolo pour la nouvelle année La traditionnelle carte de vœux n’a pas dit son dernier mot. Si certaines entreprises optent désormais pour l’email, d’autres sont particulièrement attachées aux cartes papier et à l’attention que représente la carte de vœux. Pour le tournant de l’année 2021, mêler attention, tradition, originalité et écologie en adressant à vos clients et partenaires des cartes de vœux qui, en plus de votre message personnalisé, pourront bientôt donner naissance à quelques plantes. C’est notamment le défi des cartes de vœux à graines et des cartes de vœux en papier ensemencé. Dans le premier cas, votre carte est accompagnée d’un petit sachet de graine que le destinataire pourra planter où il le souhaite. Dans l’autre, c’est le papier lui-même qui contient les graines. Ainsi, une fois la carte lue, il suffira de l’arroser pour voir germer les graines. Optez pour des goodies utiles, écolos et sans plastique Salons, séminaires, soirées d’entreprise, anniversaires… Les occasions de représentations ne manquent pas. Lorsque l’on participe ou que l’on organise de tels événements, il est de bon ton de prévoir quelques cadeaux à offrir aux visiteurs, aux clients, aux partenaires et aux collaborateurs. Ainsi, le goodies est particulièrement tendance et il en existe de toute sorte. En 2021, finis les cadeaux d’entreprises en plastique, inutiles ou qui arriveront rapidement à la poubelle. Les professionnels de la communication et des goodies ont parfaitement senti le vent tourner et misent aujourd’hui sur des cadeaux d’entreprises à la fois utiles et plus respectueux de l’environnement. Les stars en la matière sont les traditionnels carnets et crayons en papier recyclé ou contenant des graines à planter. Dans l’univers high-tech, les clés USB et les chargeurs de smartphones délaissent le plastique en faveur des coques en bois et même en béton. Une communication web plus responsable Saviez-vous que le web représente aujourd’hui l’un des principaux vecteurs de pollution dans le monde ? Or il suffit parfois de changer quelques habitudes de travail pour contribuer à une communication plus verte. Vous pouvez ainsi opter pour un hébergeur de site web éco-responsable alimentant ses serveurs avec de l’énergie renouvelable. Lorsque vous lancez une campagne emailing, vous pouvez segmenter avec plus de précision votre cible afin de réduire vos envois et donc votre consommation d’énergie. La performance de vos campagnes n’en sera que meilleure. Les pistes ne manquent pas pour communiquer de façon plus écologique. Que ce soit sur le web, dans la communication classique et dans le fonctionnement interne des entreprises. Ces efforts

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Sous la pression des organisations patronales et de certains acteurs économiques qui subissent de plein fouet les effets du télétravail sur leur niveau d’activité, l’Etat assouplit les conditions d’accueil des salariés. Masque, gel, distanciation : c’est, depuis le déconfinement très « progressif » du 11 mai, le triangle équilatéral qui prévaut dans les entreprises et y impose un cadre rigide peu compatible avec les acquis du « monde d’avant » cher aux employeurs. Beaucoup d’entre eux (mais pas tous) ont vécu ce protocole comme une contrainte – financière d’abord – et un étau trop serré pour leur permettre d’accueillir la totalité de leurs effectifs (et donc d’en maintenir une partie en télétravail, une formule conseillée par le gouvernement afin d’éviter une sur-fréquentation des transports en commun). Au plus fort de la crise sanitaire, une enquête dite « Acemo » (Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre) avait permis de sonder les ressentis dans les entreprises qui accueillaient alors dans leurs murs la moitié de leurs salariés : les dirigeants interrogés voyaient dans les mesures à mettre en place pour garantir la sécurité de leurs collaborateurs un « obstacle » à une véritable reprise, en ce qu’elles « limitent la productivité et/ou augmentent les coûts de fonctionnement ». Les structures déploraient notamment «« la disponibilité limitée de certains salariés et les frein occasionnés par la distanciation physique dans l’organisation globale de l’activité ». Ces doléances, relayées au niveau national par les principales organisations patronales (Medef, CPME), ont fini par résonner aux oreilles des pouvoir publics, plus enclins et réceptifs qu’il y a un mois à des assouplissements alors que la situation épidémique paraît « sous contrôle ». Un amendement va très prochainement adoucir le dispositif réglementaire fixé par le décret du 1er juin qui formalisait les conduites à tenir dans les bureaux, les commerces, les structures industrielles au stade n°2 du déconfinement : Le télétravail, jusqu’ici préconisé par l’Etat auprès des entreprises qui en avaient la possibilité, ne deviendra plus l’alternative prioritaire (le retour des salariés sur site est aussi réclamé par les restaurants urbains qui cherchent à récupérer leur clientèle professionnelle). La fin des 4 m² entre collègues Mais pour faire sauter cette consigne, il fallait déverrouiller le cadre qui, de fait, limite encore aujourd’hui la capacité d’accueil des salariés en milieu « fermé » : la fameuse règle des 4m² nécessaires entre chaque personne, devrait disparaitre au profit d’une mesure de distanciation plus raisonnable, réduite à « un mètre ». Soit un quasi retour à la normale, du moins dans les structures de service qui fonctionnent avec des bureaux. Le port du masque restera toutefois de rigueur, si les nouvelles normes en matière de distanciation physiques ne sont pas tenables en raison de la nature de l’activité ou de l’exiguité des locaux. Idem pour le gel hyro-alcoolique dont la mise à disposition devra être poursuivie afin d’offrir à l’ensemble des personnels de se laver les mains de façon régulière. Les plans de circulation devront aussi être maintenus afin de

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Le phénomène de « Big Data » a pris beaucoup d’ampleur ces dernières années. L’exploitation quotidienne des données numériques et des outils technologiques a donné naissance au « Big Data ». Si cette notion se retrouve sur la bouche d’experts, beaucoup n’en saisissent pas réellement le sens, ni ce qu’elle peut apporter pour les entreprises. Comprendre le « Big Data » et ses apports Le Big Data concerne des données massives ou des méga données, qui peuvent provenir de plusieurs sources : messages, vidéos, signaux… Elles sont impossibles à exploiter par les outils classiques de gestion de l’information ou de gestion de bases de données. Les géants du web tels que Facebook ou Twitter ont été les premiers à déployer cette nouvelle technologie. Toutefois, il n’existe pas de réelle définition pour le « Big Data ». C’est un terme très complexe qui possède de nombreuses définitions, selon son contexte d’utilisation et la communauté qui s’en sert. Par contre, comme toute technologie, elle possède des avantages et des inconvénients. Il convient donc de l’exploiter efficacement pour en tirer le meilleur parti. Pour plus d’informations sur le Big Data voir ici. Comment est né le concept ? Certes, le concept de Big Data est assez nouveau, mais les grands jeux de données ont débuté il y a des décennies, plus précisément dans les années 60, ce qui correspond à la période où l’univers des données a émergé (création de la base de données et des premiers data centers). A partir de 2005, on a constaté que la quantité de données générées par les utilisateurs sur les réseaux sociaux était conséquente. Durant la même année, une infrastructure en open source Hadoop a vu le jour. Elle permet d’analyser et de stocker les jeux du Big Data. C’est grâce à ces infrastructures que le Big Data a pu se développer rapidement, car elles ont permis de réduire les coûts de stockage. A partir de là, ce fût le boom du Big Data. Les utilisateurs ont continué à générer des quantités impressionnantes de données. Avec la multiplication des appareils connectés, d’autres données sur les performances des produits et les habitudes des utilisateurs ont été récoltées. Toutefois, la potentialité du Big Data n’a pas encore été pleinement exploitée. On n’en est encore qu’en phase d’essai, mais les entreprises ont intérêt à miser sur cette nouvelle technologie si elles veulent être bien positionnées face à leurs concurrents. Le Big Data est le concept qui va révolutionner à tout jamais le monde des affaires. Les cas d’utilisation Le Big Data permet d’optimiser différents domaines dans une entreprise, mais il intervient surtout au niveau commercial. Voici alors les cas d’utilisation possibles de cette nouvelle technologie : Développement de produit : le Big Data permet d’optimiser les produits et les services à offrir aux clients en se basant sur leurs demandes. Certains grands groupes comme Netflix et YouTube se servent déjà du Big Data pour analyser les demandes et les attentes des utilisateurs, ce qui leur permet d’optimiser leurs offres.

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Le Cerfa 2069 est un formulaire devant être souscrit par les entreprises qui déclarent des crédits d’impôts ou des réductions. Depuis le 1er janvier 2018, ce formulaire doit obligatoirement être télédéclaré à l’administration fiscale, sous peine d’amende. Il concerne les entreprises imposables au régime réel. Quels sont les enjeux du formulaire ? Tous les entrepreneurs n’ont pas pris connaissance du formulaire 2069 RCI car il ne concerne pas les micro-entrepreneurs et les sociétés soumises à un autre régime d’imposition que le régime réel. Tout d’abord, le Cerfa 2069 permet d’ouvrir des crédits d’impôts pour la société qui s’en sert. Lorsque les comptes sont clôturés, l’entreprise doit déclarer les revenus pour définir le montant de l’impôt qu’elle doit assumer au titre de l’impôt sur les sociétés. Toutefois, dans plusieurs cas, les services fiscaux accordent aux entreprises un crédit d’impôt, qui est ouvert dans des cas de figure spécifiques. Il faudra le voir avec le DGFIP (Direction Générale des Finances Publiques), un expert-comptable ou bien le SIE (Service des Impôts des Entreprises). Plus d’infos concernant le formulaire n° 2069 RCI dans cet article. Les crédits d’impôts ouverts par le Cerfa 2069 RCI Le formulaire 2069 déstabilise la plupart des entrepreneurs car il ne contient pas assez d’informations financières. Ainsi, beaucoup d’entre eux se sentent perdus lorsqu’ils doivent faire la déclaration. De leur côté, les experts comptables préfèrent se concentrer plus sur le régime réel d’imposition que sur la pédagogie du chef d’entreprise. Toutefois, il faut noter que plusieurs crédits d’impôts sont accessibles via ce formulaire. On peut citer le crédit d’impôt famille, le crédit d’impôt en rapport à la formation du chef de l’entreprise, le crédit pour l’accession à la propriété, le crédit pour l’agriculture biologique et le crédit pour les dépenses liées à la prospection commerciale. Le chef d’entreprise a tout intérêt à se renseigner sur ce formulaire 2069, car il pourrait avoir une incidence sur le calcul de l’impôt. La télédéclaration Désormais, il est impératif de déclarer la réduction et crédits d’impôts en ligne. Vous n’aurez donc plus à vous rendre au Centre des finances publiques pour remettre le formulaire en mains propres. Le Code général des impôts stipule que les imprimés du formulaire sont maintenant totalement dématérialisés pour s’assurer qu’ils seront tous remplis en ligne. Vous devrez non seulement y renseigner les bons montants, mais aussi rendre le formulaire avant la date limite. D’ailleurs, les entrepreneurs qui dérogent à cette obligation, c’est-à-dire la télédéclaration du formulaire, sont passibles d’une amende, comme le prévoit la loi de finances. Il est important de noter que l’auto-entrepreneur n’est pas concerné par le Cerfa 2069, même si nombre d’entre eux ont aussi reçu un mail de la part du département des finances publiques qui leur imposait de télédéclarer le formulaire 2069 RCI. L’importance de respecter les obligations fiscales Il est important de respecter le calendrier communiqué par les lois de finances. Les déclarations doivent être faites dans le délai imparti car le moindre retard pourrait exposer le chef d’entreprise à des pénalités qu’il

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Dans la plupart des entreprises, la logistique a un impact essentiel sur la gestion des activités et des projets. Elle concerne diverses opérations de manutention, d’entreposage, d’expédition, de stockage et de transports des biens et produits tout en respectant les délais. Ainsi, la logistique a un impact sur la compétitivité et les performances de l’entreprise au quotidien. Comment booster les performances de l’entreprise à travers une gestion logistique efficace ? Aujourd’hui, avec le développement des technologies et pour répondre à une demande de services et produits de qualité de plus en plus croissante au niveau international, les entreprises se doivent d’être performantes et compétitives pour satisfaire leurs différentes clientèles. Une gestion logistique efficace permet de minimiser les coûts en boostant la croissance de l’entreprise. Cela exige la mise en place d’un dispositif qui prend en compte de nombreux indicateurs, tels que les coûts de production, le transport, le stockage ou la manutention. Ce dispositif prendra en compte également leurs incidences sur son activité à court, à moyen et à long terme. La gestion logistique personnalisée en fonction de l’activité de l’entreprise L’optimisation et la mutualisation des différentes opérations logistiques doivent s’adapter en fonction du domaine d’activité des entreprises. La maîtrise de la chaîne logistique exige de disposer de compétences techniques et professionnelles avérées. Leur mise en œuvre permet d’optimiser les flux des marchandises et divers produits, ainsi que la gestion de l’entreposage, le stockage et le transport de ces derniers. Peu importe le domaine d’activité de l’entreprise, les procédés mis en œuvre favorisent la maîtrise efficace des coûts, la gestion optimale des risques et le respect des délais de livraison des différents produits. Confier les activités logistiques à des professionnels Conscient du fait que l’expédition logistique est au cœur de l’activité de toute entreprise, des professionnels compétents et expérimentés s’assurent que les produits à acheminer soient livrés dans les meilleurs délais et en toute sécurité. Pour ce faire, les procédures mises en œuvre, les équipements utilisés, les systèmes d’informations utilisés respectent les normes, les procédures et les standards en matière de gestion logistique au niveau international. Pour répondre aux attentes d’une clientèle locale et internationale, le plus souvent spécialisée dans le commerce en ligne, Gemmalog s’appuie sur des solutions logistiques très performantes. Cela garantit un pilotage optimal et sécurisé des opérations de transport, de stockage et de livraison. Pour ce faire, plusieurs éléments sont pris en compte, dont la situation géographique des clients, l’intensité du trafic, le type de produits à acheminer, ainsi que les risques liés à la manutention, au stockage et au transport des marchandises. Toute ceci pour garantir aux clients un service de gestion logique de qualité qui répond à leurs attentes.

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