Stress au travail : un coût de 2 à 3 milliards d’euros. Des chercheurs de l’Institut national de recherche et de sécurité (INRS) et des Arts et Métiers ParisTech viennent de publier les résultats d’une étude dans laquelle ils évaluent  le coût du stress professionnel en France (données pour 2007). Entre les dépenses de soins, l’absentéisme, les cessations d’activité et les décès prématurés, les épidémiologistes évaluent entre 2 et 3 milliards d’euros le coût du stress professionnel en France. Une estimation dont ils disent qu’elle est probablement inférieure au coût réel.  

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Pour s’éviter certains risques financiers, des restaurateurs choisissent de contractualiser l’entretien de leurs matériels auprès d’un professionnel du dépannage de cuisine professionnelle. L’ensemble des équipements installés dans une grande cuisine de restaurant représentent un capital estimé entre 30 et 40 000 euros, parfois plus parfois moins selon les cas. L’achat et l’installation cumulés d’un four mixte, d’une chambre froide, de gros réfrigérateurs, d’une plancha ou encore de hottes constituent de lourds investissements qu’il faut amortir, mais aussi entretenir, sous peine d’avoir à supporter de substantielles dépenses de fonctionnement.Comment s’y prendre pour maintenir à niveau ces matériels et éviter d’avoir à les remplacer trop souvent, ou de s’exposer à des pannes intempestives susceptibles d’entraîner des pertes économiques et de dégrader la réputation du restaurant ? Planifier une maintenance régulière Pour minimiser ces risques, les dirigeants de ces établissements choisissent de planifier une maintenance régulière de leurs gros appareils à travers un contrat passé auprès d’un dépanneur et installateur comme Paris Resto Cuisine. En quoi consiste exactement cette procédure ? Rappelons d’abord que l’AFNOR en donne une définition précise dans un de ses textes réglementaires : il s’agit, selon l’association française de la normalisation, de « « l’ensemble de toutes les actions techniques, administratives et de gestion durant le cycle de vie du bien, destinées à le maintenir dans un état dans lequel il peut accomplir la fonction requise ». Dans un restaurant, cette opération de maintenance est effectuée sur l’ensemble des équipements qui produisent du froid et du chaud, mais aussi sur les inox et les appareils de laverie et les matériels utilisés pour la préparation des aliments. La norme NF X 60-000 d’avril 2016 fixe cinq niveaux d’intervention : le premier porte sur des réglage simples et basiques qui ne nécessitent pas de démontage ou d’ouverture de la machine. Le niveau 2 correspond à des actions « peu complexes » de dépannage entraînant le remplacement de pièces éventuellement défectueuses sans démontage intégral de l’équipement. Le niveau 3 répertorie les interventions « complexes » évaluées au préalable par un diagnostic (remplacement d’une pompe ou échange d’un composant par exemple). Les maintenances de niveaux 4 et 5 sont les plus techniques et souvent les plus lourdes : elles exigent le recours à un outillage spécial et sont confiées à des dépanneurs dotés d’une qualification spécifique, voire au constructeur de l’appareil. Contrat de maintenance : une sécurité économique et juridique Selon les situations et le type d’anomalies identifiées, la maintenance peut être seulement préventive : il s’agit de planifier une série de vérifications destinées à anticiper d’éventuels dysfonctionnements et de minimiser le risque de panne. Quand elle est corrective, la maintenance se traduit par une intervention ponctuelle qui, après une défaillance majeure, donne lieu à une réparation. Il y a plusieurs avantages à établir un contrat de maintenance préventive : la performance des équipements est optimisée dans la durée, ce qui permet de réduire le risque d’incidents potentiellement graves (des mécanismes de sécurité ou des thermocouples mal réglés peuvent provoquer des explosions ou

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Un pare-brise touché par un impact n’est pas forcément fichu. Tout dépend de la taille et du nombre de dégâts à la surface du verre. Pour des raisons évidentes de prix et de temps, tout automobiliste qui découvre un impact sur son pare-brise compte remédier au problème rapidement au moyen d’une simple réparation, réalisée en quelques minutes -par lui -même – ou le technicien d’un garage professionnel. Hélas, les choses ne sont pas toujours aussi simples. Même un éclat d’apparence minime, peu profond, entraîne parfois le remplacement impératif de la pièce endommagée. Quel pare-brise est réparable ? Les enseignes spécialisée dans la réparation de pare-brise à domicile, ou en atelier, respectent en fait les règles de sécurité routière qui prévalent lors de l’examen de tout véhicule lors du contrôle technique bisannuel. Un inspecteur recalera systématiquement une voiture qui présente un impact de plus de 3 centimètres sur sa paroi de verre située à l’avant du conducteur : pour être tout à fait précis et illustrer la situation par un exemple significatif, cette taille correspond grosso modo à celle d’une pièce de monnaie de deux euros. La dimension du bris de glace n’est qu’un critère parmi plusieurs autres. Sa position sur le pare-brise compte également : quelle que soit sa circonférence, le dégât est rédhibitoire dès lors qu’ils se trouve face au conducteur, de telle sorte qu’il puisse gêner son champ de vision. Autrement dit, même un impact inférieur à 3 centimètres entraîne la dépose de la pièce abîmée, s’il est mal placé. Idem si l’éclat est localisé à moins de 4 centimètres des bords du pare-brise, là aussi quelle que soit sa taille. Enfin, la présence de plus de trois impacts annihile la possibilité d’une simple réparation par injection de résine. Dans ce dernier cas de figure, une spécialiste certifié n’aura d’autres choix que de proposer à l’automobiliste sinistré un remplacement par un équipement neuf. Enfin, beaucoup de professionnels affirment, souvent à raison (mais pas toujours) qu’un bris de glace, aussi discret soit-il, est potentiellement promis à une dégradation plus ou rapide, surtout face au risque de nouveaux chocs. L’ensemble de ces règles s’appliquent dans le cadre de la législation routière qui, depuis 2018, a durci certaines des dispositions concernant les points de vérification à réaliser sur le pare-brise, lors du contrôle technique. Un élément de verre qui présente un impact trop grand ou positionné dans une zone susceptible de détériorer la visibilité de l’automobiliste, ou menacer la stabilité de la pièce, expose, dès après son premier passage, le véhicule concerné à une contre-visite. Lors du second, le bon état de la voiture est validé à condition qu’une réparation ou un remplacement du pare-brise a été préalablement réalisé. Quelle évaluation lors du contrôle technique ? Pour rappel, la réforme du contrôle technique introduite en 2018 distingue depuis cette date trois grand type de défaillances techniques : Les défaillances « mineures » englobent des anomalies peu graves et réparables sans obligation de contre-visite. La loi considère en effet qu’elles n’ont pas d’incidence sur la sécurité du conducteur.

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Ça y est, vous avez acquis votre statut d’auto-entrepreneur pour lancer votre petit business ! C’est un bon début. Maintenant, il va falloir agir pour pouvoir atteindre votre objectif. C’est plutôt simple, mais cela peut s’avérer plus compliqué si l’on n’est pas bien aiguillé. Voici quelques conseils pour vous aider à bien démarrer votre activité et à déjouer les obstacles liés au développement de votre petite entreprise. Se faire accompagner par des acteurs professionnels Contrairement à ce que l’on pourrait croire, le parcours d’entrepreneur est assez compliqué. L’une des raisons pour laquelle beaucoup de jeunes entrepreneurs abandonnent leurs projets après une période d’efforts intense. Pour réussir, il est important de vous créer un réseau. N’hésitez pas à vous faire entourer des acteurs professionnels dans votre secteur. Ces derniers pourront vous apporter des conseils précieux sur le développement de votre activité, mais surtout sur les décisions stratégiques à prendre. Il existe plusieurs moyens pour vous faire créer un réseau. Vous pouvez, par exemple, intégrer des associations ou des structures d’accompagnement pour les entrepreneurs : la CCI pour les secteurs commerciaux ou/et libéraux non réglementés et la CMA pour les artisans et les prestataires de services. L’assistance de ces dernières se révèle toujours d’une aide précieuse. Aussi, il est recommandé de participer à des événements professionnels. Se renseigner sur les obligations légales Certes, la gestion administrative a été simplifiée pour les auto-entrepreneurs. En revanche, il y a des règles et des obligations à connaître et à respecter pour éviter les erreurs et les pénalités. En tant qu’auto-entrepreneur, vous devez obligatoirement tenir un livre des recettes, ainsi qu’un journal des achats pour les activités commerciales. Ces documents doivent détailler les informations sur le montant et l’origine de la recette et le mode de règlement (paiement en espèce ou virement). À noter que le paiement en espèces est interdit au-dessus de 1000 euros. Aussi, vous devez avoir des pièces justificatives telles que les factures. En tant qu’auto-entrepreneur, vous devez également remettre des factures à vos clients. Certaines mentions légales sont à faire figurer sur vos factures et vos devis. Il est également bon de noter qu’un entrepreneur n’est pas obligé d’avoir un compte bancaire séparé de son compte personnel. En revanche, au-delà de 10 000 euros de CA annuel, un compte bancaire séparé est obligatoire. Vendre au juste prix L’objectif de toute entreprise est de vendre pour pouvoir développer son chiffre d’affaires. Pour y parvenir, il est parfois tentant, notamment pour les jeunes entrepreneurs, de pratiquer des tarifs peu élevés pour attirer les clients. C’est une erreur, car les consommateurs associent les petits prix à une mauvaise qualité du produit ou du service. Ne tombez pas dans ce piège. Même si vous débutez dans votre secteur, il est conseillé de vendre vos produits ou vos services au prix juste. N’hésitez pas de bien vous renseigner sur les tarifs appliqués par vos concurrents. Un dernier point important, fixez-vous des objectifs réalistes de chiffre d’affaires. Cela va vous permettre d’évaluer votre activité.

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Ce chiffre, véhiculé par une enquête d’OpinionWay, traduit un phénomène encore émergeant, qui semble monter en puissance depuis la crise sanitaire. A prendre toutefois avec des pincettes. L’industrie française, minée par la compétition internationale et les délocalisations depuis 20 ans, va-t-elle se reconstituer son tissu et redevenir un réservoir d’emplois qui compte sur le marché du travail ? En 2020, l’Etat avait inclus dans son plan de relance économique un volet d’incitation au retour des entreprises sur le territoire national à travers la constitution d’un fonds d’1 milliard d’euros, dont un peu plus de la moitié cherche à cibler les projets d’investissements portés par cinq secteurs dits stratégiques : santé, agro-alimentaire, électronique, matières premières essentielles à l’industrie, et applications industrielles de la 5G. Le Made in France plus vendeur ? L’enquête d’OpinionWay a une vision plus large et vise à mesurer les prémices d’un phénomène de relocalisation qui, à en croire les tendances dégagées, tentent de nombreux chefs d’entreprise : 40% des patrons interrogés disent avoir déjà commencé à rapatrier leurs activités en France. Ils sont encore peu nombreux toutefois à envisager de réimplanter des lignes de production sur leur territoire d’origine où le coût du travail reste moins compétitif qu’à l’étranger : toutefois, un tiers des entrepreneurs sollicités par OpinionWay (32%) affirment passer davantage de commandes auprès de fournisseurs installés sur le sol français. Un changement de cap imputable à la crise sanitaire et à l’impact qu’elle a provoqué sur les approvisionnements depuis les marchés extérieurs. D’après le sondage, le recours aux fournisseurs tricolores devraient d’ailleurs encore progresser puisque 20% des sondés, fidèles jusqu’ici à leurs pratiques habituelles, envisagent de les faire évoluer en ce sens. Les chefs d’entreprise interrogés dans l’enquête voient dans la relocalisation industrielle certains avantages économiques, comme celui de réduire les frais logistique (pour 60% d’entre eux). Ils sont également sensibles au fait de pouvoir créer des nouveaux emplois en France, de diminuer leur empreinte carbone en limitant la durée des transports et valoriser leur démarché à travers le concept de Made in France, favorable d’ailleurs à l’image de leur entreprise. Les chefs d’entreprise sont lucides sur le fait que cette reconversion au pays aura un impact à la hausse sur leurs prix, mais beaucoup sont persuadés que la demande nationale est désormais prête à payer plus cher des marchandises produites en France (un comportement qui s’était d’ailleurs fait sentir en 2020, pendant la crise sanitaire) : 69% des entreprises basées dans l’Hexagone font d’ailleurs la corrélation entre ce label et la progression de leurs chiffres d’affaires.

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