Le dernier sondage effectué par l’IFOP pour Fiducial auprès des Micros entreprises fait état d’un tableau très sombre. Près de 85% des patrons des Très Petites Entreprises doutent d’un retour à la croissance. Ils sont 91% à déclarer être découragés par la politique actuelle de François Hollande et de son gouvernement. Ils ne sont plus que 17% à être optimistes et un sur trois juge préoccupant l’avenir de leur entreprise.

[...]

Lorsque vous envisagez la construction ou la rénovation d’une station-service, faire appel à un installateur professionnel est une décision stratégique qui peut faire toute la différence. Les stations-service jouent un rôle essentiel dans la vie quotidienne, assurant un approvisionnement ininterrompu en carburant pour les conducteurs du monde entier. Dans cet article, nous allons explorer en profondeur pourquoi faire appel à un installateur de station-service qualifié est crucial pour garantir le succès de votre projet. Expertise technique avancée L’une des raisons majeures de recourir à un installateur station-service est l’expertise technique avancée qu’ils apportent. La conception et l’installation d’une station-service exigent une connaissance approfondie des normes de sécurité, des réglementations environnementales et des technologies émergentes. Un installateur expérimenté possède une compréhension approfondie des systèmes de distribution de carburant, des équipements de sécurité et des technologies de pointe, garantissant ainsi une installation conforme et optimale. Conformité réglementaire La conformité réglementaire est un aspect crucial de tout projet lié aux stations-service. Les autorités gouvernementales imposent des normes strictes pour garantir la sécurité publique et la protection de l’environnement. Un installateur de station-service agréé est familiarisé avec ces réglementations et veillera à ce que votre installation respecte toutes les normes en vigueur. Cela réduit les risques juridiques potentiels et assure le bon fonctionnement de votre station-service sans heurts. Optimisation de l’espace et du flux de clients L’optimisation de l’espace et du flux de clients est une considération cruciale pour maximiser l’efficacité de votre station-service. Un installateur professionnel examine attentivement l’espace disponible, concevant une disposition qui facilite un flux de clients fluide et minimise les temps d’attente. Cela contribue à une expérience positive pour les clients, encourageant la fidélité et augmentant le rendement financier de votre station. Utilisation de technologies durables Avec l’accent croissant sur la durabilité, faire appel à un installateur de station-service compétent permet d’intégrer des technologies durables dans votre projet. Cela peut inclure l’utilisation de systèmes de récupération d’énergie, de bornes de recharge pour véhicules électriques et d’autres solutions respectueuses de l’environnement. Ces choix non seulement répondent aux préoccupations écologiques croissantes mais peuvent également attirer une clientèle soucieuse de l’impact environnemental. Gestion efficace des projets Engager un installateur de station-service professionnel signifie également bénéficier d’une gestion efficace des projets. De la planification initiale à la mise en œuvre finale, un professionnel expérimenté gère chaque étape du processus de manière organisée et efficace. Cela garantit des délais respectés, des coûts maîtrisés et une mise en service rapide de votre station-service. En conclusion, faire appel à un installateur de station-service qualifié est un investissement judicieux pour garantir le succès de votre projet. Leur expertise technique, la conformité réglementaire, l’optimisation de l’espace, l’utilisation de technologies durables et une gestion de projet efficace sont autant d’éléments essentiels pour une station-service performante et fiable. Ne compromettez pas la qualité de votre installation. Optez pour l’excellence avec un installateur professionnel.

[...]

Depuis cet automne, le droit qui s’applique à la commande public a été corrigé pour permettre aux acteurs économiques de faire face à l’inflation et aux difficultés d’approvisionnement. Face aux effets combinés de la hausse des prix, en partie  liée au déséquilibre des marchés lors de l’après Covid, et de la guerre en Ukraine, de nombreuses entreprises peinent à honorer leur commandes dans les temps et dans de bonnes conditions financières. C’est notamment le cas des installateurs de cuisine professionnelle qui interviennent dans des structures gérées par l’Etat (hôpitaux) ou les collectivités locales (Ehpad, cantines scolaires). Un contexte de pénurie pour les fabricants Le magazine La cuisine Pro avait évoqué au printemps dernier le témoignage d’une entreprise lyonnaise qui expliquait ne pas être en mesure d’achever l’installation d’une cuisine professionnelle, faut d’avoir été livrée par des fabricants contraints d’arrêter leur chaines de production en raison de la pénurie de composants électroniques. En de telles circonstances, et face à une perte de visibilité très préjudiciable pour le pérennité économique des prestataires,  comment rendre économiquement viables des marchés conclus avec des acteurs publics ? Pour permettre aux acteurs concernés de s’adapter à la situation, une première circulaire du gouvernement, diffusé en mars dernier, avait assoupli le droit de la commande publique et confirmé qu’une renégociation des tarifs pouvait être opérée, à condition de faire évoluer parallèlement certaines clauses des contrats. Cette première concession s’est vite révélé insuffisante, les entreprises réclamant la possibilité de procéder à des « modifications sèches » portant sur les seuls prix, indépendamment des autres dispositions contractuelles. Cette doléance a été prise en compte dans une seconde circulaire publiée par Matignon début octobre 2022, quinze jours après un avis favorable émis par le Conseil d’Etat saisi sur cette question par le ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique, Jean-Noël Barrot. La notion de « circonstances imprévisibles » Le texte, comme le précédent, confirme que la renégociation doit s’inscrire dans le cadre de « circonstances imprévisibles », à charge pour le donneur d’ordre de vérifier, justificatifs l’appui, que le prestataire est de bonne foi et n’était pas en mesure d’anticiper l’accélération de l’inflation et les perturbations sur le marché de l’offre et de la demande, imputables aux aléas de la conjoncture internationale. La circulaire impose toutefois une norme qui limite les variations tarifaires autorisées par le droit : la « modification sèche » des tarifs préalablement fixés ne devra pas aller au-delà de « 50% du montant de base du contrat ». La révision du prix et des délais  doit également être étayée par le « caractère imprévisible » des circonstances qui ont amené la prestataire à la solliciter auprès de son co-contractant  (« le preneur  devra vérifier la réalité et la sincérité des justificatifs apportés par le titulaire » complète le document administratif).

[...]

Le texte qui établit les règles à respecter en milieu professionnel pour se prémunir contre la Covid-19 a été publié. Il était très attendu des employeurs : le protocole sanitaire applicable en entreprise marque une étape décisive du plan de déconfinement engagé par l’Etat. Une date-pivot, celle du 9 juin, prévoit un assouplissement des mesures de télétravail en vigueur depuis la fin 2020, dispositif que le gouvernement avait encore renforcé en avril dernier sous la pression d’une nouvelle vague épidémique, à l’origine d’un troisième confinement en un an.Dans trois semaines donc, les employeurs devraient reprendre la main, sans risque de contrôle, sur le planning de leurs salariés. Un desserrement qui traduira sans doute, selon les cas, par davantage de retours hebdomadaires au bureau (un jour par semaine est négociable aujourd’hui pour les actifs qui en « ressentent le besoin »).Ce présentiel massif impose toutefois d’autres normes qui touchent à l’environnement de travail dont les scientifiques ont prouvé qu’il avait été un facteur majeur dans les chaines de contamination. Le protocole évoque un point essentiel, celui de l’aération des locaux, présentée comme une enjeu essentiel pour la « prévention des situations à risque d’aérosolisation du SARS-CoV-2 ». Les recommandations listées par le document s’appuie sur les préconisations du Haut conseil en santé publique (HCSP) à propos de la ventilation des ERP (établissements recevant du public). Dans cette mouture, le renouvellement de l’air des espaces de travail est jugé nécessaire à partir d’une source « naturelle ou mécanique en état de marche ». La démarche consiste en des ouvertures simultanées d’une porte et d’une fenêtre, aussi fréquemment que possible voire « en permanence», et au minimum « plusieurs minutes toutes les heures ».Une unité de mesure est proposé par le HCSP selon lequel l’évaluation du taux de renouvellement peut être déduit par celui de la concentration en dioxyde de carbone dans l’air. Autre sujet majeur abordé par le protocole: les autotests, qui s’ajouteront aux dépistages classiques et non obligatoires déjà accessibles en entreprise. Les employeurs seront désormais autorisés à en proposer à leurs salariés, à leur charge, et « dans le respect des règles de volontariat et de secret médical ». La salarié candidat à un autotest disposera également d’un droit d’information auprès d’un professionnel de santé ». Si sa positivité au virus est diagnostiqué, le salarié sera isolé à son domicile. Enfin le protocole confirme l’obligation des employeurs à autoriser l’absence de leurs personnels qui souhaitent se rapprocher de la médecine du Travail pour se faire vacciner. Les salariés concernés n’auront à justifier leur absence qu’au seul motif d’une « visite médicale ».

[...]

Comme en début d’année, les commerces confinés en avril pourraient être autorisés à compenser leur manque-à-gagner par des ouvertures dominicales. A Bercy, l’idée fait son chemin et pourrait aboutir à des décisions concrètes juste après le 19 mai, date annoncée pour la réouverture des commerces confinés en avril, combinées à celles des terrasses des bars et restaurants, fermés depuis fin octobre 2020 : un assouplissement des règles relatives au travail dominical pour les enseignes volontaires est envisagé par le gouvernement. Le dispositif pourrait reprendre les modalités mises en place en début d’année pour soutenir l’activité des secteurs après le confinement du mois de novembre. La ministre Élisabeth Borne a envoyé une instruction dans les territoires enjoignant les Préfets à engager des concertations locales en vue d’accorder des dérogations exceptionnelles : ces mesures permettraient de simplifier – sans s’y substituer, précise l’exécutif – le droit commun qui encadre depuis la Loi Macron l’ouverture des magasins le dimanche. Avec un double-objectif économique et sanitaire : l’élargissement des plages horaires sur sept jours hebdomadaires pourraient permettre aux commerces de rattraper une partie des pertes accumulées pendant les périodes de restrictions (confinements et couvre-feux), mais aussi d’étaler les flux de clientèle sur l’ensemble de la semaine. Afin de s’épargner une fronde syndicale, le gouvernement a fait savoir que les Préfets ont reçu la consigne de rappeler aux enseignes potentiellement intéressées par ces autorisations qu’elles doivent strictement observer les « garanties accordées à leurs personnels dans le cadre du travail dominical », de respecter le principe du volontariat et d’appliquer les contreparties salariales prévues par les textes pour les actifs amenés à exercer sur ce jour traditionnellement chômé. « Les dispositions nécessaires prises par l’Etat pour faciliter la reprise économique du pays « doivent s’appuyer sur « un dialogue direct avec les acteurs concernés, territoire par territoire, et en tenant compte des demandes locales et spécificités propres à chaque département.» ajoute Elisabeth Borne dans un communiqué. Dans un première temps, cette première salve de dérogations exceptionnelles porterait sur le mois de juin. Avant la crise, sanitaire, la législation sur les ouvertures du dimanche avait été assouplie : l’autorisation préalable des maires n’avait plus cours dans les départements à très forte densité touristique (Paris notamment), ou encore les zones frontalières. Les ouvertures sont « de droit » également dans des grandes gares françaises (dont Lyon, Bordeaux, Nice ou Marseille). Partout ailleurs, les élus locaux ont la possibilité d’accorder des dérogations municipales, jusqu’à 12 par an (contre 5 auparavant).

[...]

Dans un mois, les employeurs auront la possibilité d’établir en accord s avec les partenaires sociaux, un planning de télétravail pour leurs personnels. Cinq jours sur cinq d’activité en distanciel chaque semaine. C’est la règle qui prévaut depuis plusieurs mois dans les entreprises soumises à un strict protocole sanitaire imposé par la situation épidémiologique. A partir du 9 juin, et après quatre semaines de confinement (le troisième en un an), les employeurs vont retrouver une latitude certaine dans la mise en place de leur planning de télétravail. Le 30 avril dernier, la calendrier de déconfinement dévoilé par l’exécutif prévoit une levée progressive de restrictions qui frappaient jusqu’ici les restaurants : or l’activité de ce secteur, notamment le midi, est étroitement lié à la présence de salariés sur leurs lieux traditionnels d’exercice, au bureau, à l’atelier ou à l’usine. C’est cette nécessaire concomitance entre l’offre et la demande qui a conduit l’Etat à introduire une forme de dosage dans son plan de sortie de crise : le 18 mai prochain, bars et restaurants seront seulement autorisés à rouvrir leurs terrasses. Trois semaines plus tard, le 9 juin, leurs salles pourront accueillir du public, date à laquelle le télétravail commencera justement à être allégé.Comment cet assouplissement va-t-il s’appliquer ? Sans doute les entreprises renoueront-elles avec la situation de l’été dernier : à l’époque, le télétravail était seulement recommandé et les contrôles destinés à en vérifier la fréquence quasi inexistants. La tendance était alors à l’établissement de plannings personnalisés, voire au cas par cas, avec une alternance plus ou moins équilibrée entre travail à domicile et jours de présence au bureau. Une carte blanche qui devrait être redonnée aux entreprises en juin, comme l’a avait indiqué la ministre du Travail Elisabeth Borne fin avril : « je souhaite que les employeurs puissent le plus vite possible définir eux-mêmes les bonnes règles ». Les conditions et les modalités du retour progressif des salariés sur site fait actuellement l’objet de négociations entre le gouvernement et les partenaires. La piste envisagée conduirait à une modification du protocole sanitaire en entreprise à partir du 9 juin. Le texte indiquerait alors que « le nombre minimal de jours de télétravail est à définir au sein de chaque entreprise, via le dialogue social ». Selon une étude Harris Interactive commandée par l’Hôtel du Châtelet, un peu moins de la moitié des actifs (43 %) a télétravaillé en avril : sur ce total, 78% occupaient un poste adaptable à ce mode d’organisation.

[...]

Le protocole sanitaire applicable en entreprise a été renforcé par le gouvernement. Face à l’accélération de l’épidémie de la Covid-19 dans de nombreux territoires, le ministère du Travail a réactualisé les règles sanitaires à respecter dans les entreprises pour limiter les risques de contaminations en milieu clos. Le télétravail, présenté depuis plusieurs mois comme une parade-clé pour réduire les interactions sociales, propices à la propagation du virus, est une « règle extrêmement importante » a martelé mardi dernier le Président Emmanuel Macron lors d’une visite d’entreprise à Valenciennes. Afin d’inciter les employeurs des territoires actuellement reconfinés à le mettre en œuvre et à le généraliser, le nouveau document leur impose d’élaborer « un plan sur les prochaines semaines prévoyant des actions destinées à  réduire au maximum le temps de présence sur site des salariés en tenant compte des activités télétravaillables au sein de l’entreprise». Ce plan, qui doit faire l’objet d’échanges entre les dirigeants et les instances représentatives du personnel, devra être présenté à l’Inspection du Travail « en cas de contrôle » précise le protocole. Cette obligation s’inscrit dans la logique de contrôle renforcé dont le gouvernement s’est fait le chantre la semaine dernière pour convaincre les employeurs récalcitrants à proposer à leurs salariés des formules de travail à distance. Pour les actifs qui exercent leur activité à domicile à temps plein, le retour au bureau reste toutefois « possible une fois par semaine maximum » à condition que cette mesure fasse l’objet d’un accord avec leur supérieur et réponde à un besoin exprimé par le salarié concerné. Afin de minimiser les risques qui pèsent sur les salariés positionnés sur des postes inamovibles, « un lissage des horaires de départ et d’arrivée » doit être opéré de manière à éviter « l’affluence aux heures de pointe». Les consignes les plus dures portent sur les « moments de convivialité entre collègues » que représentent les pauses-café ou les repas du midi peu propices à la distanciation physique et au port du masque. Les premières restent « suspendues » et les seconds soumis à une norme qui exige de «déjeuner seul en laissant une place vide en face de soi » précise le texte. Dans ces espaces collectifs de restauration, une jauge maximale d’une personne pour 8m² entre en vigueur avec un éloignement de deux mètres minimim entre chaque usager. Interrogé mardi sur RTL, Laurent Pietraszewski, secrétaire d’Etat chargé de retraites (il remplaçait la ministre du Travail Elisabeth Borne, contaminée par la Covid) a martelé qu’ «Il faut tout faire pour manger seul», c’est comme ça qu’on se protège et qu’on protège les autres».

[...]