La gestion efficace d’un établissement hôtelier requiert des outils spécifiques qui répondent aux besoins complexes du secteur. Les logiciels de caisse enregistreuse conçus exclusivement pour les hôtels représentent une solution incontournable pour ces entreprises. Ces logiciels leur offrent une multitude d’avantages pour la gestion opérationnelle et financière. Nous vous invitons à découvrir quelques-uns de ces avantages dans cet article. Un outil avec une gestion multi-établissements intégrée L’un des atouts majeurs d’un logiciel de caisse pour un hôtel réside dans sa capacité à répondre aux besoins diversifiés des hôtels, restaurants, bars et maisons d’hôtes. En effet, grâce à une gestion multi-établissements intégrée, cet outil technologique permet une centralisation efficace des opérations. Cela simplifie grandement la supervision globale de ces opérations et offre une vision complète de l’ensemble des activités de l’hôtel. L’accès à des modules spécialisés pour une bonne adaptabilité Les logiciels de caisse enregistreuse hôtelière offrent des modules spécifiques qui répondent précisément aux besoins uniques des hôtels. Parmi eux, nous pouvons citer : la facturation à la chambre, la personnalisation de la configuration des salles, la gestion des réservations de chambres. Cette adaptation assure une fluidité opérationnelle conforme aux standards hôteliers et facilite la personnalisation des services en fonction des besoins spécifiques de chaque établissement. L’intégration transparente avec les systèmes hôteliers Certains logiciels de caisse enregistreuse facilitent l’intégration avec les systèmes de gestion hôtelière (PMS). En pratique, cela simplifie le transfert de la facturation du restaurant à la chambre d’hôtel. Cette synchronisation garantit un contrôle centralisé des ventes et optimise la gestion financière globale de l’établissement. La cohérence des données entre les différents départements améliore l’efficacité opérationnelle dans la chaîne de gestion. La maîtrise des encaissements et la bonne gestion des offres promotionnelles Les fonctionnalités dédiées des logiciels de caisse enregistreuse spécifiques aux hôtels permettent une gestion précise des encaissements, des offres promotionnelles et des réservations de chambres. La facilité de suivi des transactions contribue à une meilleure maîtrise financière. Aussi, cela offre-t-il aux établissements hôteliers une bonne visibilité sur leurs performances commerciales. La facilité d’utilisation de la solution La convivialité des logiciels de caisse enregistreuse spécifiques aux hôtels favorise une adoption rapide par les équipes. L’intégration avec les systèmes PMS assure également une centralisation des ventes, ce qui permet une communication fluide entre les différents départements. Par ricochet, cette simplicité d’utilisation contribue à une meilleure productivité. Les équipes pourront se concentrer sur le service client et optimiser les processus internes. En conclusion, l’utilisation d’un logiciel de caisse enregistreuse spécifiquement conçu pour les hôtels transcende les limites des solutions génériques. Elle offre une gestion intégrée, une facilité d’utilisation, une centralisation des ventes et une productivité accrue. L’investissement dans cette solution spécialisée est un choix judicieux pour rester compétitif et répondre aux attentes croissantes des clients dans le secteur de l’hôtellerie.

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Les professionnels qui doivent effectuer régulièrement des déplacements choisissent les hôtels en tenant compte de critères précis, notamment de la qualité des services et des tarifs. Si certains accordent de l’importance à la connexion WiFi pour rester en permanence en contact avec leurs partenaires, d’autres apprécient la position géographique ou encore les services de restauration. De nombreux professionnels doivent effectuer régulièrement des voyages d’affaires et passer une ou plusieurs nuits dans des hôtels en France et dans le monde entier pour mener à bien leurs projets. Avant de partir en voyage, ils doivent réfléchir à leurs besoins pour bien choisir leur hébergement. Tandis que certains préfèrent se loger dans un établissement hôtelier bien desservi par les moyens de transport en commun, d’autres se focalisent sur la qualité de l’accueil et des services. Quelles sont les attentes des professionnels ? Lorsque les commerciaux préparent leur agenda de rendez-vous en France et à l’étranger, ils choisissent un hôtel de 3 ou 4 étoiles. Dans la plupart des cas, ils disposent d’un budget fixe. Par conséquent, ils doivent trouver une solution qui respecte leur budget. Etant donné qu’ils doivent communiquer régulièrement avec leurs partenaires et leur équipe, les commerciaux privilégient généralement les hôtels qui offrent une connexion Wifi gratuite et illimitée. Cela leur permettre de rester en permanence connectés à leurs collègues, à leurs clients et les divers interlocuteurs avec lesquels ils ont besoin d’échanger pendant leurs déplacements. La position géographique et la qualité des services Pour arriver sans difficulté sur les lieux de rendez-vous, les commerciaux optent souvent pour des hôtels bien desservis par les trams, les bus et le métro. Après plusieurs rendez-vous dans la journée, ils ont souvent besoin de réserver un hôtel. En général, ils préfèrent les chambres calmes, qui n’ont pas de fenêtres à proximité d’une rue à passage fréquent. Pour s’assurer un niveau de confort élevé, ils optent en général pour des établissements qui proposent des repas de qualité. Dans les hôtels avec restaurant gastronomique, les chefs préparent des plats spécifiques avec des ingrédients bio. Les professionnels ayant prévu des voyages d’affaires à Angers ont la possibilité de réserver une chambre à l’Hôtel de France. Cet établissement centenaire de 4 étoiles se trouve en face de la gare et propose des services de qualité. Il est bien desservi par les transports en commun (tram et bus). De plus, vous avez la possibilité de déguster des plats traditionnels, préparés avec des produits issus des fermes locales.

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Le spa s’est imposé dans l’industrie hôtelière pour répondre à la demande croissante de bien-être de la part des consommateurs. C’est devenu un incontournable des catégories haut de gamme et luxe. Les professionnels reconnaissent l’impact positif de cet investissement et ils doivent apprendre à gérer une nouvelle activité avec un personnel adapté.

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Selon le Cabinet MKG Group, l’année 2013 a été moins favorable au développement du tourisme en France. L’étude révèle un bilan plutôt mitigé pour le secteur de l’hôtellerie, et notamment pour les services haut de gamme. La tendance est similaire pour le tourisme d’affaires. En revanche, la capitale connaît des chiffres très positifs et se bat avec Londres pour le titre de « 1ère destination touristique au niveau mondial ».

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La mise en vente d’alcool est une activité qui peut se révéler très lucrative lorsqu’elle est entreprise dans les règles. En effet, plusieurs implications fiscales sont rattachées à ce commerce et peuvent avoir un impact significatif sur sa rentabilité. Découvrez ici quelques-unes de ces taxes à travers leur fonctionnement et des conseils pour s’en acquitter pendant votre aventure entrepreneuriale. Les droits d’accise Les droits d’accise sont l’une des taxes les plus importantes dans la régulation du commerce d’alcool. Ils sont rangés dans la catégorie des taxes indirectes. Tout opérateur économique établi en France et dans l’Union européenne est tenu de s’acquitter de leur paiement. Quelques facteurs, dont la destination des produits (vente locale ou exportation), peuvent faire varier le montant des droits d’accise dus. De cette manière, la gestion efficace des droits d’accises sur l’alcool nécessite la tenue pointilleuse d’une comptabilité précise. Les commerçants ont également le devoir de se tenir au courant des modifications de la législation à propos. En effet, les autorités fiscales surveillent de près tous les professionnels de la vente de boissons alcoolisées sur ce point. La TVA Comme dans l’ensemble du secteur de la restauration, la TVA (taxe sur la valeur ajoutée) influe sur les revenus. En France, cette taxe concerne plusieurs types d’établissements tels que les restaurants, les grandes surfaces, les pensions hôtelières et les traiteurs. La TVA est un impôt indirect sur la consommation. Les boissons alcoolisées sont frappées par une TVA de 20 %, quel que soit le type de consommation. Cela ne varie pas selon que la vente soit à emporter, faite sur place ou que le contenant soit fermé hermétiquement ou non. Cependant, la définition fiscale d’une boisson alcoolisée diffère de la définition courante d’une boisson alcoolisée. En effet, les boissons entrant dans le régime fiscal de l’alcool doivent posséder un titre alcoométrique volumique acquis supérieur à 1,2 %. Ce pourcentage tombe à 0,5 % pour le cas particulier des bières. La Cotisation de sécurité sociale Dans certains cas, la TVA et les droits d’accise sont complétés par une autre taxe : la cotisation de Sécurité sociale. Également désignée par l’expression « vignette Sécurité sociale », cette taxe s’applique pour certaines boissons. Les alcools et spiritueux ayant un degré d’alcool de plus de 18 degrés sont concernés par cette cotisation. Chaque année, le montant de la vignette est fixé par l’État sur chaque hectolitre d’alcool pur (hlap). En 2024 ce montant est passé de 589 € à 599,31 €. Pour obtenir la cotisation à verser par bouteille, il suffit de multiplier son volume d’alcool pur en litre par 5,89.

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Après la crise sanitaire, la reprise de l’emploi et du recrutement n’a pas été la même en fonction des secteurs d’activités et des régions de France. L’Île-de-France, qui est la région la plus riche de France (31 % du PIB du pays) et qui représente 1 emploi sur 4 de l’Hexagone, a par exemple connu une reprise plus lente comparé à d’autres régions. Surprenant, mais plutôt logique lorsque l’on regarde les secteurs d’activités qui portent la région Île-de-France. En effet, la région est tournée vers les domaines d’activités qui ont le plus souffert pendant la pandémie : tourisme international, événementiel, culture, restauration, hôtellerie… L’Île-de-France n’a retrouvé son niveau d’avant crise qu’à la fin de l’année 2021. Deux ans après, le marché de l’emploi reprend dans toute la France et les entreprises sont en pleine phase de recrutement. Les propositions de CDI ont par exemple doublé en un an. Le marché de l’intérim est également en pleine croissance, +7,2 % en 2021, dépassant ainsi les chiffres d’avant Covid. Depuis début 2022, l’Île-de-France est de nouveau la région qui concentre le plus d’offres d’emploi. Une croissance de +183 %. L’intérim à Paris connaît particulièrement une belle progression. Comme chaque année, Pôle emploi a révélé son enquête Besoins en main-d’œuvre (BMO) dans chaque région de France. Les établissements et entreprises ont été questionnés sur leurs prévisions en recrutement. Voici ce qu’il faut retenir des chiffres en Ile-de-France. Projets de recrutement en Île-de-France Zoom sur l’Île-de-France. Les projets de recrutement se trouvent en nombre à Paris. Puis dans l’ordre dans les Hauts-de-Seine, la Seine-Saint-Denis, les Yvelines, le Val-de-Marne, la Seine-et-Marne, l’Essonne et le Val-d’Oise. Beaucoup de domaines d’activités ont besoin de main-d’œuvre et sont en pleine phase de recrutement. Mais de nombreuses entreprises et secteurs ont du mal à recruter, que ce soit pour des CDI, CDD, mais aussi pour des contrats saisonniers. La part des projets de recrutement jugés difficiles s’élève à 45,4 %. La région Île-de-France mise depuis quelques années sur les start-up. Son but est de devenir la Silicon Valley de l’Europe. Pour trouver un job en start up en Île-de-France, c’est le moment ! Particulièrement dans les métiers du digital et de la tech. Les métiers les plus recherchés en Île-de-France Dans la région Île-de-France, en 2022, 532 000 recrutements sont prévus. Quels sont les métiers les plus recherchés en Île-de-France ? Voici le top 10 des métiers qui recherchent en Île-de-France, selon les chiffres de l’enquête BMO de Pôle emploi : Artistes, techniciens du spectacle (la région Île-de-France concentre 31 % des compagnies de danse et 27 % des compagnies dramatiques). 23 980 offres d’emploi, dont presque la moitié (48,9 %) de contrat saisonnier. Ingénieurs et cadres d’étude, recherche et développement informatique, chef de projets informatique : 19 760 offres d’emploi. Aides et apprentis de cuisine, employés polyvalents de la restauration : 18 780 offres d’emploi Agents d’entretien de locaux : 17 230 offres d’emploi Serveurs de cafés restaurants : 13 650 offres d’emploi Agents de sécurité et de surveillance :

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Dans un mois, les employeurs auront la possibilité d’établir en accord s avec les partenaires sociaux, un planning de télétravail pour leurs personnels. Cinq jours sur cinq d’activité en distanciel chaque semaine. C’est la règle qui prévaut depuis plusieurs mois dans les entreprises soumises à un strict protocole sanitaire imposé par la situation épidémiologique. A partir du 9 juin, et après quatre semaines de confinement (le troisième en un an), les employeurs vont retrouver une latitude certaine dans la mise en place de leur planning de télétravail. Le 30 avril dernier, la calendrier de déconfinement dévoilé par l’exécutif prévoit une levée progressive de restrictions qui frappaient jusqu’ici les restaurants : or l’activité de ce secteur, notamment le midi, est étroitement lié à la présence de salariés sur leurs lieux traditionnels d’exercice, au bureau, à l’atelier ou à l’usine. C’est cette nécessaire concomitance entre l’offre et la demande qui a conduit l’Etat à introduire une forme de dosage dans son plan de sortie de crise : le 18 mai prochain, bars et restaurants seront seulement autorisés à rouvrir leurs terrasses. Trois semaines plus tard, le 9 juin, leurs salles pourront accueillir du public, date à laquelle le télétravail commencera justement à être allégé.Comment cet assouplissement va-t-il s’appliquer ? Sans doute les entreprises renoueront-elles avec la situation de l’été dernier : à l’époque, le télétravail était seulement recommandé et les contrôles destinés à en vérifier la fréquence quasi inexistants. La tendance était alors à l’établissement de plannings personnalisés, voire au cas par cas, avec une alternance plus ou moins équilibrée entre travail à domicile et jours de présence au bureau. Une carte blanche qui devrait être redonnée aux entreprises en juin, comme l’a avait indiqué la ministre du Travail Elisabeth Borne fin avril : « je souhaite que les employeurs puissent le plus vite possible définir eux-mêmes les bonnes règles ». Les conditions et les modalités du retour progressif des salariés sur site fait actuellement l’objet de négociations entre le gouvernement et les partenaires. La piste envisagée conduirait à une modification du protocole sanitaire en entreprise à partir du 9 juin. Le texte indiquerait alors que « le nombre minimal de jours de télétravail est à définir au sein de chaque entreprise, via le dialogue social ». Selon une étude Harris Interactive commandée par l’Hôtel du Châtelet, un peu moins de la moitié des actifs (43 %) a télétravaillé en avril : sur ce total, 78% occupaient un poste adaptable à ce mode d’organisation.

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Le paysagisme d’intérieur est une notion relativement récente. Depuis les années 1950, les jardiniers commencent à collaborer de plus en plus souvent avec les chefs d’entreprise afin d’aménager leurs bureaux. Pour que vos équipes puissent travailler dans des conditions optimales, pensez à choisir des fleurs et des arbustes décoratifs faciles d’entretien. Dans le but de créer une atmosphère agréable sur les lieux de travail, un grand nombre de dirigeants choisissent les plantes décoratives. Les professionnels de la décoration d’intérieur et les pépiniéristes peuvent les aider à sélectionner des fleurs et des arbustes de petite taille qui ne nécessitent pas d’entretien particulier. L’évolution du paysagisme d’intérieur dans les entreprises Depuis les années 1950, les plantes décoratives sont de plus en plus présentes dans les logements ainsi que dans les petites et moyennes entreprises. Une vingtaine d’années plus tard, les halls d’accueil des hôtels, les aires de réception et les showrooms deviennent des véritables atriums qui accueillent des plantes décoratives de diverses formes et dimensions. Aujourd’hui, la notion de paysagisme d’intérieur suscite l’intérêt de nombreux dirigeants qui veulent apporter une touche de personnalité à leurs bureaux. En choisissant des végétaux décoratifs pérennes et persistants, vous pouvez créer une atmosphère plus conviviale dans votre entreprise. Des conseils pour bien concevoir son projet de décoration Lorsque vous élaborez votre projet de décoration, il est recommandé de prendre en considération plusieurs aspects , tels que les dimensions de vos bureaux, les caractéristiques de vos luminaires et les particularités de votre système de ventilation. Les pépiniéristes peuvent vous accompagner dans l’élaboration de votre projet en vous offrant des conseils sur mesure en fonction de vos préférences esthétiques et des contraintes de vos espaces de détente. Pour que vos employés se détendent pendant les pauses, pensez à aménager des espaces végétalisés sur votre terrasse ou dans votre jardin. Lorsque vous choisissez la thématique et le design des lieux de relaxation et du bureau d’accueil, il est préférable de réfléchir en amont aux valeurs de votre PME. De cette manière, vous pourriez prendre la meilleure décision et promouvoir efficacement l’image de votre société. Les experts de l’équipe Les Pépinières du Val d’Erdre vous proposent des végétaux vivaces et pérennes qui peuvent été plantés directement dans le jardin ou dans des pots posés sur une terrasse. Vous avez ainsi la possibilité d’aménager vos bureaux et vos espaces extérieurs. Sur leur site Internet, vous pouvez désormais consulter leur guide végétal afin de mieux connaître les particularités des plantes qui vous intéressent.

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Les États-Unis font partie des pays où les entrepreneurs aiment organiser des rencontres professionnelles. Les richesses historiques, culturelles et touristiques en sont les raisons principales. Avant de s’y rendre, il faut préparer ses valises et réserver son hôtel pour ne pas se faire surprendre au dernier moment. Il convient également de se renseigner sur les documents nécessaires au voyage. Choisir l’hôtel où dormir lors d’un voyage d’affaires aux États-Unis Organiser un voyage d’affaires aux USA est loin d’être une mince affaire. Il faut tout préparer à l’avance afin d’éviter les mauvaises surprises une fois sur place. Si le déplacement se fait dans le cadre d’une organisation d’un évènement spécial, le voyageur peut réserver un hôtel qui propose des formules adaptées au type de séjour comme un « forfait soirée étape » par exemple. Ce concept permet de manger et de dormir à moindre coût, c’est-à-dire qu’il inclut le dîner, le petit déjeuner et le logement. En ce qui concerne le choix du lieu où va se dérouler l’évènement, le visiteur trouvera des établissements qui proposent des services et un cadre agréable pour accueillir les participants d’une réunion professionnelle. Pour un séjour plutôt court, il est possible de louer des bureaux pour que les partenaires et les collaborateurs soient à l’aise dans leur travail. Pour ce qui est du repas, il est préférable d’opter pour un établissement qui inclut cette prestation. Certaines entreprises s’en occupent à la place du salarié afin d’alléger ses tâches et de lui permettre de se focaliser sur sa mission. Ainsi, l’employé n’aura plus qu’à profiter pleinement de son séjour et prendre le temps de découvrir les attraits du pays avant de contracter avec ses nouveaux collaborateurs. Respecter certaines formalités pour partir en toute sérénité au pays de l’Oncle Sam Avant de partir en Amérique, le voyageur d’affaires est tenu de se conformer aux formalités du pays en termes de documents nécessaires lors de sa visite. Il s’agit d’effectuer une demande d’e-visa USA. Pour ce faire, il doit remplir le formulaire en ligne, soit depuis le site du gouvernement, soit depuis une plateforme privée, comme www.document-esta.com. Pour être bien préparé, il est préconisé d’effectuer la demande au moins deux ou trois mois avant le départ. Certains pays comme la France qui participe au programme de dispense de visa n’ont pas l’obligation de s’y conformer s’il s’agit d’un séjour de 90 jours. Une fois que le document est prêt, le visiteur pourra embarquer en toute sérénité. Arrivé à destination, il sera soumis aux contrôles stricts lors de l’entrée sur le territoire. Comme il est en possession de l’autorisation de voyage, il n’a rien à craindre et il restera zen tout au long de la visite.

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