Comment dématérialiser les documents, protéger les données, partager et valoriser l’information, exploiter les potentialités de la data ? L’ensemble de ces questions sont abordées, durant deux jours, aux salons Documation et Data Intelligence qui démarrent à Paris. Chaque année, Documation et Data Intelligence Forum réunissent des centaines d’experts et acteurs du marché de la digitalisation au parc des expositions de Paris, Porte de Versailles. A l’heure où la gestion de l’information s’affirme comme un enjeu stratégique dans les entreprises engagées dans leur processus de transformation numérique, l’évènement « qui possède la double casquette de salon et de congrès » constitue « un véritable outil d’aide à la décision » souligne son directeur adjoint Guillaume Settembrini. « Il vise à répondre aux préoccupations de nos visiteurs à l’instant T, mais aussi à offrir une vision prospective sur les tendances du moment ». Cette nouvelle édition axe son programme sur quatre mots-clés : protéger, partager, valoriser et data. Des notions qui sont abordées à travers un ambitieux cycle de conférences et d’ateliers pratiques, complétés par un plateau de plus de 100 exposants. En ouverture, mercredi (9h30), une grande conférence fait intervenir Geneviève Bouché, spécialisée dans le management de l’innovation et les stratégies à long terme, et François-Bernard Huygue, spécialiste des stratégies d’information et directeur de recherches à l’IRIS. Avec Denis Jacquet, co-fondateur de l’Observatoire de l’Uberisation et de Parrainer la Croissance, et Julien Breitfeld, Data Marketing Architect (Fabernovel Paris), ils feront un point sur les grandes tendances actuelles en matière de numérisation et de gestion de documentaire, avec une fenêtre sur l’avenir et les mutation à venir en 2018. Les 5èmes Trophées du Data Intelligence Un deuxième temps fort, jeudi 30 mars (9h30) , abordera l’avenir et les enjeux du digital en France à travers cette question en prise directe avec l’actualité électorale : « Moi, Candidat 2017, Président de la France Numérique… » Selon Guillaume Settembrini, la campagne présidentielle est l’occasion d’aborder ces sujets et « offre une belle opportunité d’expression pour les acteurs de l’écosystème numérique. Que disent-ils ? Que veulent-ils ? Quels sont leurs arguments ? À un mois de l’élection, où en sommes-nous ? » Cette conférence réunira Pierre-José Billotte (EuroCloud Europe’s Founder and Honorary Chairman, Chairman of Eurocloud France), Alain Garnier (Président, Efel Power), Philippe Recoupé (Président Fondateur, Forum Atena) et Olivier Mamavi (Directeur de publication de Management & Data Science). Trois grandes thématiques seront développées sur la data en lien avec les préoccupation des entreprises et des pouvoir publics : la protection des données personnelles, la mise en place des indicateurs de performance (statistiques, tracking, big data, etc.) et la place des objets connectés dans les entreprises. Autres conférences et évènements : – De la transformation à l’excellence numérique, management et conduite du changement Data Intelligence Forum – Axes : PARTAGER VALORISER Mercredi 29 mars 2017 à 12h – Digital workplace : mise en place d’un poste de travail 100 % numérique Documation – Axes : PARTAGER – DÉMATÉRIALISER Jeudi 30 mars 2017 à 9h30 –

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Spat (Société pour la Promotion des Arts et des Techniques) et Infopromotions organisent le prochain salon i-expo au Centre des Nouvelles Industries et Technologies (Paris, La Défense) le mercredi 11 et le jeudi 12 juin 2014. Le programme de cette nouvelle édition sera sous-tendu par un fil rouge consacré à la transformation numérique des entreprises.

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L’événement annuel LEWEB PARIS se tiendra du 4 au 6 décembre prochain à la Plaine Saint-Denis au sein du complexe « Les Docks ». Comme chaque année, il s’agit de la grand-messe qui est attendue par tous les acteurs du web. Dans le cadre de cette neuvième édition qui sera présentée par Géraldine et Loïc Le Meur, tout le vieux continent se mettra à l’heure du web.

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De retour du « B20 », sommet des responsables patronaux mondiaux organisé à Los Cabos (Mexique), avant le G20 des Chefs d’Etat, la présidente du Medef, Laurence Parisot a de nouveau interpellé François Hollande sur le risque d’« étranglement » que font courir aux entreprises françaises les mesures sociales et économiques prévues par le gouvernement du premier ministre Jean-Marc Ayrault.

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Quand, après plusieurs rappels, un locataire n’a toujours pas versé son dû, son propriétaire dispose d’une voie de recours : l’huissier de justice. Le non-paiement d’un ou plusieurs loyers consécutifs est un risque redouté par beaucoup de bailleurs : l’impact financier peut en effet s’avérer majeur à court et moyen terme. Ce type de litige est aussi très délicat à gérer puisqu’il se heurte très souvent à des considérations humaines qui inclinent davantage au dialogue qu’au conflit lorsque le locataire en faute traverse une période difficile qui l’empêche d’honorer ses dettes. Des loyers impayés en hausse pendant la crise sanitaire en Ile-de-France Le phénomène existe, mais son ampleur reste modeste en France, à en croire une série de statistiques relativement récentes livrées par le Ministère de la Justice : les chiffres de 2017 faisaient état de 147 000 procédures d’expulsion intentées par des propriétaires qui souhaitaient récupérer auprès des occupants de leurs biens une somme importante d’impayés. Une proportion très faible au regard de nombre total de locataire recensés en France, estimé à un peu plus de 11 millions. Sans surprise, le phénomène s’était tout de même aggravé pendant la crise du Covid, période au cours de laquelle de nombreux travailleurs avaient vu leurs revenus diminués, voire supprimés. Fin 2022, après plusieurs épisodes de confinement, le nombre le litiges relatifs à des non-versements de loyers concernaient quelque 30 000 locataires de HLM implantées en région Ile-de-France. Parmi ces contentieux, l’immense majorité ont dû nécessiter, faute d’accord amiable entre les parties concernées, l’intervention d’un huissier à Paris. Qu’est-ce qu’un ordre de paiement ? Les propriétaires qui ont épuisé le dialogue avec ceux qui occupent leur logement, ont en effet la possibilité de faire appel en dernière extrémité à ces professionnels de justice qui relèvent directement du Ministère concerné, place Vendôme à Paris. En tant qu’officier chargé de l’exécution des décision prononcées par les tribunaux, les huissiers sont habilités à délivrer des commandements de payer aux locataires qui n’honorent pas leurs dettes à l’égard de leur bailleur. Il s’agit d’un acte juridique qui, sous la forme d’une mise en demeure, intime l’ordre à l’usager d’un logement de régler son loyer dans un délai fixé par son créancier. A défaut, la clause résolutoire incluse dans le bail (la majorité des contrats de location en contiennent une) pourra être activée et conduire la propriétaire à rompre unilatéralement son engagement à l’égard de son locataire. Auquel cas, celui-ci est tenu de quitter les lieux, sauf à honorer sa dette dans les temps impartis. Un ordre de paiement prononcé par un huissier de justice a une valeur et une importance juridique : ce document mentionne expressément le montant des loyers impayés et, à ce titre, reconnait officiellement la dette locative accumulée par un locataire. C’est cette somme que son bailleur sera en droit de réclamer le remboursement devant les tribunaux, si le litige se poursuit jusque devant un juge. Avant d’adresser un ordre de paiement, un bailleur est toutefois tenu de l’alerter par plusieurs lettres de relance lui réclamant de régulariser sa situation.

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Pour s’éviter certains risques financiers, des restaurateurs choisissent de contractualiser l’entretien de leurs matériels auprès d’un professionnel du dépannage de cuisine professionnelle. L’ensemble des équipements installés dans une grande cuisine de restaurant représentent un capital estimé entre 30 et 40 000 euros, parfois plus parfois moins selon les cas. L’achat et l’installation cumulés d’un four mixte, d’une chambre froide, de gros réfrigérateurs, d’une plancha ou encore de hottes constituent de lourds investissements qu’il faut amortir, mais aussi entretenir, sous peine d’avoir à supporter de substantielles dépenses de fonctionnement.Comment s’y prendre pour maintenir à niveau ces matériels et éviter d’avoir à les remplacer trop souvent, ou de s’exposer à des pannes intempestives susceptibles d’entraîner des pertes économiques et de dégrader la réputation du restaurant ? Planifier une maintenance régulière Pour minimiser ces risques, les dirigeants de ces établissements choisissent de planifier une maintenance régulière de leurs gros appareils à travers un contrat passé auprès d’un dépanneur et installateur comme Paris Resto Cuisine. En quoi consiste exactement cette procédure ? Rappelons d’abord que l’AFNOR en donne une définition précise dans un de ses textes réglementaires : il s’agit, selon l’association française de la normalisation, de « « l’ensemble de toutes les actions techniques, administratives et de gestion durant le cycle de vie du bien, destinées à le maintenir dans un état dans lequel il peut accomplir la fonction requise ». Dans un restaurant, cette opération de maintenance est effectuée sur l’ensemble des équipements qui produisent du froid et du chaud, mais aussi sur les inox et les appareils de laverie et les matériels utilisés pour la préparation des aliments. La norme NF X 60-000 d’avril 2016 fixe cinq niveaux d’intervention : le premier porte sur des réglage simples et basiques qui ne nécessitent pas de démontage ou d’ouverture de la machine. Le niveau 2 correspond à des actions « peu complexes » de dépannage entraînant le remplacement de pièces éventuellement défectueuses sans démontage intégral de l’équipement. Le niveau 3 répertorie les interventions « complexes » évaluées au préalable par un diagnostic (remplacement d’une pompe ou échange d’un composant par exemple). Les maintenances de niveaux 4 et 5 sont les plus techniques et souvent les plus lourdes : elles exigent le recours à un outillage spécial et sont confiées à des dépanneurs dotés d’une qualification spécifique, voire au constructeur de l’appareil. Contrat de maintenance : une sécurité économique et juridique Selon les situations et le type d’anomalies identifiées, la maintenance peut être seulement préventive : il s’agit de planifier une série de vérifications destinées à anticiper d’éventuels dysfonctionnements et de minimiser le risque de panne. Quand elle est corrective, la maintenance se traduit par une intervention ponctuelle qui, après une défaillance majeure, donne lieu à une réparation. Il y a plusieurs avantages à établir un contrat de maintenance préventive : la performance des équipements est optimisée dans la durée, ce qui permet de réduire le risque d’incidents potentiellement graves (des mécanismes de sécurité ou des thermocouples mal réglés peuvent provoquer des explosions ou

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Après la crise sanitaire, la reprise de l’emploi et du recrutement n’a pas été la même en fonction des secteurs d’activités et des régions de France. L’Île-de-France, qui est la région la plus riche de France (31 % du PIB du pays) et qui représente 1 emploi sur 4 de l’Hexagone, a par exemple connu une reprise plus lente comparé à d’autres régions. Surprenant, mais plutôt logique lorsque l’on regarde les secteurs d’activités qui portent la région Île-de-France. En effet, la région est tournée vers les domaines d’activités qui ont le plus souffert pendant la pandémie : tourisme international, événementiel, culture, restauration, hôtellerie… L’Île-de-France n’a retrouvé son niveau d’avant crise qu’à la fin de l’année 2021. Deux ans après, le marché de l’emploi reprend dans toute la France et les entreprises sont en pleine phase de recrutement. Les propositions de CDI ont par exemple doublé en un an. Le marché de l’intérim est également en pleine croissance, +7,2 % en 2021, dépassant ainsi les chiffres d’avant Covid. Depuis début 2022, l’Île-de-France est de nouveau la région qui concentre le plus d’offres d’emploi. Une croissance de +183 %. L’intérim à Paris connaît particulièrement une belle progression. Comme chaque année, Pôle emploi a révélé son enquête Besoins en main-d’œuvre (BMO) dans chaque région de France. Les établissements et entreprises ont été questionnés sur leurs prévisions en recrutement. Voici ce qu’il faut retenir des chiffres en Ile-de-France. Projets de recrutement en Île-de-France Zoom sur l’Île-de-France. Les projets de recrutement se trouvent en nombre à Paris. Puis dans l’ordre dans les Hauts-de-Seine, la Seine-Saint-Denis, les Yvelines, le Val-de-Marne, la Seine-et-Marne, l’Essonne et le Val-d’Oise. Beaucoup de domaines d’activités ont besoin de main-d’œuvre et sont en pleine phase de recrutement. Mais de nombreuses entreprises et secteurs ont du mal à recruter, que ce soit pour des CDI, CDD, mais aussi pour des contrats saisonniers. La part des projets de recrutement jugés difficiles s’élève à 45,4 %. La région Île-de-France mise depuis quelques années sur les start-up. Son but est de devenir la Silicon Valley de l’Europe. Pour trouver un job en start up en Île-de-France, c’est le moment ! Particulièrement dans les métiers du digital et de la tech. Les métiers les plus recherchés en Île-de-France Dans la région Île-de-France, en 2022, 532 000 recrutements sont prévus. Quels sont les métiers les plus recherchés en Île-de-France ? Voici le top 10 des métiers qui recherchent en Île-de-France, selon les chiffres de l’enquête BMO de Pôle emploi : Artistes, techniciens du spectacle (la région Île-de-France concentre 31 % des compagnies de danse et 27 % des compagnies dramatiques). 23 980 offres d’emploi, dont presque la moitié (48,9 %) de contrat saisonnier. Ingénieurs et cadres d’étude, recherche et développement informatique, chef de projets informatique : 19 760 offres d’emploi. Aides et apprentis de cuisine, employés polyvalents de la restauration : 18 780 offres d’emploi Agents d’entretien de locaux : 17 230 offres d’emploi Serveurs de cafés restaurants : 13 650 offres d’emploi Agents de sécurité et de surveillance :

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