Dans un contexte concurrentiel soutenu dans la plupart des secteurs d’activité, le monde professionnel est aujourd’hui de plus en plus oppressant. La course aux résultats et à la performance est une source de stress permanente qui affecte le bien-être au travail. Cette situation peut mener à l’épuisement professionnel, une tension excessive entre l’idéal qui habite le travailleur et les contraintes de la réalité qui en restreignent la concrétisation. Il existe toutefois des moyens de s’en prémunir. Qu’est-ce que le bien-être au travail ? L’une des principales préoccupations de nombreux actifs est de pouvoir s’épanouir dans leur métier. En effet, le rapport au travail n’est plus strictement pécunier, mais est vécu comme un vecteur d’épanouissement et de réalisation de soi. Ainsi, les entreprises et les administrations sont de plus en plus en plus soucieuses de la qualité de vie au travail de leurs salariés, l’enjeu étant crucial. Selon l’OMS, le bien-être au travail consiste en : « un état d’esprit dynamique, caractérisé par une harmonie satisfaisante entre les aptitudes, les besoins et les aspirations du travailleur, d’une part, et les contraintes et les possibilités du milieu de travail, d’autre part ». Plusieurs facteurs y participent, à savoir : L’environnement de travail et son ergonomie ; Les relations entre les collègues et avec la hiérarchie, L’intérêt du travail et les valeurs de l’entreprise ; Le niveau d’implication du salarié et la rémunération. Lorsque qu’aucune démarche n’est menée pour créer des conditions de travail favorables au bien-être, il en résulte un mal-être, autant préjudiciable au salarié qu’à l’entreprise : absentéisme, maladies, mauvais résultats, turn-over, etc. En quoi consiste le mal-être au travail ? Le syndrome d’épuisement professionnel ou burn-out est très caractéristique de l’absence de bien-être au travail. Il se traduit par un épuisement émotionnel, physique et psychique, le développement d’une attitude cynique dans le cadre du travail, et une dévalorisation de soi. A l’inverse, le bore-out est lié non pas à une charge de travail énorme, mais plutôt à un manque de stimulation, une moindre sollicitation créant ainsi un ennui chronique et stressant. Par ailleurs, le brown-out est une autre forme d’épuisement professionnel se caractérisant par une perte de sens au travail. Le sentiment de réaliser des tâches chronophages et absurdes entraine une démotivation progressive et un sentiment de lassitude chez le travailleur. Il s’ensuit une remise en question professionnelle et personnelle, voire une perte de l’estime de soi. Pallier ce mal-être au travail grâce au cabinet d’outplacement job&mobilité Face à l’épuisement professionnel, quelle que soit la forme qu’il peut prendre, l’outplacement est une solution préventive et palliative qui fait ses preuves. Être accompagné par un professionnel du marché de l’emploi et de la transition professionnelle permet de se poser les bonnes questions et de trouver les bonnes informations pour se créer de véritables opportunités professionnelles. L’outplacement recouvre plusieurs aspects : un bilan de compétences ou de carrière pour se positionner adéquatement sur le marché du travail, ou créer une entreprise, des conseils avisés, un soutien logistique et une expertise technique. C’est une prestation de repositionnement professionnelle qu’il sied de solliciter pour mieux rebondir sur le plan personnel et professionnel. Chez job&mobilité, toute

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Aujourd’hui, les entreprises utilisent de plus en plus la stratégie d’influence pour inciter les décideurs à adhérer à leurs idées. Cette forme de marketing est en effet un des moyens les plus efficaces pour gagner de nouvelles parts de marché. Cependant, pour que l’opération se solde par une réussite, la société doit préparer son plan d’action bien en amont et surtout, s’appuyer sur quelques leviers. Parmi ces derniers, on peut citer la relation publique et le lobbying commercial. Les pistes à exploiter pour élaborer une stratégie d’influence Les politiciens sont passés maitres dans l’utilisation des techniques de persuasion pour influencer leurs cibles. Autrefois, la stratégie d’influence était réservée au seul usage du domaine politique. Mais depuis quelques années, les sociétés adoptent de plus en plus cette approche pour augmenter leurs parts de marché et renforcer la compétitivité de l’entreprise. Si l’on se réfère aux définitions données sur le sujet, il s’agit d’une forme de marketing qui cible les personnes influentes et non les cibles finales. A cette effet, les enseignes comptent souvent sur deux leviers. Le premier touche les relations publiques, notamment les médias. Jouissant d’une grande notoriété et d’une audience importante, les journalistes, les blogueurs et les chroniqueurs sont d’excellents relayeurs d’opinions. Ils constituent également les meilleurs moyens pour atteindre un large public. La seconde étape concerne la mise en place d’une stratégie de lobbying commercial. Cela consiste à instaurer une certaine proximité avec les décideurs afin de les convaincre de défendre les intérêts de l’entreprise. On entend par « décideurs », tous les dirigeants politiques ou autres personnes haut placés dans un groupement de sociétés ou dans une institution. Le lobbying commercial : une opération qui se prépare en amont Le lobbying commercial n’est pas difficile en soi, mais nécessite une réelle préparation. En général, une entreprise fera appel à un lobbyiste ou à un conseiller en lobbying commercial, à l’exemple de puissance-reseaux.com, pour élaborer sa stratégie. Ce professionnel connait les rouages de l’opinion publique. Il intervient pour faire valoir les intérêts de ses clients auprès des pouvoirs publics. Cependant, l’adhésion des interlocuteurs à une idéologie ou à une cause ne s’obtient pas du jour au lendemain. Ainsi, après avoir fixé des objectifs à la fois mesurables et quantifiables, la société doit d’abord déterminer les personnalités qu’elle veut convaincre et entretenir un vaste réseau de connaissances. Il n’existe pas de meilleures méthodes pour identifier les bons décideurs. Les intervenants doivent se fier à leurs propres jugements. Il faut ensuite établir une certaine proximité avec les cibles, en suscitant la sympathie et en leur rendant service en premier. C’est ainsi qu’elles se sentiront redevables envers l’entreprise. Cela permettra aussi de nouer une relation de confiance. L’ensemble des actions, comme la présentation des intérêts ou des projets, suivra la logique des choses.

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Les usages numériques, notamment à travers l’utilisation de réseaux sociaux ont radicalement changé la donne pour les entreprises, exposées comme jamais à leurs communautés de consommateurs. Et pourtant, malgré le caractère incontournable du numérique dans l’économie, peu d’entreprises ont adopté une stratégie active concernant un enjeu pourtant fondamental.

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Microsoft, Leroy Merlin, Mc Donald, Pepsico… toutes ces entreprises ont un point commun : leurs salariés sont fiers d’y travailler, ont confiance en leur encadrement et plébiscite l’ambiance de travail qui y règne. C’est l’institut Great Place to Work qui le rapporte avec la publication de son dernier palmarès des entreprises où il fait bon travailler.

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La mise en vente d’alcool est une activité qui peut se révéler très lucrative lorsqu’elle est entreprise dans les règles. En effet, plusieurs implications fiscales sont rattachées à ce commerce et peuvent avoir un impact significatif sur sa rentabilité. Découvrez ici quelques-unes de ces taxes à travers leur fonctionnement et des conseils pour s’en acquitter pendant votre aventure entrepreneuriale. Les droits d’accise Les droits d’accise sont l’une des taxes les plus importantes dans la régulation du commerce d’alcool. Ils sont rangés dans la catégorie des taxes indirectes. Tout opérateur économique établi en France et dans l’Union européenne est tenu de s’acquitter de leur paiement. Quelques facteurs, dont la destination des produits (vente locale ou exportation), peuvent faire varier le montant des droits d’accise dus. De cette manière, la gestion efficace des droits d’accises sur l’alcool nécessite la tenue pointilleuse d’une comptabilité précise. Les commerçants ont également le devoir de se tenir au courant des modifications de la législation à propos. En effet, les autorités fiscales surveillent de près tous les professionnels de la vente de boissons alcoolisées sur ce point. La TVA Comme dans l’ensemble du secteur de la restauration, la TVA (taxe sur la valeur ajoutée) influe sur les revenus. En France, cette taxe concerne plusieurs types d’établissements tels que les restaurants, les grandes surfaces, les pensions hôtelières et les traiteurs. La TVA est un impôt indirect sur la consommation. Les boissons alcoolisées sont frappées par une TVA de 20 %, quel que soit le type de consommation. Cela ne varie pas selon que la vente soit à emporter, faite sur place ou que le contenant soit fermé hermétiquement ou non. Cependant, la définition fiscale d’une boisson alcoolisée diffère de la définition courante d’une boisson alcoolisée. En effet, les boissons entrant dans le régime fiscal de l’alcool doivent posséder un titre alcoométrique volumique acquis supérieur à 1,2 %. Ce pourcentage tombe à 0,5 % pour le cas particulier des bières. La Cotisation de sécurité sociale Dans certains cas, la TVA et les droits d’accise sont complétés par une autre taxe : la cotisation de Sécurité sociale. Également désignée par l’expression « vignette Sécurité sociale », cette taxe s’applique pour certaines boissons. Les alcools et spiritueux ayant un degré d’alcool de plus de 18 degrés sont concernés par cette cotisation. Chaque année, le montant de la vignette est fixé par l’État sur chaque hectolitre d’alcool pur (hlap). En 2024 ce montant est passé de 589 € à 599,31 €. Pour obtenir la cotisation à verser par bouteille, il suffit de multiplier son volume d’alcool pur en litre par 5,89.

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Pour que les clients choisissent les services ou produits fournis par une entreprise, ils doivent préalablement les connaitre. Cela souligne donc l’importance pour les compagnies de communiquer efficacement à propos de leurs offres. Dans ce sens, les supports dont elles peuvent se servir sont notamment la signalétique publicitaire. En plus de faciliter la réalisation de ventes, ces éléments de communication peuvent être utilisés à diverses fins. Quels sont leurs atouts ? Les modèles de signalétique d’entreprise Quels que soient les contextes dans lesquels communiquer, les entreprises ont principalement le choix entre deux modèles de signalétique. Ce sont notamment : La signalétique intérieure Elle permet aux personnes qui se déplacent à l’intérieur de vos locaux de se repérer aisément. Vous pouvez utiliser une variété de supports à cet effet. Quels que soient les choix faits, assurez-vous qu’ils rendent les mouvements au sein de l’entreprise plus fluides. De cette façon, les visiteurs n’auront aucun mal à identifier les bureaux des managers ou d’autres locaux. Ils éviteront ainsi de se retrouver dans des zones interdites d’accès. La signalétique extérieure Ces supports de communication sont utilisés pour fournir des indications par rapport aux installations situées en dehors de l’entreprise comme : La nature des locaux ; Les services disponibles ; Les renseignements à propos des responsables ; Etc. Avec un outil comme le kakemono publicitaire, votre entreprise pourra véritablement se démarquer de ses concurrents. Le support ne passe pas inaperçu, et permet à la compagnie de bénéficier d’une excellente visibilité. Bien choisie, la signalétique publicitaire attire l’attention des passants et facilite leur conversion en clients. Pourquoi miser sur la signalétique en entreprise ? Il y a de nombreuses raisons pour lesquelles intégrer la signalétique publicitaire dans vos campagnes marketing. Le premier avantage qui en découle est le renforcement de votre image de marque. En fonction des besoins, il existe des supports de communication sur lesquels miser pour capter l’attention des clients. Ces éléments offrent ainsi une meilleure visibilité aux produits et services que propose la compagnie. Les supports comme les kakemonos publicitaires peuvent être installés 24 h/24 et 7 j/7 à l’extérieur de l’entreprise. Vous profiterez mieux de la permanence de leurs avantages en matière de visibilité. C’est d’ailleurs une excellente solution sur laquelle miser, si vous disposez de ressources limitées quant au marketing. Grâce à l’utilisation des enseignes par exemple, vous n’aurez aucun mal à communiquer à propos de vos produits et services. Ces éléments sur lesquels baser votre marketing offrent une excellente rentabilité. Assurez-vous également de choisir une signalétique de qualité pour impacter efficacement vos prospects.

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