Depuis cet automne, le droit qui s’applique à la commande public a été corrigé pour permettre aux acteurs économiques de faire face à l’inflation et aux difficultés d’approvisionnement. Face aux effets combinés de la hausse des prix, en partie  liée au déséquilibre des marchés lors de l’après Covid, et de la guerre en Ukraine, de nombreuses entreprises peinent à honorer leur commandes dans les temps et dans de bonnes conditions financières. C’est notamment le cas des installateurs de cuisine professionnelle qui interviennent dans des structures gérées par l’Etat (hôpitaux) ou les collectivités locales (Ehpad, cantines scolaires). Un contexte de pénurie pour les fabricants Le magazine La cuisine Pro avait évoqué au printemps dernier le témoignage d’une entreprise lyonnaise qui expliquait ne pas être en mesure d’achever l’installation d’une cuisine professionnelle, faut d’avoir été livrée par des fabricants contraints d’arrêter leur chaines de production en raison de la pénurie de composants électroniques. En de telles circonstances, et face à une perte de visibilité très préjudiciable pour le pérennité économique des prestataires,  comment rendre économiquement viables des marchés conclus avec des acteurs publics ? Pour permettre aux acteurs concernés de s’adapter à la situation, une première circulaire du gouvernement, diffusé en mars dernier, avait assoupli le droit de la commande publique et confirmé qu’une renégociation des tarifs pouvait être opérée, à condition de faire évoluer parallèlement certaines clauses des contrats. Cette première concession s’est vite révélé insuffisante, les entreprises réclamant la possibilité de procéder à des « modifications sèches » portant sur les seuls prix, indépendamment des autres dispositions contractuelles. Cette doléance a été prise en compte dans une seconde circulaire publiée par Matignon début octobre 2022, quinze jours après un avis favorable émis par le Conseil d’Etat saisi sur cette question par le ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique, Jean-Noël Barrot. La notion de « circonstances imprévisibles » Le texte, comme le précédent, confirme que la renégociation doit s’inscrire dans le cadre de « circonstances imprévisibles », à charge pour le donneur d’ordre de vérifier, justificatifs l’appui, que le prestataire est de bonne foi et n’était pas en mesure d’anticiper l’accélération de l’inflation et les perturbations sur le marché de l’offre et de la demande, imputables aux aléas de la conjoncture internationale. La circulaire impose toutefois une norme qui limite les variations tarifaires autorisées par le droit : la « modification sèche » des tarifs préalablement fixés ne devra pas aller au-delà de « 50% du montant de base du contrat ». La révision du prix et des délais  doit également être étayée par le « caractère imprévisible » des circonstances qui ont amené la prestataire à la solliciter auprès de son co-contractant  (« le preneur  devra vérifier la réalité et la sincérité des justificatifs apportés par le titulaire » complète le document administratif).

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Le donneur d’ordres en position de force ? Dans les marchés publics, les donneurs d’ordres se trouvent en position de force puisque ce sont eux qui imposent le périmètre des prestations et les conditions du contrat. Ceci facilite la comparaison des offres des différents soumissionnaires lors de la consultation. Dans le cadre d’une procédure adaptée (procédures pour lesquelles le montant estimé est inférieur aux seuils européens) le pouvoir de l’acheteur public est encore supérieur puisque la mise en concurrence est limitée au support de publicité utilisé. De plus, dans le cadre d’un marché dont le montant HT estimé à moins de 40 000€, l’acheteur peut même s’adresser directement à une entreprise. Conscients de cette position de force les législateurs ont souhaité favoriser la négociation entre acheteurs et soumissionnaires. La négociation dans les Marchés À Procédure Adaptée (MAPA) L’objectif de cette négociation (qui reste au bon vouloir de l’acheteur) permet de rééquilibrer les relations contractuelles et favorise la discussion entre les deux parties de l’ensemble des aspects du contrat (technique, logistique, garanties, délais…) et pas uniquement des prix. La négociation avant la contractualisation permet également d’éviter que chacune des parties ne tienne compte de ses propres intérêts, plutôt que chercher de la meilleure adéquation entre le besoin de l’acheteur et l’offre du titulaire. Le soumissionnaire peut proposer une offre sur-mesure qui correspond davantage au besoin de l’acheteur qu’à son cahier des charges, notamment dans le cas de marchés hautement techniques où les pouvoirs adjudicateurs n’ont pas le savoir-faire des prestataires. Cette évolution de la négociation permet en théorie d’éviter les avenants au contrat puisque le périmètre du marché est censé être négocié en amont de la contractualisation. En pratique, la négociation mène souvent à la sollicitation d’une remise commerciale par l’acheteur au risque, pour le prestataire, de ne pas être attributaire de l’offre s’il ne peut accorder le prix demandé. Le déséquilibre entre les parties est donc accentué si le soumissionnaire ne parvient pas à argumenter son offre et valoriser son savoir-faire. Comment bien négocier en procédure adaptée ? Il est important de se préparer à la réponse à un appel d’offres, et il est tout aussi nécessaire de se préparer à la négociation, même si elle n’est pas systématique, pour établir des relations contractuelles de confiance, à prix juste et en renforçant sa crédibilité. Tout d’abord, une négociation commence par une analyse profonde des caractéristiques de l’appel d’offres et des explications de l’acheteur. Puis, la négociation doit être anticipée : le commercial doit parfaitement maîtriser l’offre, la valeur ajoutée de son entreprise et les marges de manœuvre du marché pour convaincre l’acheteur sur son savoir-faire sans avoir marchander sur les prix des prestations. France Marchés propose un livre blanc dédiée à la négociation dans le cadre d’un Marché à Procédure Adaptée (MAPA). Vous y trouverez des conseils sur le calibrage de votre prix, les étapes de la procédure, les obligations pour l’acheteur, et enfin comment vous préparer au mieux pour une négociation convaincante.

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Répartis sur l’ensemble du territoire, les marchés publics sont un levier de croissance majeur pour les TPE et PME en France. Le ministère de l’Économie a donc créé un guide pratique. 30% des marchés publics sont attribués aux TPE-PME Selon ce guide, les TPE et PME françaises profitent grandement des marchés publics : près de 30% d’entre eux leur sont attribués chaque année. En 2017, le nombre de contrats de commande publique de plus de 90 000 € a été de plus de 160 000. Le montant total de ces commandes a dépassé les 89 milliards d’euros. Des acheteurs publics à tous les niveaux Si par acheteur public, on pense immédiatement à l’État, il n’est en réalité à l’origine que d’une simple partie des marchés publics : les entreprises publiques, les collectivités territoriales, les établissements publics nationaux ou locaux ont également des besoins auxquels peuvent répondre les TPE et PME. Par exemple : une commune qui a besoin d’une entreprise pour refaire une chaussée aura recours à un marché public, tout comme une école qui a comme projet de construire ou rénover un bâtiment. Où trouver un marché public ? Pour trouver un marché public, plusieurs options s’offrent à vous : – le site internet Marches-Publics.gouv – le Journal officiel de l’Union Européenne – le Bulletin officiel des annonces des marchés publics – le portail des appels d’offres et marchés publics France Marchés Là, sont répertoriés l’ensemble des marchés dont le montant dépasse 25 000 € HT car pour ceux dont le montant est inférieur, aucune obligation de publicité n’est prévue pour l’acheteur. Comment répondre à un marché public ? Une fois que vous avez identifié un marché qui pourrait correspondre à votre activité, il faut répondre à l’avis et monter un dossier complet. C’est en cela que le guide pratique des marchés publics créé par l’OECP (Observatoire Économique de la Commande Publique) est très utile : il fournit pas à pas les règles pour bien répondre au marché public et augmenter ainsi les chances de l’obtenir. Pour aller plus loin, vous pouvez télécharger le guide pratique des marchés publics [PDF – 2,1 mo] sur le site du ministère de l’Économie.

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Le DUME (Document Unique de Marché Européen) est un formulaire normalisé attestant sur l’honneur les capacités et les aptitudes d’une entreprise à participer à une procédure de marché public. L’e-DUME est la version numérique de ce même document (cf. fiche pratique du DUME sur le portail d’appel d’offres France Marchés). Depuis le 1er avril 2018, les acheteurs publics doivent obligatoirement recevoir un e-DUME indépendamment du montant du marché concerné. Cette obligation règlementaire est venue amorcée le projet de développement de la dématérialisation des marchés publics devenue obligatoire le 1er octobre 2018. Pour obtenir un e-DUME, rendez-vous sur le site de Service DUME de Chorus Pro ou sur les profils d’acheteur. Le DUME est amené à se substituer des documents « classiques » : formulaires DC1, DC2 et DC4 ainsi qu’au dispositif MPS (Marché Public Simplifié) instauré en avril 2014. Les enjeux d’une telle substitution : • Gain de temps pour les candidats • Exactitude des données renseignées • Allègement des procédures de passations de marchés Ces enjeux sont en effet réalisables grâce à ce nouveau document unique de marché européen. Le DUME a été retravaillé puisque sa 1ère version avait été jugée très complexe (informations difficiles à obtenir et document disponible seulement en anglais). Le DUME avait alors été remplacé par le MPS (Marché Public Simplifié) en avril 2014 jugé plus simple à utiliser grâce aux éléments administratifs réutilisables. Aujourd’hui, le DUME et plus particulièrement l’e-DUME est pré-rempli avec les informations liées au donneur d’ordre. Il pourra également être fusionné avec un DUME préexistant depuis le profil acheteur, lequel récupèrera les informations liées au candidat dans le but de les intégrer à au document administratif. L’e-DUME, bien qu’étant doté d’avantages notables, va devoir faire sa place sur les marchés publics. Les candidats aux marchés publics et les acheteurs publics vont devoir changer leurs habitudes en remplissant ce formulaire plutôt que les formulaires « classiques » instaurés depuis plusieurs années. D’autant plus qu’aucun texte n’abroge les autres documents aujourd’hui. Ce nouveau dispositif est en phase de test auprès d’un panel de 5 éditeurs de profils acheteurs. A l’issue de cette phase de test, le dispositif devra subir des ajustements afin qu’il soit plus performant. Ces ajustements ne seront pas mis en place dans l’immédiat, il faudra donc être patient avant que le document soit opérationnel. A ce jour, ce sont les PME et plus particulièrement leurs budgets qui pâtissent le plus de ce nouveau dispositif. Il sera en effet nécessaire qu’elles prévoient des : • adaptations dans leurs procédures utilisées en entreprise (copie de sauvegarde, clé de signature électronique, référentiels de sécurité etc.) • adaptations de leurs personnels et des postes de travail (formations à ces évolutions par exemple) A noté également, cet été encore 70% des entreprises déposaient encore leur document en format papier. Un sérieux travail de pédagogie est à réaliser entre l’Etat et les entreprises afin d’utiliser de façon optimale l’e-DUME. Selon l’Etat, c’est à l’horizon 2020 que cette solution sera d’ailleurs classiquement utilisée.

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Les marchés publics sont souvent considérés par les PME comme trop réglementés et trop compliqués. Pourtant, la réglementation évolue, avec notamment la mise en place d’un « small business act » (SBA) à la française et des mesures comme l’allotissement, l’encouragement de sous-traiter aux PME et la mise en place de seuils mieux adaptés aux PME.

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La visibilité d’une marque est essentielle pour émerger et se démarquer de la concurrence. Les goodies personnalisés, également appelés objets publicitaires, se sont révélés être des outils de communication puissants, et offrent une multitude d’avantages aux entreprises. Lors des salons d’entrepreneurs, ces objets peuvent donc faire la différence. Ces petits trésors aux couleurs de la marque ne sont pas simplement des gadgets, mais plutôt des instruments stratégiques vous permettant de faire grandir votre entreprise. Le renforcement de la mémorabilité Au-delà de leur simple utilité quotidienne, les goodies personnalisés jouent un rôle clé dans le renforcement de la mémorabilité d’une marque. En offrant des objets qui dépassent le simple aspect fonctionnel pour devenir des compagnons du quotidien, vous créez une connexion émotionnelle durable avec leur public. Lorsqu’un client utilise un stylo ou un mug personnalisé aux couleurs de votre marque, il ne fait pas simplement l’expérience d’un produit, mais entre dans une expérience sensorielle qui évoque des souvenirs liés à votre entreprise. Chaque interaction avec le goodies devient un rappel positif de la marque, ce qui contribue ainsi à la construction d’une identité mémorable. L’accroissement de la notoriété de l’entreprise Les goodies personnalisés se révèlent être des artisans silencieux de la notoriété des marques, étendant leur empreinte bien au-delà des cercles initiaux. En effet, ces objets promotionnels deviennent des messagers ambulants qui propagent le nom de la marque de manière organique et souvent virale. En utilisant des objets arborant les couleurs distinctives de la marque, les clients deviennent des ambassadeurs involontaires. Que ce soit lors de réunions professionnelles, dans les transports en commun ou même dans le cadre familial, les goodies voyagent avec leurs propriétaires, et exposent ainsi la marque à de nouveaux publics potentiels. Cet effet de bouche-à-oreille physique, catalysé par les goodies personnalisés, vous crée des opportunités uniques d’entrer en contact avec des clients qui n’auraient peut-être pas croisé la marque autrement. Ainsi, la notoriété de la marque s’étend et génère une présence omniprésente qui contribue à renforcer sa position dans le paysage concurrentiel. La fidélisation client En offrant des cadeaux personnalisés, une entreprise dépasse la simple transaction commerciale pour établir une relation privilégiée avec sa clientèle. Ainsi, les goodies personnalisés sont de puissants alliés en ce qui concerne la fidélisation client. Ces objets aux couleurs de la marque deviennent des témoins tangibles de l’appréciation de l’entreprise envers ses clients fidèles. Chaque fois qu’un client se sert d’un stylo, d’un sac ou d’un t-shirt offert par votre entreprise, il se remémore l’expérience positive liée à cette marque. Cela crée une fidélité qui va au-delà du simple acte d’achat, tout en établissant une connexion émotionnelle durable. Les goodies personnalisés servent également de rappel constant de la présence de l’entreprise dans la vie quotidienne du client, ce qui renforce ainsi la loyauté. Les avantages supplémentaires, tels que des offres exclusives réservées aux clients fidèles, contribuent à consolider cette relation. En investissant dans la fidélisation client grâce aux goodies personnalisés, les entreprises créent un cercle vertueux où la satisfaction du client se transforme naturellement

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Dans le processus de développement d’une entreprise, l’obtention des certifications ISO est une étape importante. En réalité, ces documents permettent d’ancrer définitivement l’ouverture du management de la qualité à l’ensemble des acteurs de la structure. Quelle importance revêtent alors les normes certifiables ISO ? Suivez-nous pour tout savoir. La garantie d’une reconnaissance internationale De façon générale, les normes ISO sont le fruit d’un travail collaboratif entre de nombreux représentants de divers pays à travers le monde. Elles constituent en réalité des outils élaborés dans le cadre de la mondialisation des marchés. Plus précisément, ces instruments permettent de parler le même langage, ce qui simplifie les échanges à l’échelle internationale. Pour une entreprise, le fait de suivre des formations de préparation aux normes certifiables ISO en vue de leur acquisition est une étape déterminante pour son ascension vers le développement. Essentiellement, elles permettent de justifier de sa conformité à des pratiques reconnues et adoptées à travers le monde. Une véritable ouverture à de nouveaux marchés Les certifications ISO permettent également de positionner son entreprise sur les marchés nationaux et internationaux. Elles sont un pré-requis à l’accession des marchés publics.Il en va pareillement avec les marchés de grands comptes qui considèrent ces normes certifiables comme un gage de sérieux et une solution parfaite pour maîtriser leurs risques. Une façon de se démarquer Gage de sérieux et de mise en application de pratiques louables, les certifications peuvent être utilisées pour se différencier des concurrents. Sur le marché, la course aux normes ISO représente souvent un enjeu stratégique. La première entreprise certifiée bénéficie de nombreuses opportunités et profite d’une réelle identification sur le marché. Rappel des différentes Normes ISO Nous vous proposons ici un récap des différentes normes ISO auxquelles une entreprise peut prétendre. ISO 9001: Gestion de la Qualité La norme ISO 9001 est axée sur la gestion de la qualité. Elle met l’accent sur la satisfaction du client, la gestion des processus internes et l’amélioration continue. Grâce à cette certification, les entreprises peuvent établir des protocoles de contrôle qualité rigoureux et offrir des produits et services conformes aux attentes des clients. ISO 14001: Gestion de l’Environnement La norme ISO 14001 se concentre sur la gestion environnementale. Elle aide les entreprises à réduire leur impact sur l’environnement en adoptant des pratiques durables et éco-responsables. Cette certification témoigne de l’engagement d’une entreprise envers la protection de la planète et peut également entraîner des économies d’énergie et de coûts. ISO 27001: Sécurité de l’Information Dans un monde de plus en plus numérique, la sécurité de l’information est cruciale. La norme ISO 27001 aide les entreprises à mettre en place des mesures de sécurité robustes pour protéger les données sensibles et confidentielles. Cela renforce la confiance des clients et des partenaires commerciaux, et permet de prévenir les violations de données coûteuses.

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Le terme Social media API peut vous être étrange, et pourtant, tous les jours vous vous en servez. Pour dire simplement, ce sont les applications qui jouent les intermédiaires entre vous et les serveurs. Ils sont entre autres en action quand vous achetez en ligne ou que vous regardez des films en streaming. Pour les entreprises, l’utilisation de ces logiciels a un tout autre enjeu : la visibilité. Le Social media API pour la récolte des données Les grandes comme les petites entreprises ne peuvent plus désormais se passer des réseaux des sociaux afin de garantir leur visibilité sur le marché. Cependant, il ne suffit pas d’ouvrir un compte professionnel. Il faut aussi pouvoir exploiter les données. Heureusement, il existe des logiciels qui peuvent aider en ce sens, dont notamment le Social media API. C’est un programme qui permet simplement de récolter des données sur internet afin de les utiliser pour la mise en place d’un plan marketing efficace et sur mesure. Les API de média social permettent également d’assurer la qualité des prestations et ainsi de soigner l’image que vous avez en ligne. Choisir le bon type de Social media API Le Social media API se décline en plusieurs sortes. Vous avez notamment les API ouverts qui sont accessibles à tout le monde. Ce sont les plus usités sur les sites de vente en ligne, les sites de visionnage de vidéo en ligne et sur les réseaux sociaux. Pour les entreprises, on utilise aussi fréquemment les API internet. Ce sont des logiciels qui permettent une communication simple et sécurisée au sein de la société. Les API partenaires peuvent également être utiles. Ce sont des programmes à mi-chemin entre les API ouverts et internes. Des personnes extérieures peuvent les utiliser, mais sous certaines conditions. Pour les développeurs, il existe également les API composites. Ils permettent d’accéder et de modifier les données des applications qu’il crée. Un API pour votre projet marketing En d’autres termes, le Social media API idéal à utiliser dépend de vos besoins et du public à qui vous adressez. Il faut savoir que les plus usités, tant par les particuliers que par les marques, sont les API Twitter, Instagram, Facebook, Linkedin, et YouTube. Sur les différentes plateformes, vous pouvez accéder à différents sites d’API. Ces derniers peuvent vous permettre de récolter les données sur les réseaux sociaux et de les utiliser. En d’autres termes, ces plateformes vous aident dans l’audit et l’amélioration de votre projet marketing. Les sites rationalisent les données pour une meilleure contextualisation et exploitation. Vous allez ainsi pouvoir évaluer le comportement et les besoins de vos publics cibles pour pouvoir adapter votre approche durant la prospection. Les API aident également à analyser votre performance sur Internet, et ce, en temps réel. Les données peuvent toucher aussi bien aux nombres de visites sur votre profil, mais aussi aux comportements des internautes face à vos publications et évènements. Les API peuvent vous aider à évaluer la concurrence. Ils vous aident à récolter tout un ensemble de

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La transformation digitale a vu le monde de travail s’améliorer ces dernières années. Cette révolution a permis d’optimiser le métier d’expert-comptable. Qui dit expert-comptable dit entreprise. Ces deux institutions se rattachent, le succès de l’une dépend de l’autre. Désormais, de nombreuses sociétés se lancent dans cette profession d’expert-comptable pour apporter leurs aides aux entreprises clientes, et SBA Compta en fait partie. Comment contacter SBA compta ? Désirez-vous travailler avec SBA compta afin de recevoir de l’aide concernant les réglementations de votre agence immobilière, ou si vous voulez plus d’information, n’hésitez pas à visiter le site de SBA compta, expert-comptable immobilier. Les experts-comptables : c’est quoi ? Les experts-comptables sont des professionnels diplômés d’expertise comptable après un cursus de 8 ans. Ils conseillent des milliers d’entreprises chaque jour, tout en leur apportant des solutions en fonctions de leurs besoins spécifiques. Ils s’occupent à la fois du domaine fiscal, de la comptabilité, di domaine social et juridique. Ils accompagnent également l’entreprise tout au long de son existence et à chaque étape franchie par cette dernière, ils cherchent des nouveaux moyens permettant de développer encore plus l’entreprise concernée. Les experts-comptables sont indépendants et jouent également le rôle de contrôleurs. Ils vérifient si les comptes de leurs entreprises clientes sont conformes à la loi et mettent en garde les dirigeants au sujet des indicateurs de performance. Les experts-comptables fiables : quels critères ? Afin que vous puissiez travailler avec votre expert-comptable, vérifier s’il est fiable. Tout d’abord, confirmez bien s’il a suivi des études concernant ce travail qu’il entreprend. Ensuite, vérifiez s’il est inscrit dans l’ordre des experts-comptables. La communication avec un expert-client doit se faire instantanément et de manière fluide pour qu’il puisse apporter l’aide dont vous avez besoin à tout moment. Ainsi, n’oubliez pas de vérifier sa disponibilité. Enfin, assurez-vous que le service dispose des meilleurs outils permettant de sécuriser, de récupérer ainsi que de catégoriser les transactions effectuées par votre entreprise. Comment définir SBA compta ? Le SBA compta est un cabinet d’expertise comptable qui a pour objectif d’aider les entrepreneurs et de simplifier leur travail. Un cabinet de comptabilité digitale fiable et sécurisé, en charge de toutes vos obligations comptables. Il allie à la fois savoir-faire et technologie. Et bien évidemment, il respecte tous les critères cités ci-dessus. Avec ce service, les entreprises ne se soucient plus des contraintes de gestion inévitables dans le domaine de l’entrepreneuriat. Il est d’une grande aide pour les chefs d’entreprise. Pour optimiser le succès de ses entreprises clientes, il s’investit pleinement dans ses missions. Il est même reconnu dans toute l’Europe par son travail de précision. Le cabinet s’adresse à tout type d’entreprises. Il intervient dans différents secteurs à l’instar du bâtiment, des travaux publics, des startups, de la coiffure, des nouvelles technologies, de l’audiovisuel et de l’agricole. SBA compta : quels atouts ? Opter pour un cabinet d’expert-comptable vous garantit le succès en matière d’entrepreneuriat. Vous gagnez du temps en laissant ce service s’occuper de tout le travail à votre place. De plus,

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Une étude menée par l’Institut Pasteur en mars 2021 montre que 15% des contaminations au virus ont une source professionnelle. Certaines activités sont toutefois plus exposées que d’autres. La Covid s’attrape au bureau ou à l’atelier. C’est toujours vrai, même si la majorité des contaminations surviennent dans le cadre privé, à 63% au sein du cercle familial. Toutefois, l’incidence du coronavirus dans les entreprises est loin d’être négligeable (15% des cas). Un bilan, mesuré par l’Institut Pasteur, qui justifie les recommandations gouvernementales sur la nécessité de recourir massivement au télétravail. En dépit des exhortations de l’exécutif, de nombreux employeurs peinent encore à se plier à cette règle sanitaire. Un chiffre illustre cette résistance depuis le début de la crise : un peu plus d’un tiers des entreprises (34 %) n’ont pas mis en place le dispositif au cours de la période sur des postes qui, pourtant, auraient pu être exercés à distance, d’après une étude réalisée par le Ministère du Travail, et relayée par le JDD. Venir travailler dans les bureaux procède parfois de la volonté des salariés, désireux de maintenir un lien physique avec leur hiérarchie ou leurs collègues : la prise en compte de ce besoin avait conduit en janvier dernier les pouvoirs publics à introduire de la souplesse dans le protocole en permettant aux actifs de se rendre sur leur lieu de travail au moins une fois par semaine. Une enquête récente d’Harris Interactive portant sur la semaine du 8 au14 mars derniers montre que 35% des salariés ont télétravaillé, un chiffre en légère baisse par rapport à la mi-janvier (36%), mais bien inférieur au taux de novembre (41%), jute avant la deuxième confinement. Les cadres plus exposés ? Le durcissement des mesures sanitaires opérées dans les régions sous surveillance maximale (Ile-de-France, Hauts de France notamment), où un confinement est entré en vigueur le week-end dernier, a conduit Matignon à réaffirmer son discours sur le télétravail pour convaincre les employeurs récalcitrants à y remédier, quitte à impliquer les Préfectures dans le processus par le biais de messages de sensibilisation à destination des entreprises. L’Institut Pasteur a récemment évaluer les secteurs d’activité et les métiers les plus exposés à la propagation du virus : son étude met en évidence un lien entre le niveau de diplômes et le risque d’infection qui, en fonction des catégories socio-professionnelles, suit une courbe en U : il serait moindre pour les bacheliers jusqu’à Bac + 4 , et plus élevé pour les non-bacheliers et les Bac + 5. Par ordre croissant de sur-risque, l’Institut cite d’abord les cadres de la fonction publique, les ingénieurs et les cadres techniques d’entreprise, les cadres administratifs et commerciaux d’entreprise, les chefs d’entreprise de 10 salariés ou plus, les professions intermédiaires de la santé et du travail social, et les chauffeurs. »

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