France : il fait bon travailler chez Pepsi et Microsoft

Selon les derniers classements établis par l’Institut Great Place to Work (dixième édition), les entreprises américaines implantées en France, PepsiCo et Microsoft, remportent la palme du bien-être professionnel. Le palmarès de GPTW distingue à la fois les grands groupes et les entreprises de moins de 500 salariés.

Où fait-il bon travailler et pour quelles raisons les salariés se sentent bien dans telles ou telles entreprises ?
C’est ce que souhaite déterminer chaque année l’Institut Great Place to Work en établissant des classements mesurant le niveau de bien-être des salariés. Ce palmarès n’est pas exhaustif car les entreprises sondées se sont portées candidates pour l’être, via un questionnaire rempli par leurs salariés et une fiché d’évaluation complété par les directions.

Quels critères sont pris en compte dans l’élaboration des classements ? Le niveau de satisfaction et le sentiment d’implication ressenti par les salariés à partir de critères comme la confiance que leur accorde leurs supérieurs hiérarchiques, la fierté par rapport au travail et à l’entreprise et la convivialité.

La culture d’entreprise et les pratiques managériales sont évaluées, pour un tiers, à partir des données fournies par les directions.
Dans le classement réservé aux entreprises de plus de 500 salariés, ce sont deux entreprises américaines (implantées en France) qui décrochent les deux premières places : PepsiCo et Microsoft. Mars (agroalimentaire) monte sur le podium tandis que Leroy Merlin descend à la cinquième place.

Dans les entreprises de moins de 500 salariés, citons, dans l’ordre d’arrivée, Octo (conseil en services informatiques), Netapp (stockage et gestion de données, Accuracy (conseil), suivi par un trio industriel, W. Gire et associés, Nexteer Automotive et National Instruments.

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Journaliste de formation, j'occupe actuellement la fonction de rédacteur au sein du réseau des sites Internet de services aux entreprises du groupe Libbre. Je peux justifier d'une expérience de six ans dans la presse quotidienne angevine au sein de trois quotidiens : la Nouvelle République, Ouest-France puis le journal majoritaire en Maine-et-Loire : le Courrier de l'Ouest (2007-2009).

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