Le futur de la mobilité est là, et il est 100 % électrique ! Au cœur de cette transition écologique, les services municipaux et paramunicipaux de la Ville de Grasse ne sont pas en reste. Grâce au renouvellement de son partenariat avec la société Infocom France, experte dans la location de véhicules avec affichage publicitaire, la ville vient d’accueillir deux véhicules flambant neufs dans sa flotte. Plus d’infos dans la suite ! Les services municipaux de la Ville de Grasse se mettent au vert  Nous vous le disions, la Ville de Grasse vient de recevoir deux véhicules 100 % électriques pour ses services municipaux. Mais quels seront leurs rôles ? Dans les grandes lignes, les deux voitures auront pour mission de faciliter le quotidien des Grassois, en étant à disposition des services municipaux et para municipaux, notamment le Comité des Œuvres Sociales, Loisirs Education Culture, Théâtre… En effet, ces deux véhicules seront mobilisés pour transporter les enfants et les seniors au quotidien, à la fois pour le service jeunesse, le Centre Communal d’Actions Sociales, l’Office des retraités, le Service Ville d’Art et d’Histoire, le Conservatoire de musique… Bref, ils seront sur tous les fronts !   Le maire de la Ville de Grasse, Jérôme Viaud, a profité de l’occasion pour remercier la société Infocom France : « Merci à la société Infocom France qui contribue à promouvoir l’image de la Ville et de ses acteurs locaux au travers de ce support et qui permet de renforcer notre équipement au service de nos administrés ».  La Ville de Grasse remercie les partenaires ! Dans sa locution, Jérôme Viaud n’a pas oublié de remercier les partenaires locaux, sans lesquels il n’aurait pas été possible de financer les deux véhicules : « Merci aux entreprises et commerçants pour leur soutien et leur fidélité », a-t-il déclaré. Pêle-mêle, ont participé à cette opération : Carrefour Market Grasse, Espaces Clôtures, Kia Occasions Automobiles Côte d’Azur, Parfex, l’agence AXA Icard / Laidboeur Banque & Assurance, l’agence immobilière Couleurs Cézanne de Grasse, la miroiterie vitrerie Les Marronniers, la rôtisserie chez Micka, Promocash Grasse, AC Coiffure, restaurant l’Arrosoir… 

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Après la crise sanitaire, la reprise de l’emploi et du recrutement n’a pas été la même en fonction des secteurs d’activités et des régions de France. L’Île-de-France, qui est la région la plus riche de France (31 % du PIB du pays) et qui représente 1 emploi sur 4 de l’Hexagone, a par exemple connu une reprise plus lente comparé à d’autres régions. Surprenant, mais plutôt logique lorsque l’on regarde les secteurs d’activités qui portent la région Île-de-France. En effet, la région est tournée vers les domaines d’activités qui ont le plus souffert pendant la pandémie : tourisme international, événementiel, culture, restauration, hôtellerie… L’Île-de-France n’a retrouvé son niveau d’avant crise qu’à la fin de l’année 2021. Deux ans après, le marché de l’emploi reprend dans toute la France et les entreprises sont en pleine phase de recrutement. Les propositions de CDI ont par exemple doublé en un an. Le marché de l’intérim est également en pleine croissance, +7,2 % en 2021, dépassant ainsi les chiffres d’avant Covid. Depuis début 2022, l’Île-de-France est de nouveau la région qui concentre le plus d’offres d’emploi. Une croissance de +183 %. L’intérim à Paris connaît particulièrement une belle progression. Comme chaque année, Pôle emploi a révélé son enquête Besoins en main-d’œuvre (BMO) dans chaque région de France. Les établissements et entreprises ont été questionnés sur leurs prévisions en recrutement. Voici ce qu’il faut retenir des chiffres en Ile-de-France. Projets de recrutement en Île-de-France Zoom sur l’Île-de-France. Les projets de recrutement se trouvent en nombre à Paris. Puis dans l’ordre dans les Hauts-de-Seine, la Seine-Saint-Denis, les Yvelines, le Val-de-Marne, la Seine-et-Marne, l’Essonne et le Val-d’Oise. Beaucoup de domaines d’activités ont besoin de main-d’œuvre et sont en pleine phase de recrutement. Mais de nombreuses entreprises et secteurs ont du mal à recruter, que ce soit pour des CDI, CDD, mais aussi pour des contrats saisonniers. La part des projets de recrutement jugés difficiles s’élève à 45,4 %. La région Île-de-France mise depuis quelques années sur les start-up. Son but est de devenir la Silicon Valley de l’Europe. Pour trouver un job en start up en Île-de-France, c’est le moment ! Particulièrement dans les métiers du digital et de la tech. Les métiers les plus recherchés en Île-de-France Dans la région Île-de-France, en 2022, 532 000 recrutements sont prévus. Quels sont les métiers les plus recherchés en Île-de-France ? Voici le top 10 des métiers qui recherchent en Île-de-France, selon les chiffres de l’enquête BMO de Pôle emploi : Artistes, techniciens du spectacle (la région Île-de-France concentre 31 % des compagnies de danse et 27 % des compagnies dramatiques). 23 980 offres d’emploi, dont presque la moitié (48,9 %) de contrat saisonnier. Ingénieurs et cadres d’étude, recherche et développement informatique, chef de projets informatique : 19 760 offres d’emploi. Aides et apprentis de cuisine, employés polyvalents de la restauration : 18 780 offres d’emploi Agents d’entretien de locaux : 17 230 offres d’emploi Serveurs de cafés restaurants : 13 650 offres d’emploi Agents de sécurité et de surveillance :

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Le CBD attise les convoitises, mais pas que celles des patients. De nombreux Français se lancent dans ce marché très lucratif de la vente de produits CBD. Cependant, ouvrir une boutique de CBD requiert certaines étapes, dont le statut légal. On en parle dans cet article. Le choix du statut légal : une étape sine qua non Depuis 2018, plus de 500 magasins de CBD ont vu le jour en France. Malgré le buzz autour du CBD, le flou persiste quelque peu sur le régime juridique que doivent revêtir les boutiques CBD. En effet, le choix du statut légal reste un pas décisif dans l’ouverture d’une boutique de CBD en France. Aujourd’hui, que vous soyez un fournisseur de CBD ou un simple revendeur, vous devez retenir que le choix du statut juridique de votre boutique et entreprise demeure un passage obligé. Quelles sont les options qui s’offrent à vous ? Les différents statuts légaux pour votre entreprise de CBD Vous avez le choix entre deux grands statuts juridiques pour votre entreprise à savoir la SAS et la SARL. Décryptons-les. La SAS En forme longue société par actions simplifiée, la SAS reste très souple du point de vue du fonctionnement. En tant que fondateurs, vous avez toute la latitude de déterminer : les statuts de l’entreprise ; le capital social ; et les règles d’organisation de la société. Pour la mettre sur pied, vous pourrez effectuer des apports en numéraire, en nature ou en industrie. Chose importante, dans une SAS, la responsabilité des associés est limitée à leurs apports. Toutefois, son ouverture requiert des frais, un formalisme de constitution et une grande rigueur dans la rédaction des statuts. Par ailleurs, elle est redevable à la TVA et à l’IS. La SAS peut compter un seul membre fondateur. Dans ce cas, on parle de SAS unipersonnelle (SASU). Ce statut juridique convient parfaitement aux entreprenants. En qualité de seul associé, vous bénéficierez de règles simplifiées comme une exemption à l’approbation des comptes sociaux. Cependant, la rémunération du président d’une SASU fait l’objet d’une imposition sur le revenu ! La SARL La société à responsabilité limitée demeure la plus répandue. En France, 40 % des entreprises revêtent ce statut légal. Dans le cadre de la vente de produits CBD, la SARL vous offre de grands avantages. Elle reste adaptée pour les artisans, les commerçants, les industriels et les professions libérales. Elle ne nécessite pas de grands capitaux et la responsabilité des associés est limitée à la valeur de leurs apports. Comme principale restriction, notez que la SARL exige au moins 2 associés. Ces derniers sont assujettis au paiement de l’impôt sur le revenu, proportionnellement à leur participation au capital.

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Ce chiffre, véhiculé par une enquête d’OpinionWay, traduit un phénomène encore émergeant, qui semble monter en puissance depuis la crise sanitaire. A prendre toutefois avec des pincettes. L’industrie française, minée par la compétition internationale et les délocalisations depuis 20 ans, va-t-elle se reconstituer son tissu et redevenir un réservoir d’emplois qui compte sur le marché du travail ? En 2020, l’Etat avait inclus dans son plan de relance économique un volet d’incitation au retour des entreprises sur le territoire national à travers la constitution d’un fonds d’1 milliard d’euros, dont un peu plus de la moitié cherche à cibler les projets d’investissements portés par cinq secteurs dits stratégiques : santé, agro-alimentaire, électronique, matières premières essentielles à l’industrie, et applications industrielles de la 5G. Le Made in France plus vendeur ? L’enquête d’OpinionWay a une vision plus large et vise à mesurer les prémices d’un phénomène de relocalisation qui, à en croire les tendances dégagées, tentent de nombreux chefs d’entreprise : 40% des patrons interrogés disent avoir déjà commencé à rapatrier leurs activités en France. Ils sont encore peu nombreux toutefois à envisager de réimplanter des lignes de production sur leur territoire d’origine où le coût du travail reste moins compétitif qu’à l’étranger : toutefois, un tiers des entrepreneurs sollicités par OpinionWay (32%) affirment passer davantage de commandes auprès de fournisseurs installés sur le sol français. Un changement de cap imputable à la crise sanitaire et à l’impact qu’elle a provoqué sur les approvisionnements depuis les marchés extérieurs. D’après le sondage, le recours aux fournisseurs tricolores devraient d’ailleurs encore progresser puisque 20% des sondés, fidèles jusqu’ici à leurs pratiques habituelles, envisagent de les faire évoluer en ce sens. Les chefs d’entreprise interrogés dans l’enquête voient dans la relocalisation industrielle certains avantages économiques, comme celui de réduire les frais logistique (pour 60% d’entre eux). Ils sont également sensibles au fait de pouvoir créer des nouveaux emplois en France, de diminuer leur empreinte carbone en limitant la durée des transports et valoriser leur démarché à travers le concept de Made in France, favorable d’ailleurs à l’image de leur entreprise. Les chefs d’entreprise sont lucides sur le fait que cette reconversion au pays aura un impact à la hausse sur leurs prix, mais beaucoup sont persuadés que la demande nationale est désormais prête à payer plus cher des marchandises produites en France (un comportement qui s’était d’ailleurs fait sentir en 2020, pendant la crise sanitaire) : 69% des entreprises basées dans l’Hexagone font d’ailleurs la corrélation entre ce label et la progression de leurs chiffres d’affaires.

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Avec un montant annuel de 2,25 milliards d’euros, le marché du funéraire ne connaît pas la crise. Sa valeur a d’ailleurs considérablement augmenté puisque ce marché était évalué à 1,3 milliards d’euros dans les années 2000. Une hausse de près de 50 % qui s’explique par un vieillissement de la population mais également par un manque d’éthique de la part des acteurs. Hausse des prix, manque de transparence, nouveaux modèles économiques… quelles sont les tendances du marché ? Absence de transparence Afin de garantir le droit à l’information des consommateurs, les entreprises du funéraire sont soumises à certaines obligations. Elles doivent notamment fournir un devis gratuitement à leurs clients, composé de trois colonnes distinctes. La première présente les prestations obligatoires régies par la loi. La deuxième détaille les prestations optionnelles demandées par les proches du défunt. Enfin, la dernière colonne reprend les « frais avancés pour le compte de la famille » tels que les taxes et frais de culte. Cependant, en 2014, une enquête de la part de l’UFC Que Choisir montrait que 26% des agences visitées n’avaient pas remis de devis à leurs clients. Des refus qui se justifiaient de plusieurs façons, notamment par un manque de documents administratifs ou encore par un devis payant. Cette enquête révèle également que seulement 9% des devis fournis par les entreprises sont totalement conformes à la législation. Initialement prévu pour faciliter la comparaison entre concurrents, ce modèle s’avère peu efficace. Les termes utilisés sont peu explicites pour le consommateur et les prestations ne sont pas classées dans un ordre logique. Ce manque de transparence engendre une inflation continuelle ; la course à la rentabilité prend le dessus sur le respect des consommateurs. Des différences tarifaires injustifiées Le marché du funéraire présente également d’importantes disparités. En effet, les prix peuvent augmenter considérablement d’une enseigne à l’autre. Pour les démarches administratives, le premier tarif s’élève à 59 € et cela peut aller jusqu’à 840 € ! À savoir que l’inhumation coûtait en moyenne 3 350 € en 2014 et s’élève désormais à 3 815 €, soit une hausse de 14 %. La crémation coûtait quant à elle en moyenne 3 609 € et atteint actuellement un montant proche de 4 000 €. Cette enquête met l’accent sur un constat clair : certains acteurs du marché proposent leurs prestations à des prix élevés. Des pratiques abusive, jugent certains, surtout dans un moment ou la famille du défunt est dans une situation d’urgence et de faiblesse psychologique. Elle révèle d’ailleurs que l’inflation du funéraire en France s’élève à plus de 10% de 2014 à 2019, là ou l’inflation globale sur la même période s’élève à seulement 4%. Des coopératives funéraires pour des pratiques plus respectueuses Certains acteurs essayent cependant de se démarquer en proposant des pratiques plus respectueuses à des prix justes. C’est notamment le cas des Coopératives funéraires, modèle inspiré du Canada qui commence tout juste à émerger en France. Ces coopératives communiquent sur des valeurs différentes, avec un accompagnement plus personnalisé. Elles se

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Les fabricants de bâtiments modulaires suivent de près les normes de sécurité en vigueur afin de construire des structures durables. Ils utilisent souvent les nouvelles technologies pour atteindre des meilleures performances et satisfaire les besoins de leurs clients. Désormais, vous pouvez commander des bâtiments modulaires qui se déclinent en diverses formes et dimensions. Le marché de constructions modulaires a connu ces dernières années un très grand succès en France. De nombreuses entreprises choisissent de commander ou de louer des bâtiments personnalisables pour aménager des espaces de stockage, des bureaux temporaires ou des salles de réunions. Les constructions modulaires suscitent l’intérêt des professionnels de l’administration, du BTP et du secteur social. Le savoir-faire des fabricants de bâtiments modulaires Grâce aux nouvelles technologies, les fabricants de bâtiments modulaires peuvent concevoir des structures sur mesure non seulement dans des usines, mais aussi dans des petits ateliers. Quel que soit leur lieu de travail, les professionnels doivent respecter les règlementations et les normes de sécurité en vigueur afin de garantir que leurs produits sont solides et durables. En général, les structures préfabriquées sont assemblées directement sur le chantier du client. Dans la majorité des cas, les travaux d’assemblage ne produisent pas une grande quantité de déchets, ce qui s’avère très bénéfique pour l’environnement. A noter que ce type de bâtiments sont d’habitude construits à partir de matériaux recyclés et conformes à la RT 2012. Le choix des modules empilables Pour garantir la sécurité et le confort des utilisateurs, les fabricants privilégient les matériaux qui résistent bien aux intempéries et au passage du temps. Au moment où vous choisissez vos modules, il est recommandé de vous assurer qu’ils s’adaptent aux caractéristiques de votre terrain, notamment à l’inclinaison, à l’orientation et aux contraintes de la fondation. Si les fabricants avec lesquels vous avez décidé de collaborer ne prennent pas en charge la livraison de vos structures modulaires, il est essentiel de demander l’aide des transporteurs qualifiés et expérimentés. Ces derniers peuvent prendre en charge le transport de vos modules dans les meilleures conditions. Les experts de Petit-location.com vous proposent des bâtiments empilables de diverses formes et dimensions. En fonction de vos projets, vous pouvez choisir d’acheter des modules ou de les louer pour une durée déterminé. En choisissant leurs produits résistants et personnalisables, vous pouvez réduire les investissements et économiser de l’argent. Le matériel utilisé pour construire les modules est conforme aux normes en vigueur.

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Le secteur du logiciel et des services informatiques profite des projets SMACS. Afin de renforcer la collaboration des différents départements de leur entreprise, de plus en plus de dirigeants décident d’installer un progiciel performant. Les intégrateurs peuvent les aider à l’installer dans leur structure technologique. Selon les rapports récents, le secteur du logiciel et des services IT est en plein essor en France. Depuis quelques années déjà, il profite beaucoup des projets Social-Mobility-Analytics-Cloud and Security (SMACS) et de transformation numérique. S’il a enregistré une croissance de 2,9 % en 2016, les experts attendent une hausse de minimum 3% cette année. Les rapports de Syntec Numérique Les spécialistes de Syntec Numérique ont analysé de près l’évolution des marchés du secteur des services informatiques, de l’édition logicielle et du conseil en technologies. En 2010, les services IT comptaient 57% des revenus du secteur, alors que l’année dernière ils comptaient 61%. En 2016, les experts de Syntec Numérique évaluaient la taille de ce secteur porteur à plus de 52 milliards d’euros. Le marché de l’édition logicielle pèse à présent environ 11 milliards d’euros. Cette évolution est due aux entrepreneurs qui sont de plus en plus nombreux à avoir recours au savoir-faire des éditeurs et des intégrateurs de progiciels afin de développer efficacement leur business. Les fonctionnalités des progiciels En 2016, les projets Social-Mobility-Analytics-Cloud and Security ont été évalués à plus de 7,6 milliards d’euros. Un grand nombre de décideurs français exploitent les SMACS et cela pour diverses raisons. Certains d’entre eux collaborent avec des éditeurs de progiciels afin d’automatiser des tâches du quotidien et de réduire les coûts mensuels, alors que d’autres le font pour améliorer la gestion de la relation client. Pour développer rapidement votre business et booster vos ventes, il est essentiel de prendre les mesures nécessaires pour améliorer l’expérience client et optimiser la réactivité face à tout type de problème. En outre, il est crucial de renforcer la collaboration des services de votre entreprise (marketing, commercial, service après-vente, etc.). Grâce aux prestations sur mesure proposées par les experts de Prios, vous avez la possibilité d’améliorer le rendement de vos équipes. Les solutions logicielles proposées par les spécialistes de Prios sont robustes et s’appuient sur des technologies stables. Ils peuvent concevoir des progiciels performants pour les professionnels du secteur de l’agriculture, de la meunerie, de l’équipement de la personne et de la boisson. Ils vous proposent également une assistance technique personnalisée.

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Selon une estimation réalisée par le think tank libéral Fondation Concorde, la proportion de travailleurs à distance au sein de la population active oscillerait entre 2 et 6%, un niveau très inférieur à la moyenne européenne. La France est-elle un pays de télétravailleurs ? Pas vraiment si l’on s’en tient aux chiffres avancés par la fondation Concorde qui avance une estimation comprise entre 2 et 6% de la population active. Mais la marge de progression est forte : la même étude évalue à 7 millions le nombre d’employés éligibles au statut, soit 26% des actifs en emploi. Un autre état des lieux réalisé par le ministère du Travail situe autour des 8% la proportion de travailleurs concernés régulièrement par cette formule à distance un effectif qui grimpe à 16,7% en comptabilisant les télétravailleurs occasionnels. Dans tous les cas, ces chiffres restent inférieurs à la moyenne européenne (17,7%). D’après une étude datant de 2009, 32,4% des salariés finlandais exerçaient, à l’époque, plus de 8 heures par mois en télétravail. Ils étaient 18,8% en Allemagne. En France, le sujet fait encore débat dans la sphère syndicale. En février dernier, des discussions entre partenaires sociaux ont débouché sur la rédaction d’un rapport remis à la nouvelle ministre du Travail Muriel Pénicaud. Le document juge ainsi « nécessaire de clarifier les règles applicables au télétravail » : les syndicats évoquent notamment l’élargissement de la législation sur les accidents professionnels aux salariés en poste à domicile. L’autre proposition porte sur les modalités contractuelles du télétravail, avec une possibilité de le fixer un durée déterminée. A en croire une étude réalisée par le Commissariat général à l’Egalité des Territoires, un développement du télétravail serait bénéfique pour la compétitivité des entreprises : en travaillant depuis son domicile, le salarié serait plus productif (+22%), moins souvent en arrêt maladie (5,5 jours par an en moins en moyenne et permettrait à son employeur de faire des économies de locaux.

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Une campagne de revalorisation des services à la personne a été récemment lancée par le ministère de la Santé et des Affaires sociales. Selon les statistiques, la plupart d’aides à domicile sont des femmes. Les seniors et les personnes handicapées peuvent bénéficier à présent de services tels que le ménage, le repassage ou le jardinage. Le ministère de la Santé et des Affaires sociales vient de lancer une campagne nationale pour promouvoir le métier d’aide à domicile auprès des seniors. Cette campagne a également pour but de revaloriser ce métier qui reste aujourd’hui souvent méconnue. Compte tenu du vieillissement de la population, les services à destination des personnes âgées est devenu pour un métier d’avenir. Combien de seniors vivent en France ? La campagne lancée par le ministère de la Santé et des Affaires sociales s’appelle « Aider les autres, c’est mon métier ». Selon les statistiques récentes, environ 15 millions de personnes âgées de 60 ans et plus vivent à présent en France. Les spécialistes prévoient une hausse d’ici 2030, qui pourra s’élever jusqu’à 20 millions. Afin de simplifier leur vie, les seniors ont la possibilité de demander l’aide des professionnels qualifiés. En fonction de leurs besoins, les intervenants prennent en charge divers travaux de jardinage et d’autres activités du quotidien telles que la préparation des repas, le ménage ou le repassage. Comment choisir ses assistants de vie ? Selon les études menées récemment, la plupart des personnes qui proposent aux seniors des services à domicile sont des femmes, dont l’âge moyen est de 45 ans. Jean-Marie Le Breton considère toutefois que les hommes peuvent également proposer leurs services. Ils peuvent accompagner les seniors ou les personnes handicapées dans leurs sorties à l’extérieur. La gamme de services à domicile offerts par les agences spécialisées est très variée, mais il est recommandé de collaborer avec des professionnels qualifiés et fiables. Les intervenants de l’agence Générale des Services de La Flèche sont tous qualifiés et recrutés en tenant compte de leur niveau d’expérience. Ils prêtent grande attention à vos besoins et vous accompagnent dans vos sorties à l’extérieur, dans les parcs, dans les supermarchés ou chez votre médecin traitant. Ils possèdent les compétences nécessaires pour vous aider à réaliser des travaux dans le jardin et peuvent également prendre en charge la garde de vos animaux de compagnie.

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Selon le dernier baromètre Edenred-Ipsos, la motivation des salariés européens reste stable. Bien que 45% des répondants se disent inquiets pour leur avenir professionnel, 60% sont cependant confiants quant à l’avenir de leur entreprise. Mais aujourd’hui, où se situe la France par rapport à ses voisins européens ? Quelles sont les inquiétudes des salariés Français ?

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