Un pare-brise touché par un impact n’est pas forcément fichu. Tout dépend de la taille et du nombre de dégâts à la surface du verre. Pour des raisons évidentes de prix et de temps, tout automobiliste qui découvre un impact sur son pare-brise compte remédier au problème rapidement au moyen d’une simple réparation, réalisée en quelques minutes -par lui -même – ou le technicien d’un garage professionnel. Hélas, les choses ne sont pas toujours aussi simples. Même un éclat d’apparence minime, peu profond, entraîne parfois le remplacement impératif de la pièce endommagée. Quel pare-brise est réparable ? Les enseignes spécialisée dans la réparation de pare-brise à domicile, ou en atelier, respectent en fait les règles de sécurité routière qui prévalent lors de l’examen de tout véhicule lors du contrôle technique bisannuel. Un inspecteur recalera systématiquement une voiture qui présente un impact de plus de 3 centimètres sur sa paroi de verre située à l’avant du conducteur : pour être tout à fait précis et illustrer la situation par un exemple significatif, cette taille correspond grosso modo à celle d’une pièce de monnaie de deux euros. La dimension du bris de glace n’est qu’un critère parmi plusieurs autres. Sa position sur le pare-brise compte également : quelle que soit sa circonférence, le dégât est rédhibitoire dès lors qu’ils se trouve face au conducteur, de telle sorte qu’il puisse gêner son champ de vision. Autrement dit, même un impact inférieur à 3 centimètres entraîne la dépose de la pièce abîmée, s’il est mal placé. Idem si l’éclat est localisé à moins de 4 centimètres des bords du pare-brise, là aussi quelle que soit sa taille. Enfin, la présence de plus de trois impacts annihile la possibilité d’une simple réparation par injection de résine. Dans ce dernier cas de figure, une spécialiste certifié n’aura d’autres choix que de proposer à l’automobiliste sinistré un remplacement par un équipement neuf. Enfin, beaucoup de professionnels affirment, souvent à raison (mais pas toujours) qu’un bris de glace, aussi discret soit-il, est potentiellement promis à une dégradation plus ou rapide, surtout face au risque de nouveaux chocs. L’ensemble de ces règles s’appliquent dans le cadre de la législation routière qui, depuis 2018, a durci certaines des dispositions concernant les points de vérification à réaliser sur le pare-brise, lors du contrôle technique. Un élément de verre qui présente un impact trop grand ou positionné dans une zone susceptible de détériorer la visibilité de l’automobiliste, ou menacer la stabilité de la pièce, expose, dès après son premier passage, le véhicule concerné à une contre-visite. Lors du second, le bon état de la voiture est validé à condition qu’une réparation ou un remplacement du pare-brise a été préalablement réalisé. Quelle évaluation lors du contrôle technique ? Pour rappel, la réforme du contrôle technique introduite en 2018 distingue depuis cette date trois grand type de défaillances techniques : Les défaillances « mineures » englobent des anomalies peu graves et réparables sans obligation de contre-visite. La loi considère en effet qu’elles n’ont pas d’incidence sur la sécurité du conducteur.

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Vous n’êtes pas sans savoir que vous ne pouvez pas lancer un projet sans un minimum de connaissances basiques. Il en est de même pour l’investissement dans l’or. En effet, l’achat et la revente de cette matière représentent une activité qui peut vous permettre d’arrondir facilement vos fins de mois. Vous comprendrez ainsi que pour y réussir, vous devez maîtriser certains éléments. Découvrez 4 de ces éléments primordiaux dans cet article. Le cours actuel de l’or Avant de vous lancer dans un projet d’investissement dans l’or, il est important que vous ayez des connaissances sur sa valeur temporelle. L’or étant une valeur refuge, connaître son coût actuel avant d’investir est primordial. En effet, ce métal peut connaître subitement une hausse de prix ou une forte baisse. Cette valeur peut changer à cause de certains évènements ou certaines nouvelles économiques et politiques. En outre, l’or se vend en grammes ou en lingots. Sa valeur en pièce varie donc en fonction de son poids. Son prix se fixe chaque jour dans la capitale anglaise par le marché de cotation. Dans ce marché, c’est l’offre et la demande qui permet de fixer le prix journalier. Vous comprendrez ainsi qu’il faut être attentif aux nouvelles de ce marché pour ne rien rater des nouveautés. La rentabilité Avant de vous lancer, vous devez savoir qu’il existe deux catégories d’or. Il s’agit de l’or physique et de l’or papier. En effet, à l’état physique, il peut se présenter sous forme de lingots, barres, plaquettes ou pièces. Vous devez également savoir que dans cet état, l’or est plus rentable que tous les autres métaux. De plus, vous avez la possibilité d’investir sur l’or pour le long terme. Par contre, vous ne pourrez pas avoir des revenus réguliers comme avec les marchés boursiers. Ainsi, l’achat et vente d’or en Belgique doit se faire en fonction de votre capacité financière. C’est-à-dire que vous ne devez pas investir au-delà de 7 % de votre portefeuille. Rassurez-vous aussi qu’après achat, votre vente puisse vous rapporter assez pour rentabiliser votre investissement. Quel que soit votre budget, nous vous conseillons de faire appel à un professionnel en Belgique. En effet, la Belgique est le lieu idéal pour acheter et vendre de l’or, car le pays ne taxe pas ce métal précieux.  La règle fiscale Aujourd’hui, la taxe accompagne tous vos achats et toutes vos ventes. En ce qui concerne l’or, la TVA s’applique uniquement lors de l’achat de lingots ou pièces d’or frappées avant 1800. Tout or frappé après l’an 1800 ne subit pas de taxe lors de son achat. D’un autre côté, une taxe est appliquée à toutes vos ventes d’or. Un protocole est conçu pour aider les vendeurs dans la maitrise de la TVA. Votre taxe de vente est de 36,2 % lorsque vous disposez des preuves sur la date d’acquisition de l’or. Par ailleurs, vous avez aussi une taxe d’abattement à payer après 03 ans de conservation de votre or. Cette taxe est de 5 % sur la valeur de vente de votre

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Les fournisseurs sont un élément très important pour une entreprise. De ces derniers dépend la qualité des produits que vous commercialisez. Vous pouvez les choisir à l’étranger comme au niveau local. C’est un double avantage de faire confiance aux grossistes à proximité de chez vous. Découvrez les 6 avantages de passer par un grossiste local plutôt que d’importer depuis la Chine. Une meilleure flexibilité Si vous travaillez avec des fournisseurs locaux, vous devez savoir qu’ils offrent une certaine flexibilité pour votre entreprise. Les grossistes locaux sont plus réactifs par rapport à vos commandes que les fournisseurs qui ne sont pas à proximité. Si vous prenez un grossiste en pièce détachée de téléphone par exemple, il peut vous livrer vos produits plus rapidement qu’un fournisseur en Chine. Il est plus facile pour une entreprise de coordonner sa commande et ainsi augmenter sa productivité en travaillant avec les fournisseurs locaux. Par ailleurs, un fournisseur local peut rendre plus compréhensible pour vous certains détails d’un contrat. Rien ne garantit qu’un grossiste étranger qui d’ailleurs ne parle pas peut-être la même langue que vous, vous comprenne aisément. Une bonne satisfaction de vos clients Un fournisseur à l’autre bout du monde prend plus de temps pour traiter votre commande, mais le grossiste local peut immédiatement prendre en considération votre demande. Vous pouvez même fixer un délai de livraison à vos clients. Lorsque vous livrez rapidement les commandes des consommateurs, ils sont satisfaits et il est plus facile de les fidéliser. De même, lorsqu’un client demande l’échange de produits ou un remboursement, vous pouvez gérer facilement le problème. Avec un fournisseur étranger, cela implique des coûts supplémentaires et le processus peut prendre assez de temps. Une amélioration de la qualité de vos produits Il peut être très difficile de superviser les maillons de la chaîne d’approvisionnement d’un produit si le fournisseur est à l’autre bout du monde. Certes, ce dernier vous garantira la qualité du produit, mais vous savez que ce n’est pas toujours le cas. Avec les grossistes à proximité, vous pouvez avoir un meilleur contrôle sur la qualité de vos produits. Les visites ou les rencontres sur le site sont idéales pour contraindre le fournisseur à respecter vos normes de fabrication. De même, la proximité du grossiste vous permet de limiter les problèmes de communication au niveau de la chaîne d’approvisionnements, chose qui arrive très souvent avec un fournisseur éloigné. Une meilleure rentabilité de vos affaires Disposer de grossistes locaux vous permet d’économiser quant à l’expédition de vos colis. Un envoi à l’intérieur de la France coûte 3 à 4 fois moins cher qu’une expédition de colis depuis la Chine. Mieux, vous devez investir plus d’argent dans le processus d’expédition si vous voulez être livré rapidement. Les entreprises importatrices dépensent toute une fortune dans la logistique chaque année. Lorsque vous réduisez la chaîne d’approvisionnement de votre société, vous pouvez éviter de nombreux coûts et réaliser des économies considérables. Une contribution à l’économie locale Faire confiance à un fournisseur local n’augmente pas seulement vos bénéfices,

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L’industrie de la restauration est sans doute l’un des marchés commerciaux les plus compétitifs à l’heure actuelle. Avec autant de restaurants, il peut être difficile de trouver votre créneau. Si vous cherchez à développer votre restaurant et à augmenter vos profits, vous devez non seulement offrir un service exceptionnel et une expérience culinaire merveilleuse, mais également maîtriser les tactiques commerciales et de gestion. Prêt à faire de votre restaurant une grande réussite ? Voici plusieurs stratégies qui peuvent vous aider à augmenter vos profits cette année. Utilisez la technologie L’intégration de systèmes modernes dans votre restaurant augmentera considérablement vos profits. Si vous n’êtes pas organisé et si vous avez un bureau encombré de paperasse, vous risquez de jeter de l’argent par la fenêtre. Un système de gestion de restaurant vous aidera à suivre les ventes, à gérer les employés et à créer un programme de récompenses ou une liste de diffusion pour vos clients. Aujourd’hui, il existe plusieurs outils vous permettant de tout réaliser, dont melba. Ce dernier vous aidera à améliorer le profit de votre restaurant. Le gaspillage alimentaire représente des coûts importants pour les restaurants. Le logiciel d’inventaire vous permettra de suivre chaque ingrédient que vous utilisez, qu’il s’agisse d’une cuillère à café d’épices, d’une carotte coupée en dés ou d’un œuf. Avec le logiciel d’inventaire, vous pouvez également surveiller les dates de péremption afin que votre pain ne moisisse pas. Un programme de fidélisation de la clientèle Il est extrêmement important de maintenir votre clientèle existante. C’est peut-être encore plus important que d’attirer de nouveaux clients. Les clients fidèles sont la base de votre restaurant. Trouvez des solutions avec l’outil melba pour vous démarquer et fidéliser vos clients. Après tout, non seulement ces gens vous fournissent des clients réguliers, mais ce sont eux qui feront des recommandations. Un client fidèle peut proposer des offres exclusives à son tour. Cela incite également les nouveaux clients à revenir dans votre restaurant dans l’espoir qu’ils bénéficieront de ces offres. Vous pouvez également mettre en place une carte pour vos clients fidèles, qu’ils pourront présenter à tout moment et recharger selon leurs besoins. Ce qui permettra d’économiser de l’argent sur l’impression de cartes en papier. Commercialisez votre restaurant Le marketing est l’un des meilleurs moyens de développer votre portefeuille client et d’augmenter vos bénéfices. Il existe de nombreuses techniques de marketing qui peuvent vous aider à développer votre entreprise et à attirer des nouveaux clients. Si vous souhaitez augmenter la fréquentation de votre restaurant et fidéliser vos habitués, nouez une relation avec eux. Les médias sociaux sont une plateforme marketing pratiquement gratuite sur laquelle vous pouvez interagir avec les clients et développer votre marque. Utilisez des applications de gestion des réseaux sociaux qui vous permettent de planifier vos publications. Augmenter les bénéfices de votre restaurant ne doit pas être une tâche ardue. Avec autant de ressources à votre disposition, vous pouvez dépasser la concurrence et attirer plus de clients.

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Comme en début d’année, les commerces confinés en avril pourraient être autorisés à compenser leur manque-à-gagner par des ouvertures dominicales. A Bercy, l’idée fait son chemin et pourrait aboutir à des décisions concrètes juste après le 19 mai, date annoncée pour la réouverture des commerces confinés en avril, combinées à celles des terrasses des bars et restaurants, fermés depuis fin octobre 2020 : un assouplissement des règles relatives au travail dominical pour les enseignes volontaires est envisagé par le gouvernement. Le dispositif pourrait reprendre les modalités mises en place en début d’année pour soutenir l’activité des secteurs après le confinement du mois de novembre. La ministre Élisabeth Borne a envoyé une instruction dans les territoires enjoignant les Préfets à engager des concertations locales en vue d’accorder des dérogations exceptionnelles : ces mesures permettraient de simplifier – sans s’y substituer, précise l’exécutif – le droit commun qui encadre depuis la Loi Macron l’ouverture des magasins le dimanche. Avec un double-objectif économique et sanitaire : l’élargissement des plages horaires sur sept jours hebdomadaires pourraient permettre aux commerces de rattraper une partie des pertes accumulées pendant les périodes de restrictions (confinements et couvre-feux), mais aussi d’étaler les flux de clientèle sur l’ensemble de la semaine. Afin de s’épargner une fronde syndicale, le gouvernement a fait savoir que les Préfets ont reçu la consigne de rappeler aux enseignes potentiellement intéressées par ces autorisations qu’elles doivent strictement observer les « garanties accordées à leurs personnels dans le cadre du travail dominical », de respecter le principe du volontariat et d’appliquer les contreparties salariales prévues par les textes pour les actifs amenés à exercer sur ce jour traditionnellement chômé. « Les dispositions nécessaires prises par l’Etat pour faciliter la reprise économique du pays « doivent s’appuyer sur « un dialogue direct avec les acteurs concernés, territoire par territoire, et en tenant compte des demandes locales et spécificités propres à chaque département.» ajoute Elisabeth Borne dans un communiqué. Dans un première temps, cette première salve de dérogations exceptionnelles porterait sur le mois de juin. Avant la crise, sanitaire, la législation sur les ouvertures du dimanche avait été assouplie : l’autorisation préalable des maires n’avait plus cours dans les départements à très forte densité touristique (Paris notamment), ou encore les zones frontalières. Les ouvertures sont « de droit » également dans des grandes gares françaises (dont Lyon, Bordeaux, Nice ou Marseille). Partout ailleurs, les élus locaux ont la possibilité d’accorder des dérogations municipales, jusqu’à 12 par an (contre 5 auparavant).

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Dans un mois, les employeurs auront la possibilité d’établir en accord s avec les partenaires sociaux, un planning de télétravail pour leurs personnels. Cinq jours sur cinq d’activité en distanciel chaque semaine. C’est la règle qui prévaut depuis plusieurs mois dans les entreprises soumises à un strict protocole sanitaire imposé par la situation épidémiologique. A partir du 9 juin, et après quatre semaines de confinement (le troisième en un an), les employeurs vont retrouver une latitude certaine dans la mise en place de leur planning de télétravail. Le 30 avril dernier, la calendrier de déconfinement dévoilé par l’exécutif prévoit une levée progressive de restrictions qui frappaient jusqu’ici les restaurants : or l’activité de ce secteur, notamment le midi, est étroitement lié à la présence de salariés sur leurs lieux traditionnels d’exercice, au bureau, à l’atelier ou à l’usine. C’est cette nécessaire concomitance entre l’offre et la demande qui a conduit l’Etat à introduire une forme de dosage dans son plan de sortie de crise : le 18 mai prochain, bars et restaurants seront seulement autorisés à rouvrir leurs terrasses. Trois semaines plus tard, le 9 juin, leurs salles pourront accueillir du public, date à laquelle le télétravail commencera justement à être allégé.Comment cet assouplissement va-t-il s’appliquer ? Sans doute les entreprises renoueront-elles avec la situation de l’été dernier : à l’époque, le télétravail était seulement recommandé et les contrôles destinés à en vérifier la fréquence quasi inexistants. La tendance était alors à l’établissement de plannings personnalisés, voire au cas par cas, avec une alternance plus ou moins équilibrée entre travail à domicile et jours de présence au bureau. Une carte blanche qui devrait être redonnée aux entreprises en juin, comme l’a avait indiqué la ministre du Travail Elisabeth Borne fin avril : « je souhaite que les employeurs puissent le plus vite possible définir eux-mêmes les bonnes règles ». Les conditions et les modalités du retour progressif des salariés sur site fait actuellement l’objet de négociations entre le gouvernement et les partenaires. La piste envisagée conduirait à une modification du protocole sanitaire en entreprise à partir du 9 juin. Le texte indiquerait alors que « le nombre minimal de jours de télétravail est à définir au sein de chaque entreprise, via le dialogue social ». Selon une étude Harris Interactive commandée par l’Hôtel du Châtelet, un peu moins de la moitié des actifs (43 %) a télétravaillé en avril : sur ce total, 78% occupaient un poste adaptable à ce mode d’organisation.

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Tout le monde risque un jour de faire face à une fraude à la carte bancaire. C’est votre cas si votre compte a été débité d’un achat que vous n’avez pas réalisé. Bon nombre de français en sont victimes chaque année et de nombreuses raisons peuvent en être l’origine. L’utilisation de la carte bancaire suite à un vol reste l’erreur la plus fréquente. A présent, l’usurpation des données en ligne devient courante à cause de l’évolution de la technologie. En tout cas, si cela vous arrive, vous devez entamer les démarches sans attendre. Or il existe des bonnes pratiques qui vous permettent d’éviter ces désagréments. Découvrez tout cela nen détail dans cet article. Sous quelles formes la fraude à la carte bancaire se présente-t-elle ? Suite au vol ou à la perte de votre carte bancaire, il se peut qu’elle soit utilisée à votre insu. Vérifiez régulièrement votre compte bancaire. Si vous remarquez des opérations de débit dont vous n’êtes pas à l’origine, alors il s’agit d’une fraude. Il se peut aussi que votre carte reste en votre possession, mais que vous constatiez quand même ces opérations. Dans ce cas, vous êtes victime d’une fraude à la carte bleue sur internet. Cette dernière est de plus en plus répandue aujourd’hui. En tout cas, les achats ne sont pas les seules opérations que l’usurpateur risque d’effectuer avec votre carte. Il peut aussi faire des retraits au distributeur. Les techniques de fraudes bancaires les plus fréquentes Il existe plusieurs sources et techniques de fraudes bancaires. C’est pourquoi personne n’en est à l’abri, même si on pense avoir pris toutes les précautions nécessaires. Certaines fraudes sont faciles à repérer, et d’autres plus difficiles. En voici les plus fréquentes : Quelqu’un usurpe votre numéro de carte de paiement pour réaliser des achats en ligne. Une personne mal intentionnée intercepte votre courrier pour voler votre carte envoyée par voie postale. Votre carte fait l’objet d’une contrefaçon ou d’une falsification, souvent par duplication. Ces fraudes sont désormais possibles à cause des techniques d’escroquerie comme le skimming ou clonage. Celle-ci consiste à copier les données de votre carte à partir d’un distributeur ou d’un terminal de paiement. Vos données seront ainsi enregistrées sur une carte vierge rarement traçable. Ensuite, les fraudeurs utilisent cette dernière pour retirer de l’argent ou réaliser des achats à votre insu. Le phishing ou hameçonnage est aussi une technique de fraude répandue. Cela consiste à récolter vos données personnelles en usurpant l’identité de votre banque ou de vos proches. Les fraudeurs peuvent également usurper les sites internet sur lesquels vous effectuez souvent des paiements. Le piratage de la carte bleue est la troisième technique de fraude la plus répandue. Cela consiste à pirater des systèmes automatisés de données, de serveurs ou de réseaux. Les personnes à l’origine du piratage collectent vos données lorsque vous vous connectez à un Wifi public. Elles peuvent aussi le faire lorsque vous effectuez des paiements en utilisant cette connexion. Peut-on éviter les fraudes à la carte bancaire ?

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Le protocole sanitaire applicable en entreprise a été renforcé par le gouvernement. Face à l’accélération de l’épidémie de la Covid-19 dans de nombreux territoires, le ministère du Travail a réactualisé les règles sanitaires à respecter dans les entreprises pour limiter les risques de contaminations en milieu clos. Le télétravail, présenté depuis plusieurs mois comme une parade-clé pour réduire les interactions sociales, propices à la propagation du virus, est une « règle extrêmement importante » a martelé mardi dernier le Président Emmanuel Macron lors d’une visite d’entreprise à Valenciennes. Afin d’inciter les employeurs des territoires actuellement reconfinés à le mettre en œuvre et à le généraliser, le nouveau document leur impose d’élaborer « un plan sur les prochaines semaines prévoyant des actions destinées à  réduire au maximum le temps de présence sur site des salariés en tenant compte des activités télétravaillables au sein de l’entreprise». Ce plan, qui doit faire l’objet d’échanges entre les dirigeants et les instances représentatives du personnel, devra être présenté à l’Inspection du Travail « en cas de contrôle » précise le protocole. Cette obligation s’inscrit dans la logique de contrôle renforcé dont le gouvernement s’est fait le chantre la semaine dernière pour convaincre les employeurs récalcitrants à proposer à leurs salariés des formules de travail à distance. Pour les actifs qui exercent leur activité à domicile à temps plein, le retour au bureau reste toutefois « possible une fois par semaine maximum » à condition que cette mesure fasse l’objet d’un accord avec leur supérieur et réponde à un besoin exprimé par le salarié concerné. Afin de minimiser les risques qui pèsent sur les salariés positionnés sur des postes inamovibles, « un lissage des horaires de départ et d’arrivée » doit être opéré de manière à éviter « l’affluence aux heures de pointe». Les consignes les plus dures portent sur les « moments de convivialité entre collègues » que représentent les pauses-café ou les repas du midi peu propices à la distanciation physique et au port du masque. Les premières restent « suspendues » et les seconds soumis à une norme qui exige de «déjeuner seul en laissant une place vide en face de soi » précise le texte. Dans ces espaces collectifs de restauration, une jauge maximale d’une personne pour 8m² entre en vigueur avec un éloignement de deux mètres minimim entre chaque usager. Interrogé mardi sur RTL, Laurent Pietraszewski, secrétaire d’Etat chargé de retraites (il remplaçait la ministre du Travail Elisabeth Borne, contaminée par la Covid) a martelé qu’ «Il faut tout faire pour manger seul», c’est comme ça qu’on se protège et qu’on protège les autres».

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Selon le gouvernement, la pratique du travail à domicile est une des solutions qui doit permettre d’éviter un confinement général. Fin octobre, alors que l’Etat reconfinait la population, le télétravail avait été promu comme jamais par le gouvernement, et notamment par la ministre du Travail Elisabeth Borne qui avait souligné que le dispositif ne devait « pas être une option ». Des propos qui avaient été diversement ressentis par beaucoup d’employeurs, clairement contraints par les pouvoirs publics sur le sujet, ce qui constituait une première, au moment même les partenaires sociaux discutaient pour encadrer le dispositif. Pour autant, les entreprises n’avaient pas été complètement désertées, beaucoup moins en tout cas qu’au printemps dernier : selon l’enquête Acemo spéciale Covid conduite fin 2020 par la Dares – le bureau statistiques du ministère du Travail – , 59% des salariés indiquaient avoir travaillé sur leur site professionnel lors du confinement de novembre, un taux deux fois plus élevé que fin mars (27 %) et avril (32%). En janvier, des premiers assouplissements avaient été concédés pour permettre aux personnels de revenir au bureau une fois par semaine. Si bien qu’à la fin du mois seuls 30% des salariés déclaraient avoir exercé leur activité chez eux à 100%. Le protocole en entreprise inchangé Ces tendances ont fait réagir cette semaine Elisabeth Borne : sur les antennes de Radio Classique, la ministre a martelé que le recours au télétravail devait « être renforcé et privilégié tant que la situation sanitaire n’autorise aucun « retour à la normale ». Ce rappel à l’ordre a été effectué cette semaine à l’occasion d’une réunion du gouvernement avec les partenaires sociaux invités à relayer le message sur le terrain auprès des entreprises. Pour autant, l’Etat n’est pas revenu sur les mesures dérogatoires qui permettent aux salariés qui le souhaitent de venir travailler en présentiel « une fois par semaine », avec l’approbation de leur employeur. Le protocole sanitaire applicable en milieu professionnel n’a d’ailleurs pas été durci et offre toujours cette possibilité. Le ministre a néanmoins souligné que « tout ce qui peut être fait à distance, doit être fait à 100% à distance ». Et d’ajouter qu’un renforcement des contrôles sera opéré afin d’identifier – et éventuellement sanctionner – les relâchements injustifiés dans les « secteurs où le télétravail a baissé ».

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La réunion fait partie de la vie d’une entreprise, durant laquelle tous les personnels se réunissent dans une même salle pour aborder plusieurs sujets. Elle doit être ainsi bien préparée, dont le choix de la salle est l’une des plus importantes. Toutefois, trouver une salle de réunion adaptée à ses besoins n’est pas toujours facile. Le budget avant tout Bien que le choix de la salle de réunion dépende avant tout du nombre de participants, c’est votre budget qui compte dans un premier temps. Ainsi, tenez compte de l’importance de votre réunion. Heureusement, il est de plus en plus facile actuellement de trouver une salle de toutes les tailles grâce à des sites spécialisés. Grâce à ceux-ci, vous pouvez effectuer des recherches par endroit. Le site kactus.com permet par exemple de trouver une salle de réunion adaptée à vos besoins à Bordeaux, que ce soit une grande salle pour accueillir des partenaires venant de l’étranger, ou des petites salles pour une réunion entre collaborateurs. La date et la durée de la réunion Ensuite, tenez compte de la date de la réunion ainsi que sa durée. N’hésitez pas à demander la disponibilité de chaque participant pour fixer une date. Celle-ci est très importante car le tarif peut changer en fonction des périodes. Si la réunion se passera pendant les fêtes par exemple, vous devez réserver la salle quelques mois à l’avance. Si votre réunion dure une journée ou plus, il faudrait peut-être un établissement avec un service de restauration. Les commodités de la salle de réunion Vous devez également prendre en compte les commodités de la salle de réunion. Elle doit être dotée d’un minimum d’équipements pour assurer le bon déroulement de votre réunion. On entend par minimum d’équipements, le vidéoprojecteur, le tableau blanc, le système de visioconférence ou encore les blocs-notes. Sans oublier la connexion internet, la machine à café, la micro-onde ou encore les bouteilles d’eau. Renseignez-vous si la salle peut vous fournir tout cela afin que vous puissiez apporter ce qui manque. Les caractéristiques et la disposition de la salle Si vous souhaitez avoir la salle parfaite pour votre événement, ne négligez pas ses caractéristiques. A-t-elle une terrasse ? La climatisation fonctionne bien ? Qu’en est-il des personnes à mobilité réduite ? Pensez également à des éléments comme la disposition des places par rapport à la lumière du jour, la livraison des repas ou encore la cuisine partagée. En ce qui concerne sa disposition, il faut savoir que sa configuration aura un impact sur l’efficacité de votre réunion. Est-elle en théâtre, en U, en table ronde ou en salle de classe ? Les autres caractéristiques à prendre en compte Il est important de savoir que la modularité d’une salle est importante car cela permet d’accueillir facilement le comité d’entreprise. Cela peut être assez difficile dans un auditorium où les sièges sont fixes. Si vous avez trouvé une salle pouvant acculer 50 personnes à un tarif très attractif alors que vous n’êtes que 10, cela créera une sensation de

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